14° HAUTE TRAHISON DE L’HUMANITÉ : Académie française, É.N.A., Nazis, C.I.A., Rotary, Maçons, Sectes, Mafias…
Paragraphe
Anwalt (Avocat) Bernard Rambert. Zweierstr. 129. CH 8036 ZÜRICH. Suisse.
J’ai écrit cet exposé provocateur, espionné en cours de rédaction, en riposte contre une périlleuse action judiciaire déclenchée par le pompage du sous-sol dans mon appartement au premier étage les excréments des copropriétaires. Ma thèse présentée à la justice, a déclenché en riposte le massacre du magie vendredi 13 de la salle de concert Bataclan à Paris. Les instigateurs et financiers en Syrie sont parfaitement identifiés par la police et la justice.

Continuation de la guerre mondiale par Martin Bormann, exécuteur testamentaire de Hitler, le général nazi Reinhard Gehlen contre l’amiral Pierre Lacoste, trahi selon la tradition par la magistrature française, comploteurs contre la sûreté de l’État avec la Légion d’honneur.
Fortsetzung des Weltkrieges durch Martin Bormann, Hitlers Testament Vollstrecker, Nazi-General Reinhard Gehlen gegen Admiral Pierre Lacoste, nach der der französischen Tradition, verraten von der Gerichtsmagistratur, Verschwörer gegen die Staatssicherheit mit der Ehrenlegion.
Le véritable surhomme de Nietzsche par Zarathoustra : « La vérité qui ne s’insinue qu’en des fines oreilles, (les mouches de la place publique, la populace), il la nomme mensonge et néant. En vérité, qu’il n’a foi qu’en des dieux qui dans le monde mènent grand tapage. […] À l’écart de la place publique et de la renommée se fait tout grand œuvre ; à l’écart de la place publique toujours vécurent ceux qui inventent des nouvelles valeurs. […] Oh mon ami, fuis dans ta solitude ; des mouches venimeuses je te vois assaillie. […] Que rien en conte, ne rien vous endoctrine. […] Vous les hommes supérieurs, voici ma leçon : sur la place publique personne n’accorde créance aux hommes supérieurs. […] Vous les hommes supérieurs, fuyez la place publique !».

Avec la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 en Préambule des Constitutions depuis 1945, la situation légale n’existait plus en France, comme le témoignaient tous les révoltants scandales étouffés. (L’inégalité judiciaire combinée est due à l’anti-constitualité de l’organisation judiciaire de l’impérialisme de Napoléon I, totalement inconciliable avec les principes démocratiques de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789. (Les détails sont expliqués).
En 1981, par la ratification du Pacte international des droits civils et politiques de l’ONU, Mitterrand a cherché de faire rétablir la situation légale en déverrouillant la Haute Cour de justice 1958. « Tous sont égaux devant les tribunaux et cours de justice », dit le Pacte.
Par mon arrestation illégale en 1981, avec la soustraction frauduleuse de la Haute Cour de justice de ma justification par la légitime défense, selon l’article 55 de la Constitution, ‑ plaçant l’article 14 du Pacte au-dessus de la loi ‑, des initiés de l’occulte faisaient fonctionner des institutions judiciaires en totale illégalité constitutionnelle pour soustraire les plus dangereux criminels à la justice, pour les faire prospérer même.
Rien pour l’asservir sournoisement en contrecarrant l’accès à la justice au modeste adjudant Peter Dietrich stigmatisé, (*) les illuminés du magico-prophétique de la numérologie, font tourner les institutions judiciaires en totale illégalité constitutionnelle. Même le Conseil d’État. Voilà comment l’obstruction de la justice a pu dégénérer de l’affaire Pinochet vers le génocide au Rwanda. (Voir l’article sur l’analyse rétrospective de ma vie sinistrée par la numérologie).
« La prescription ne court pas contre celui qui est placé dans l’impossibilité d’agir par le juge d’instruction ». Crim. 25 juillet 1961, B. 357, et, Crim. 25 novembre 1954, B. 352. « La prescription en matière de presse est interrompue par des obstacles de droit ». Crim. 12 oct. 1993, B. 289.
Continuation de la guerre mondiale par Martin Bormann, exécuteur testamentaire de Hitler, le général nazi Reinhard Gehlen contre l’amiral Pierre Lacoste, trahi selon la tradition par la magistrature française, comploteurs contre la sûreté de l’État avec la Légion d’honneur.
Fortsetzung des Weltkrieges durch Martin Bormann, Hitlers Testament Vollstrecker, Nazi-General Reinhard Gehlen gegen Admiral Pierre Lacoste, nach der der französischen Tradition, verraten von der Gerichtsmagistratur, Verschwörer gegen die Staatssicherheit mit der Ehrenlegion.
« L’enseignement de l’histoire dans le monde entière est depuis longtemps défectueuse. […] l’histoire qui est fondée sur le mensonge ou sur un tripotage de faits devient dangereuse, parce que les enfants l’absorbent comme un évangile et sont amenés en se considérer soit comme des victimes, soit comme des SURHOMMES. » Pierre Lecompte du Noüy. (1883-1947). NOUVEAU TESTAMENT DE SATAN: «Une éducation basée sur un doctrine mensongère et sur des enseignements erronés abêtira les jeunes, elle les pervertira et fera d’eux des dépravés ». Jésuite Adam Weishaupt, professeur en droit pénal (1770).
* * *
L’idéologie nazie de la volonté de puissance du surhomme est empruntée au philosophe Friedrich Nietzsche et est fondée sur sa phrase : « avec le sang et le courage allemande, l’Église a ravagé de la brute blonde germanique de la terreur sans borne des siècles durant l’Europe entier », a détruit tout ce qui est de noble sur terre » : la culture gréco-romaine préscientifique, matérialiste, l’ordinateur mécanique de la Grèce L’horloge de Delphes. Nietzsche se réfère au le sacré à Reims du roi des francs païens en 481 Hlodovic en Clovis I.

En 1889, atteinte d’une paralysie cérébrale, la sœur de Nietzsche l’a fait rentrer de Turin en Italie en Allemagne pour le soigner. Son marie Foerster, un nazi antisémite, a récupéré et TRAVESTIE QUELQUES FRAGMENTS DE LA PHILOSOPHIE de Nietzsche en doctrine nazie. Cette idéologie nazie toujours actuelle se résume à quelques fragments de phrase attribué par Nietzsche au prophète imaginaire dans son œuvre de 1882 : AINSI PARLAIT ZARATHOUSTRA.
« – Par le séisme sont révélées des sources neuves. Du séisme des vieux peuples surgissent des sources neuves. […]
– O mes frères ! Pour tout avenir humain où est donc le plus grand péril ? N’es ce pas chez les gens de bien et chez les justes ? […] Et quelques dommages que fassent les méchants, le dommage que font les gens du bien est le plus dommageable des dommages. […] Leur bonne conscience tient captif leur esprit. D’une insondable prudence est la sottise des gens du bien. […]
– Devenez dur ! […] O mes hommes supérieurs, avec vous je veux parler à l’allemand et sans ambages : ce n’est vous que j’attendais dans la montagne […] Mais qui m’appartient ne peut avoir des os robustes et également des pieds légers ‑ être d’attaque pour guerroyer et festoyer… […]
– Dieu est une pensée qui rend tordu tout ce qui est droit et fait tourner tout ce qui debout se tient. […]
– Les lois de Terre ne présentent aucune valeur : Massacrez et torturez, n’épargnez point. […] Aimez la paix comme moyen pour des nouvelles guerres […]
– La guerre et le courage ont plus fait de grandes choses que l’amour du prochain. […] J’aime les vaillants, mais il ne suffit d’être sabreur, – il faut savoir aussi qui sabrer ! […] Brisez, me brisez donc le gens du bien et les justes. […]
– Rébellion ‑ c’est distinction des esclaves. Que votre distinction soit d’obéir ! Que votre commandement lui-même soit obéissance ». – « Le sale rêve de l’Église », ‑ réactivé par Hitler, soutenu par l’ex-roi britannique Éduard VIII, le papa J. Kennedy et compagnie des traitres à Londres, et poursuivie par Martin Bormann, l’exécuteur testamentaire de Hitler, avec le général nazi Reinhard Gehlen, récupéré par le CIA. Preuves incontestées, blog Dietrich13.com.
Nietzsche poursuit son analyse, présageant la prise du pouvoir des Nazis, pour qualifier les nazis de son époque :
‑ « ce sont tous des hommes du ressentiment, ces hommes psychologiquement disgraciés et tarés […]
‑ Parmi eux, on rencontre en foule des vindicatifs déguisés en juges qui ont éternellement, comme une bave empoisonnée, le mot justice à la bouche… […]
‑ Fuyez, en tout cas, le voisinage de hôpitaux et des maisons de fous de la civilisation ! […] Mais fuyez en tout cas les mauvaises odeurs de la corruption interne de la vermoulure secrète des malades ! » Friedrich Nietzsche. LA GÉNÉALOGIE DE LA MORAL.
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Introduction du 12 septembre 2019. L’autorité spirituelle de Saint Pierre, considérée usurpatrice par le christianisme de l’époque, en premier pape à Rome n’a pas été reconnue par les vrais chrétiens primitifs de l’Orient : les prêtres syriaques, moins chaldéens, dignitaires coptes… Ainsi la papauté paranoïaque de Rome décrétait que ces chrétiens primitifs qui ne se soumettaient pas au diktat hérétique des papes de Rome, commettaient un péché motel en osant penser autrement : des hérétiques. Avec le pape Grégoire IX (1145-2141), créateur de l’Inquisition, n’est plus tolérée plus la moindre atteinte à son autorité. Le paranoïaque établi le credo de l’Église qui fait toujours autorité en coulisse :
« L’hérésie est l’œuvre du Diable. Et pour terrasser Satan, il faut employer ses propres moyens. N’hésitez jamais. Mieux vaut faire périr dix innocents que d’épargner un hérétique… » Pour une ville assiégée par les croisés : « tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens ! »
Lorsque Staline a fait de ce credo satanique le sien contre les traîtres, l’ennemi de l’intérieur, en prévision de l’invasion d’une conjuration chrétienne, tous les humanitaires du monde se sont insurgés contre ce « barbarisme criminel » alors que l’Église a remis en application amplifiée par les nazis païens d’Adolf Hitler, les fascistes de Mussolini, et tous ensemble avec Franco en Espagne, assistée par le Pape Pie XII selon la doctrinaire du cardinal Aloïs Hudal.
Le généralissime Francisco Franco, (commandeur de la Légion d’honneur français), après avoir trahi la république à laquelle il devait sa carrière, s’autoproclamant « Caudillo », chef de guerre des chevaliers du Moyen Âge, en 1937 soutenu militairement par les fascistes catholiques intégristes de Mussolini, les nazis païens d’Hitler, politiquement par les régimes chrétiens d’Angleterre et la France , faute d’un descendant mâle, rétablit la monarchie catholique des hommes dieux de la divine race germanique, en échange du mariage de sa fille avec un de cette noble lignée céleste. Est un tabou absolu aujourd’hui encore pour les juges d’instruction en Espagne que cette monarchie a été refondée sur des innombrables fosses communes et des charniers des civils, femmes et enfants des suspects sympathisants républicains : un massacre collectif bien qualifiables crimes contre l’humanité. Lorsque Staline leur a rendu la pareille par les massacres des officiers et sous-officiers catholiques en 1940 à Kathryn, quel intarissable scandale mondial !
Sous les républiques françaises depuis 1944-1945, sont placés dans l’Académie des Sciences morales et politiques, fondée en 1795 par la Convention de la Première République française, le roi germanique de l’Espagne asservie et des cardinaux coalisés, nostalgiques de la doctrine génocidaire du Cardial Aloïs Hudal sur le rétablissement du Saint Empire par les procédés du satanisme.
Manœuvré avec le pseudonyme du Saint du 12 août « Chantal » au calendrier français, en commando d’action spéciale, par les services secrets de l’armée contre ce système corrupteur avec une formation universitaire poussée, dans l’affaire Papon à Bordeaux depuis 1981 et dans l’affaire contre Charles Giscard d’Estaing à Lyon, j’ai été éliminé avec ma science irréfutable, par le seul faux brillant de l’Académie des sciences morales et politiques de l’avocat maître Jean-Marc Varault. Il en est un des membres identifiés dans ces astronomiques escroqueries judiciaires visant de falsifier l’histoire avec des assassinats en série. Comme dit la maxime juridique latine « les faits parlent d’eux même », pas besoin d’ajouter autres preuves pour s’en convaincre.
Pour dresser un écran de fumée devant le scandale mondial que risquait ma dissertation du vendredi 13 novembre 2015 exposé à l’ONU, par la « musulman-connexion » a été organisé l’attentat meurtrier à la salle de concert Bataclan de Paris. Mademoiselle Silvy Dietrich a été fusillée en signe d’avertissement, car la surveillance de la police rendait impossible une approche terroriste à mon domicile, comme en témoignent les ceintures d’explosif abandonné dans les poubelles.
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Le fichier original ci-dessus a été détruit et reconstitué le 12 septembre 2019. Lorsque j’ai rédigé cet exposé, en matérialiste convaincu, je ne me serais jamais douté d’être marqué, par des paranoïaques assoiffés du Pouvoir, au fer rouge de l’ésotérique astrologie des sectes et sociétés secrètes, prédestiné dès la naissance du 12 août 1938, à donner une autre tournure à l’histoire.
28 janvier 2016. Exposé ampliatif sur les effets judiciaires et juridiques de l’assassinat psychiatrique combiné avec des extorsions fiscales de 2002 jusqu’en 2015 : Les victimes des attentats, ces existences détruites par des terroristes, affluant en Occident, sont victimes des complicités criminelles des compagnies pétrolières et des banques par « leur aide et assistance, fournisseurs des moyens », receleurs des pillages des États souverains, des vols des propriétaires. Au lieu de les expulser, appliquant leur loi : « en toute égalité », action groupée en justice contre les filiales en France, référé-provision à l’avancement immédiat de leurs droits incontestables. Peter Dietrich, juriste DEA, Criminologie, Sciences pénales. Blog : http :// dietrich13.blogspot.fr. (Saboté!)
Motus : les instigateurs de l’action combinatoire des attentats du 13 avec ma bombe à l’ONU avec la victime Mlle Dietrich en signe d’avertissement menaçant ! Lucy Dietrich, 37 ans, est tombée lors de la fusillade survenue rue de la Fontaine-au-Roi. Créatrice de bijoux, infographiste, maquettiste et diplômée en stratégie digitale, elle avait récemment travaillé pour le journal L’étudiant. « C’était une femme indépendante et généreuse, joyeuse, et d’une grande créativité. Lucie aimait les voyages, ses nombreux amis, et sa ville, Paris », ont indiqué ses frères et sœur à l’AFP.
Échappé des assassinats et à la lobotomie, mis aux abois par mes exposés précis, détaillés présentés à l’ONU depuis des décennies, des holdings multinationaux avec leurs administrateurs et principaux actionnaires complices, risquent de devoir rembourser à leurs victimes spoliées des milliards et milliards des dollars. Le dernier recours consiste d’exciter l’opinion publique en faveur de l’abolition de la démocratie, lui substituer par l’élection d’un cinglé comme Hitler une dictature sanguinaire de genre Franco en Espagne ou Pinochet au Chili. En instigateurs dans les coulisses, ils perpètrent épisodiquement pendant les élections présidentielles aux États Unis des attentats par des terroristes Daech de la Syrie qu’ils payent ouvertement à cet effet : un million de dollars/jours selon les informations rendues publiques, en réalité bien plus avec d’autres avantages en nature, tandis que leurs super-avocats payés à un million de dollars/paralysent les procédures en cours devant l’ONU par le trafic d’influence et la corruption.
HAUTE TRAHISON DE L’HUMANITÉ : Académie française, É.N.A., Nazis, C.I.A., Rotary, Maçons, Sectes, Mafias, Cinglés…
Introduction par Le NOUVEAU TESTAMENT DE SATAN cité : « Laissez les rieurs rires, les moqueurs de moquer ; celui qui compare le passé ; verra que sans pouvoir être détourné de sa marche, la nature avance dans ses voies. Ses pas sont insensibles à l’homme peu fait pour observer, mais ils n’échappent pas aux philosophes. […] Ô folie des peuples de n’avoir pas prévu ce qui devait leur arriver ; d’avoir aidé les despotes mêmes à ravaler l’homme jusqu’à la servitude, à la condition de la brute ! ».

Vendredi 13 novembre 2015.
1° À Monsieur le Premier Président du Tribunal de Grande instance de Bobigny. 173, Avenue Paul Vaillant Couturier. 93008 BOBIGNY Cedex. (Complément au référé avec requête de renvoi pour suspicion légitime des magistrats du 22 novembre 2014).
2° À Madame le Juge d’instruction Isabelle Prévost-Desprez – Tribunal de Grande Instance – 179 av. F et I Joliot Curie – 92000 NANTERRE.
Destinataires pour information :
Madame Chantal Arens, Première Président de la Cour d’appel de Paris.
Madame Catherine Champrenault, Procureur général de la Cour d’appel de Paris.
Madame Jeanne Marie VERMEULIN, Procureur général de la Cour d’appel de Bouges (18014).

DEMANDEUR au civil et « ACCUSÉ d’infractions justifiées de légitime défense » et PLAIGNANT au pénal : M. Peter DIETRICH, Diplôme des Études approfondies de Droit privé de l’Université Sorbonne Panthéon de Paris. Certificat des Études universitaires des Sciences pénales et de Criminologie. Adjudant honoraire du Service de Santé des Armées. I.D.E. Médaille militaire, Croix de Valeur militaire, Croix de combattant. 80, rue Voltaire, 93120 LA COURNEUVE, a l’honneur d’apporter des précisions complémentaires sous ce titre des publications au sujet des questions préalables et/ou préjudicielles indispensables au rétablissement de la légalité républicaine de la démocratie égalitaire, à la sécurité morale et physique des justiciables :
HAUTE TRAHISON DE L’HUMANITÉ : Académie française. Nazis, C.I.A. Rotary. Maçons. Sectes, Mafias, Cinglés… (Page 14 des blogs). Analyse complémentaire (inachevée) de récapitulation des argumentaires exposés pour la comparaison du complot multinationale organisée par la grande finance internationale instrumentalisant un agglomérat des sectes nazies et nazifiées de la magie noire, des sectes intégristes des fanatiques hallucinés visant ressusciter de la conflagration apocalyptique de la guerre génocidaire réalisée par le sacré de Clovis I, roitelet des Francs (Reims France ~496), épopée mise en musique des opéras de Wagner (page 4 des blogs) : Les narco-dictatures d’Amérique latine, le Général putschiste Augusto Pinochet, au Chili marionnette du C.I.A. Nazis, Rotary fricoteur, sectes, mafias…
– Le Colonel Mouammar Kadhafi, chef du gouvernement légitime de la Lybie, combattu dans une campagne militaire de pillages par des sociétés multinationales par des régimes mafieux des escrocs de haute volée, des trafiquants et nazies, du Rotary fricoteur… des sectes sataniques, hermétistes et intégristes de toute poiles…, « en lutte contre la pourriture démocratique, pour l’épuration de la race française des éléments qui la souillent, les Nègres, les Juifs et les Mongols… l’appel à la guerre sainte contre l’Islam » des « Ratons ». À partir du Vatican, rédempteur de Martin Bormann, second et exécuteur testamentaire d’Adolf Hitler, le spectre du sacré le plus funeste pour l’humanité du roi franc Clovis I plane avec constance sur les ignorants fourvoyés du monde entier. Le sacré ecclésiastique de l’Empereur Napoléon I de la haute trahison, a épargné le général Bonaparte de la pendaison comme les criminels de guerre nazis, car son credo, ses motivations et ses forfaits contre l’humanité ont été sensiblement identiques à ceux d’Hitler.
– De la guerre sainte « « du sang impur » contre les enfants de la Patrie » contribuables et électeurs « timides est indécis », pour égorger leurs fils et leurs compagnes, («Marseillaise », déclaré chant national en France le 14 juillet 1795), guerre sainte pour rétablir « la Morale chrétienne des esclaves » (Nietzsche) ; des régimes totalitaires irrationnels du sacré, génocidaires, bâtis sur des charniers et ruines des états de droit rationnels.
Actionné en commando Chantal, (nom du saint du 12 août sur le calendrier) d’actions spéciales à la recherche des grands hommes pour torpiller cette galère infernale, réduite en marchandise, je n’ai trouvé, semblable à Nietzsche , dans le monde sélect que des minables créateurs corrompus, des insatiables déprédateurs cupides, des crapules mendiant des décorations et distinctions, pitres prétentieux de la hauteur altière de leur suffisance grandiloquente, des irresponsables adulés (Casamayor), cupides, repus, veules et lâches, instrumentalisés des dangereux psychopathes… pour déformer et travestir l’Histoire, travestir les grandes philosophies essentielles, altérer les textes sacrés ancestraux, falsifier le judiciaire pour la mise à leur service de manipulation morbide de l’opinion publique des naïves croyances préfabriquées, des idées reçues « politiquement correctes » et préjugés délétères pour l’existence de l’espèce humaine. Impunités et récompenses garanties !
Est tombé du ciel pour la propagande préélectorale des bobardiers politiques et aussi pour la Bourse en hausse, l’attentat meurtrier combiné à Paris avec ma publication du même jour, le vendredi 13 novembre 2015. On dirait même qu’ils l’ont organisé en sous-main comme d’habitude. De plus en plus, cela est admissible pour une certitude ! Et c’est devenu une certitude !
https://docs.google.com/document/d/1eWgLd95kC3IUcpehtqNd1n6VwlJGeBsXhApGz8mAQIw/edit
« Ceux qui auraient pu barrer à Hitler la route dès les premiers signes de démence, c’était vous les Français ». Alain Peyrefitte.
À l’ancien ministre de la Justice Alain Peyrefitte conteur de sornettes de l’Académie français, de l’Académie des Sciences morales et politiques, et du Rotary club, en parfaite démagogue resquilleur ne maque vraiment pas du souffle pour stigmatiser tout le peuple français, manipulé, désinformé, plongé dans l’ignorance des sinistres de son histoire funeste dans l’ouvrage de ses « nègres » (ghost writer) obscurantistes LE MAL FRANÇAIS.
Alain 16 ans en 1940, il y a un vide dans sa biographie de 1940 à 1946, au temps glorieux où des gamins patriotes de son âge se battaient et mouraient dans la Résistance, furent incorporés à la Libération pour continuer se battre au rang de l’armée. Loué pour être loué et gratifié, le grand homme de la littérature et du journalisme flatteur ne commence à être magnifié à partir de 1946 dans l’Histoire de la France avec sa glorification en série du Général Charles de Gaulle, « celui qui a dit non – 1940-1945 » dans toute une bibliothèque des best-sellers laudateurs du porte-plume du général. Livres de l’histoire occultant l’essentiel du héros discoureur du micro de Radio Londres : la connaissance du général Charles de Gaulle et de ses Compagnons de la Libération de tous les rouages dissimulés au brave peuple de la Haute trahison du Duc Édouard de Windsor et de l’État-major français sous la houlette du Maréchal Philippe Pétain, la présence dans ses rangs à Londres des traîtres qu’il a ramenés en France pour former avec eux des gouvernements des ordures du Rotary club fricoteur. Une page de l’Histoire de la France bien, bien obscure et obscurcie. Avec la révélation de la Haute trahison, tous les données historiques officiels de la France se révèlent comme archifaux, truquée de l’A à Z la jurisprudence sur la Collaboration et les crimes de guerre des Nazis.
À partir de 1946, le roi d’embrouilles Alain Peyrefitte se manifeste à l’École Normale supérieure des cuistres, et à l’École Nationale d’Administration, (É.N.A.). Ce génial simulateur dépravé et de l’obscurantisme pernicieux de Peyrefitte est devenu un des initiés les mieux informés de la Haute trahison de la France de la conjuration de l’État-major du Duc Édouard de Windsor, des compromissions du père Édouard Giscard d’Estaing avec le maréchal Philippe Pétain.
À la libération, le diplômé des grandes écoles Alain Peyrefitte, en grand scribouillard de main des ambitions du Général Charles de Gaulle, ne conteste nullement l’illégalité napoléonienne du fonctionnement de la justice avec le déterrement du cadavre de la Déclaration des Droits de l’homme et du Citoyen de 1789, mis en tête en Préambule de la Constitution de 1946 qui « réaffirme solennellement les droits et libertés de l’homme et du citoyen consacrés par la Déclaration des droits de l’homme de 1789 et les principes fondamentaux par les lois de la République ». L’illégalité constitutionnelle des pouvoirs publics mués dorénavant en authentique association de malfaiteurs, le négrier Alain Peyrefitte agrandi par les flatteries de toutes les distinctions honorifiques, s’en sert en malfrat authentique pour disputer à l’empereur Napoléon I, pour son dieu et maître Charles de Gaulle la Place d’Étoile de l’Arc de Triomphe à Paris.
Le général Charles de Gaulle taxé de redoutable machiavélisme intrigant et dont tout le monde militaire et politique s’est méfié comme de la peste, s’est sorti de son historique « traversée du désert » après la libération de la France en 1944-1945 par le détournement massif des fonds publics, du trésor de la résistance déposé sur des banques britanniques. Les caisses noires de son parti politique renfloués, le libérateur dédaigné a organisé la subversion criminelle de la quatrième République par les procédés de fripouilles identiques que les nazis se sont débarrassés de la République de Weimar : recours coups tordus et recels du crime organisé du grand banditisme en association des gangsters déjà à la solde de la Gestapo : assassinats en série et mêmes collectives, hold-up spectaculaires, extorsion des fonds, faux monnayages, trafics des blanches, de la drogue, des armes, chantages, corruption et trafic d’influence, proxénétisme, escroqueries monumentales, recels des criminels et capitaux des crimes contre l’humanité… Bref, un complot contre la sûreté de l’État qualifié (art 68 C. pén), placé sous l’égide d’une justice nationale et internationale corrompue du haut en bas d’étage.
La tradition du grand banditisme international des « gangsters d’État » au plus haut niveau du régime de la fameuse « French-connexion », s’est joyeusement perpétuée jusqu’aujourd’hui. L’ancien président de la République Nicolas Sarkozy est impliqué dans le trafic de 700 kg de la cocaïne en 2013 de l’Air cocaïne, d’un de ses nombreux proches hommes d’affaires interlopes, arrêté dans la République Dominicaine. La saisine dans l’avion utilisé par Nicolas Sarkozy pour sa campagne électorale d’une telle quantité de drogue dans la République Dominicaine prouve ipso facto la préexistence d’un réseau des trafiquants bien structuré, des hautes complicités et protections, le massif financement politique occulte pour l’entretenir.
Du Général De Gaulle jusqu’à l’usurpateur de la présidence de la République, l’avocat attitré des fraudeurs et trafiquant Nicolas Sarkozy, de ces pourrisseurs de la jeunesse couverts par les comités des droits de l’homme de l’ONU, combien de tonnes sont encore passés inaperçus sous la couverture des juges, procureurs et énarques corrompus de la haute administration avec leurs comptes secrets dans des discrètes banques receleurs à l’étranger ? (Maurice Couve de Murville, ancien ministre de Finance, déjà cité aussi à l’ONU dans l’affaire Papon). Quelques-uns de ces grands corrompus grassement rétribués par le contribuable, mes débiteurs dont exige l’identification, représentaient les intérêts de la France lors des suppressions ou occultations de mes plaintes devant l’ONU et devant la Cour européenne des Droits de l’homme.
Le régime gaullien, fondé sur la corruption et trafic d’influence, présent des nuisances extrêmement préjudiciables pour l’économie nationale ne pouvant plus faire face à la concurrence : des emplois fictifs grassement rémunérés (Charles Giscard d’Estaing…), dans l’administration publique, doubles, triples fonctions fictives pour les copains, les pots-de-vin, tous ces gaspillages se répercutent sur les prix des marchandises, sur l’impôt, les salaires. Le favoritisme et le trafic d’influence, notamment organisé par l’École nationale d’Administration, le trucage systématisé des examens et concours dans les universités des sciences sociales (Jean Sarkozy…), ramène au levier de commande des vils individus pistonnés. Des prétentieux imbéciles corrompus, cultivés au-delà de leurs moyens intellectuels briment les élites de mérite, les évincent des hautes fonctions publiques ou privées où ils puissent se distinguer dans l’intérêt général par leur éminent savoir-faire. La fuite des élites vers l’étranger se produit.
Aussi, avec bien d’autres déchets pistonnés du même tonneau de purin insane des clans corrompus, se trouvent son condisciple de l’École nationale d’Administration (É.N.A.) Valérie Giscard d’Estaing (Opus Dei). Hissent au président de République cet autre Giscard d’Estaing (É.N.A.) coupable de père en fils de la Haute trahison, la cohorte des souillons stipendiés du journalisme de la manipulation de l’opinion de Peyrefitte de l’Académie française, par la diffusion massive des fausses nouvelles tendancieuses, de la désinformation subversive concertée, attentatoires au régime constitutionnel de la démocratie égalitaire. En ont été judicieusement exploités les talents morbides du criminel contre l’humanité Robert Hersant, devenu à la Libération empereur de la presse française par des subventions à fonds perdu de l’État.
Officiellement depuis 1943 la Haute trahison est dévoilée à la justice à Alger libérée des Nazis. Parfaitement informés, ce Peyrefitte en jeune glorificateur littéraire du général Charles de Gaulle, en Secrétaire d’État puis ministre de l’Information, en Chevalier de la Légion d’honneur, Commandeur des Arts et des Lettres, Commandeur des Palmes académiques, mène ce peuple gaulois vers l’abattoir de la répétions du désastre ci-dessous sommairement exposé, plus détaillé dans mes blogs. Divinisé par les médias des gangsters dont l’acquisition frauduleuse fut favorisée par des tricheries de l’Académie française, la manipulation de l’opinion publique avec son armée de ses « nègres » (ghost writer) et des pisse-papiers besogneux, lécheurs de bottes du journalisme laudatrice et de l’occultation maligne des informations historiques et politiques essentielles aux électeurs pour fausser insidieusement l’expression de la volonté générale : la fabrication systématique des fantoches politiques, des démagogues resquilleurs vendus aux puissances occultes des criminels contre l’humanité.
« Ceux qui auraient pu barrer à Hitler la route dès les premiers signes de démence, c’était vous les Français » ! Non ! Non et non ! Alain Peyrefitte. Ceux qui auraient pu barrer la route à Hitler, ce sont exactement les coteries mises en cause dans mes dissertations et exposés judiciaires « supprimés ». Le coup de départ a été donné par Alain Peyrefitte en 1981 en ministre de la Justice du président de la République Valérie Giscard d’Estaing, coupable des crimes Haute Trahison. Ceux qui auraient pu barrer la route à Hitler, c’étaient leurs collaborateurs de l’Académie française, du Conseil d’État, de la Magistrature judiciaire, les démagogues resquilleurs du Parlement, les faisans politiques vendus qu’ils ont mis au gouvernement, leur Rotary club fricoteur, les maçons affairistes de la Grande Loge nationale de France, leur police parallèle composée des criminels du grand banditisme ayant déjà collaboré avec la Gestapo des S/S durant l’Occupation. Aujourd’hui, le stade juridique de la tentative des crimes contre l’humanité est déjà largement dépassé. Ces comploteurs sont déjà en plein dedans !
On ne m’a bien sûre pas laissé narrer les crimes contre l’humanité à la mascarade judiciaire trentenaire des crimes contre l’humanité du petit fonctionnaire de naguère Maurice Papon de ceux qui ont livré à Paris en 1940 au Nazis du géant de l’industrie allemande I.G. Farben l’eau lourd dont il avait impérativement besoin pour la fabrication des bombes nucléaires, les installations de recherches nucléaires uniques de l’Institut Joliet Curie de Paris, pour réaliser l’Anneau des Nibelungen, Le Crépuscule des Dieux qui s’achève dans une orgie de feux et de destruction. Célèbre opéra sacré des Nazis qui a rendu fou Hitler à la de 16 ans, composé de Richard Wagner, leur Leitmotif, « motif conductrice » du génocide inachevé de la Deuxième Guerre mondiale, de la conflagration apocalyptique finale de la Troisième prophétisée. (Les installations de production de l’eau lourde en Norvège avaient été détruites par un commando anglais, le wagon-citerne coulé avec le ferry-boat par un sous-marin). On ne m’a pas laissé narrer que les responsables de cette haute trahison cardinale ont tous été replacés dans leurs hautes fonctions gouvernementales et politiques en héros de la Résistance à la Libération 1944-1945.
Mais quelles sont donc les incongrues raisons personnelles du général Charles de Gaulle, de dissimuler au peuple français, aux cadres de son armée même , l’essentiel de l’histoire de la Deuxième Guerre mondiale, de le tromper avec le crime organisé par son interlope porte-plume des Contes de Grime Alain Peyrefitte auréolé du faux brillant de l’Académie française : la Haute trahison par son régime politique et l’État-major de l’Armée ? L’opération navale combinée Seelöwe de la marine allemande et française pour remettre au trône le roi d’Angleterre Édouard VIII, l’ami et condisciple fervent du gourou Hitler ? La vérité de la destruction de la flotte de Mers-el-Kébir par la Royal Navy, ce sont des informations parfaitement connus dans le haut milieu politique de Londres renseigné par leurs services secrets. Elle a valu à l’Ambassadeur des États-Unis Joseph Kennedy le renvoi chez lui en persona non grata, indésirable, par Wilson Churchill, lorsque De Gaulle s’est installé à Londres. Et aujourd’hui en 2015 seulement, les Français n’en sont informés que par mes blogs.
« Celui qui a dit non » tardivement au micro de Radio Londres, capitaine naguère déserteur à la bataille de Verdun 1916-2017, n’était-il pas celui ayant abandonné ses hommes pour se rendre aux Allemands. Le Colonel Charles de Gaulle, n’était-il pas celui installé en planqué avant l’invasion de 1940 dans cette accueillante ville en « détachement précurseur » de tous les traîtres de la France, pour les réactiver dans le régime en 1958 des « gangsters d’État » ? « Celui qui a dit oui » aux « gangsters d’État » de la IIIe République, n’était-il pas le précurseur assurant l’accueil convenable à Londres des spéculateurs de la débâcle de l’armée française ; de ceux qui comptaient le suivre dans le luxe avec leurs biens liquidés en douce, convertis en lingots d’or et leurs nobles maîtresses ; des initiés qui tous en coulisse savaient que l’armée française trahie a été foutue avant même que le premier coup de canon fût tiré par les Allemands ? Oh ! Ah ! par exemple… Cette crasse derrière les grandioses monuments des grands hommes de la France, au Panthéon et en dessous ! Enfin, ne désespérons pas ! Il y a toujours de l’espoir ! Le remarquable philosophe, légiste et journaliste de la Révolution française de 1789, Jean-Paul Marat, « l’ami du peuple », (1743-1793) a aussi dû passer par le sanctuaire des grands hommes au Panthéon avant de trouver la sépulture qui lui convenait. Il y reste tant de place offerte à bon marché par le contribuable déniaisé pris pour des souverains imbéciles par sa classe politique, universitaire et judiciaire des tarés vénaux.
« Celui qui a dit non », n’est-il pas le pur produit de la subversion de la IVe République par des pires des criminels du grand banditisme associés aux protagonistes de la bonne société de la Haute trahison ? Le financement de sa carrière politique après 1946, n’était-elle pas assurée par le détournement à Londres du trésor de la Résistance, c’est-à-dire des fonds publics de la IVe République qu’il a trahie… ? Si jamais ces questions ne trouvent une réponse, que deviendra dans l’Histoire, notre grand homme du star-system de la tromperie nationale ayant si héroïquement dit non au micro de Radio Londres, entouré des plus pernicieux des protagonistes de la Haute Trahison de la France, pour en « faux résistants, vrais coquins » leur remettre dans les mains tous les leviers de commande de son régime, de leur confier des hauts commandements dans l’Armée et dans la Police… ? Une véritable menace existentielle du peuple français, comme avant 1940.
Une des grandes caricatures marquant ayant passé de la collaborative nazie des crimes contre l’humanité au gaullisme est cet autre ex-journaliste Jacques Chaban-Delmas. À la période de la Haute trahison de la France Jacques Chaban-Delmas du Rotary fricoteur, diplômé de l’École libre des sciences politiques, licencié en droit, diplômé d’études supérieur d’économie politique et de droit public. Majeur de l’École militaire Saint Cyr, Lieutenant à la défaite, ce spécialiste entre dans le gouvernement collaborateur de Vichy, travailles-en 1941/42 au gouvernement Pierre Laval (fusillé à la Libération) comme fonctionnaire au ministère de la Production industrielle (pour les Nazis). Lorsque les choses commencèrent à se gâter pour les Nazis en ex-Union soviétique, avec d’autres membres du gouvernement de Vichy, il tourne casque et rejoint le général Charles de Gaulle. Cet opportuniste, machiavéliste viscéral, essaye faire passer le lieutenant agrandi en général d’opérette dans un an dans les salons, en libérateur de Paris en 1944, d’en produire un des piliers médiatique de ses Compagnons de Libération. Chaban-Delmas entre dans le régime gaulliste des « gangsters d’État », se voit confier plusieurs ministres dont le Premier ministre, est accusé par le Canard enchaîné de ne pas payer des impôts dus et favoriser la fraude fiscale des notables.
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J’en ai déjà fait état aux parlementaires et aux ministres, et à la Justice dès mes débuts vers 1978 à Castres et à Toulouse, ensuite à la Chambre criminelle de la Cour de cassation avec des éclats d’une fusillade mémorable, à propos des holdings de l’immobilier, liés avec le Service d’Action civique au trafic de la drogue de la « French-connexion ». N’ont été imposables en rien, avec les dégrèvements de ma Croix de Combattant et des frais déductibles, mes revenus de la pension de retrait réduite par le départ anticipé, organisée pour me faire rentrer en combattant « armé » dans les universités de droit. Les ministres de Finance successives me firent cracher des impôts indus, (deux fois même parfois), durant mon cauchemar judiciaire quarantenaire de la légitime défense politique incontestée, manœuvrée par les services spéciaux de la Grande Muette contre ce régime des « gangsters » sans légitimité politique aucune ; conte un régime clépto-plouto-démocratiste d’une représentation parlementaire du fric sale, basée exclusivement sur des fraudes, corruption, trafic d’influence, concussions, meurtres politiques et pillages des biens publics… dont la réserve d’or de la Banque de France bradée sous la direction du ministre des Finances ad hoc Nicolas Sarkozy, au lieu de faire poursuivre les escrocs de haute volée en application de ma science pénaliste incontestée.
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Le mois de septembre 2011, j’ai publié en réaction des articles de la presse et sur la page 2 de mes blogs mes analyses pénalistes les escroqueries immobilières internationales SUBPRIME, des contrats hypothèques sans valeurs transformés en titres négociables en bourse. L’assurance « Hedge funds » ou CDO, de ces titres appartenant à autrui en spéculant sur l’effondrement de l’économie mondiale en procurant des bénéfices colossaux par des manœuvres frauduleuses en bande organisé aux escrocs. À la bibliographie référencée dans mes publications s’ajoute l’ouvrage savant des Linda Mcquiaig et Neil Brooks, « Les milliardaires. Comment les ultra-riches nuisent à l’économie ». Mes analyses ont été présentées régulièrement à la justice, dont à Madame la Juge d’instruction Isabelle Prévost-Deprez du T.G.I. de Nanterre à titre de témoignage d’une partie civile empêchée de se constituer par voie d’intervention dans un « complot contre la sûreté de l’État »…. dans l’information contre l’escroc notoire, l’ex-président illégitime et illégal de la République, l’usurpateur Nicolas Sarkozy.
Résumons-le, la mise au marché des « titres » toxiques, des titres qui vous font crever, est une escroquerie en droit française. En anglaise: « confidence trick of funds embezzlement of Stock market crook dealer’s, con man’s combination of Stock exchange… » « L’éclatement d’une bulle » de titres boursiers sans valeur est l’euphémisme du monde financier de la banqueroute frauduleuse manifeste. Depuis 2011, des milliers et milliers internautes du monde entier s’instruisent sur mes explications en langue allemande et française des blogs surveillés à la virgule près des pouvoirs publics administratifs, judiciaires, gouvernementaux, policières, politiques…
L’avocat des affaires des mafieux Nicolas Sarkozy, Député-maire de Neuilly sur Seine, a été Ministre du Budget en 1993-1995 a été placé en 31 mars au 29 novembre 2004 en ministre d’État éphémère de l’économie, des finances et de l’industrie, rien que pour brader aux spéculateurs une partie des réserves d’or de la Banque de France ou lieu de faire engager par ses procureurs aux ordres des poursuites judiciaires contre des escrocs, dont ses clients d’avocat, ses sponsors électoraux dont Bouygues, ayant produit à la France des préjudices considérables. Ces opérations de la braderie du bien de l’État ont été évidemment organisées dans les détails par ses collaborateurs issus de l’École nationale d’administration (É.N.A.), des magistrats de la Cour du compte… en toute impunité en conformité du régime anticonstitutionnel « d’opportunité des poursuites pénales ». Régime scélérat cher aux procureurs généraux de la conjuration corrompue du procureur générale, le maçon Jean-Louis Nadal de la Grande Loge nationale de France, finissant à la Cour de cassation de « saccager la justice », selon sa propre expression, pour me casser les reins avec sa taupe protégée Jacques Bidalou.
Le régime Sarkozy est une authentique excroissance morbide des comploteurs contre la sûreté de l’État décrit par Alain Deneault, docteur en philosophie de l’université Paris-VIII. Il est actuellement chargé de cours au Département de Sociologie de l’Université du Québec à Montréal et écrit en préface du livre précité : « Les riches et ultra-riches constituent une oligarchie qui organise jusqu’aux moindres détails l’activité sociale de façon qu’elle satisfasse ses intérêts. Les États et institutions judiciaires participent à l’édification du système. Un impressionnant appareil de propagande est par ailleurs requis dans les médias et à l’université pour générer les sophismes qui donnent un semblant de consistance au discours justifiant l’ensemble ».
(Et ce qui vient d’être démontré ci-dessus est aussi vrai pour le Fonds monétaire international (FMI), pour arranger les fraudeurs enrichis,¬ sous les auspices du Centre des droits de l’homme de l’ONU à Genève, ayant fait appel comme directeurs les escrocs de hautes voles notoires : Et ce qui vient d’être démontré ci-dessus est aussi vrai pour le Fonds monétaire international (FMI), pour arranger les fraudeurs enrichis,¬ sous les auspices du Centre des droits de l’homme de l’ONU à Genève —, ayant fait appel comme directeurs les escrocs de hautes voles notoires : Dominique Strauss-Kahn (É.N.A.) et Christine Lagarde, (Avocat et femme d’affaires, diplômée de l’Institut politiques d’Aix-en-Provence), anciens ministres de Finance de la France). Répétons-le aux fines mouches au parfum, les deux ministres de finances Strauss-Kahn et Lagarde, incités par la président de la République, l’avocat Nicolas Sarkozy, ont suscité des détournements important des fonds publics au profit de l’affairiste interlope Bernard Tapi, et dont la réputation d’escroc de haute volée n’était plus à faire. (Grâce à mes dénonciations, il a été condamné en décembre 2015 de rembourser une partie à la Banque et se cache devant les huissiers de Justice). En se servant de son fils en homme de pailles, il a renfloué aux États-Unis une société de jeux informatiques de la mafia mise en faillite par la justice locale. Ces spécialistes en informatique de la mafia ont saboté mon blog « dietrichp13.wordpress.com » sur le complot contre la sûreté de l’État, ont procédé à la destruction temporaire.
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Malgré la saisine congrue de la Section du Contentieux de Conseil d’État, cette auguste hauteur présidée par le Premier ministre et le Ministre de la Justice , qui se débarrasse illégalement du dossier par le renvoi au Tribunal administratif de Paris, suivie par l’enterrement à la Cour d’appel administratif de Paris, ces ministres des Finances (dont Sarkozy), sans ménagement, firent violer mon domicile par des agents du Fisc, me firent vider frauduleusement mes comptes courants de la Poste et du Crédit Lyonnaise, dirigés par des énarques, cherchèrent de produire subrepticement mon interdiction bancaire.
L’organisation actuelle des juridictions administratives sous le contrôle du Conseil d’État constitue en elle-même une grave atteinte au principe de la séparation des pouvoirs, car le Conseil supérieur de la magistrature est traité comme une juridiction d’ordre administratif par laquelle ont été détournés des juridictions pénales, des Cours d’assises et de la Haute Cour de justice, des faits qualifiés par « la branche morte du Code pénal » (Professeur Raymond Gassin) en différentes forfaitures criminelles, des « multiplications des facéties » narguées par le Doyen de l’université de droit Wilfried Jeandidier cité.
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Les mobiles de l’attentat à Karachi au Pakistan le 8 mai 2002, ayant coûté la vie à onze employés de la Direction des constructions navales de Cherbourg, témoigne des exploits criminels typiques des escrocs de haute volée, rodés à l’École nationale d’administration et placés aux leviers de commande dans les ministères. Il a fallu dix ans d’enquête judiciaire pour la découverte par le juge d’instruction Marc Trévidic, des pots-de-vin versés aux acheteurs des armes du Pakistan, avec rétrocession à des ministres de la plus belle teinte mafieux comme François Léotard, (clique déjà échappée de la Haute Cour de justice par l’assassinat de la députée Yann Piat), alors ministre de la Défense du Premier ministre (1993-1995) Édouard Balladur (É.N.A.) et son ministre de Budget Nicolas Sarkozy. La suspension des payements des pots-de-vin en 2001-2002, – par quels mystères sous la présidence de la République de François Mitterrand —, a déclenché la réaction vindicative meurtrière de l’autorité pakistanaise. Pour soutirer l’affaire de la compétence exclusive de la Haute Cour de justice existant jusqu’à l’an 2007, l’organisation terroriste Al-Qaïda est désignée comme responsable par le précédent juge d’instruction Jean-Louis Bruguière. Ce « manipulateur sans éthique », a été un militant politique à toute épreuve pour le gouvernement mis en cause et qu’il couvrait manifestement en embourbant en zèle partisan l’affaire dans marécage judiciaire insondable.
Or, en 2002 déjà, sans doute par le gouvernement encore sous la présidence de la République de François Mitterrand (1981-1095), un commando du Service d’Action de la DGSE (service secret de l’armée) a été dépêché au Pakistan pour appliquer des mesures de rétorsion préventives de l’attentat. À cette époque, j’ai été éliminé du circuit judiciaire par des mesures vindicatives physiques et psychiques et d’intimidation criminelle de tous azimuts contre moi pour empêcher la répétition de mes interventions avisées dans la procédure par un déclinatoire de compétence motivé pour provoquer la saisine de la Haute Cour de justice. Tout le beau monde judiciaire et parlementaire, saisi du dossier judiciaire saboté de A jusqu’à Z dès le départ de l’affaire Karachi, a connu et redoutait la menace du juriste avisé Dietrich avant la suppression de la Haute Cour de justice et son remplacement illégale de la Cour de justice de République. Semblable à l’affaire du « Sang contaminé », l’affaire tripotée finit par être enterrée dans la confusion obscurantiste avec des faussaires de ma précédente intervention à la Commission des requêtes examinant la légalité de l’admission des poursuites des membres du gouvernement seulement.
Cette incompréhensible Commission, qui à présent dans le secret, assume la fonction publique du Parlement, est composée en partie des membres du Conseil d’État et la Cour des comptes, issue de l’ É.N.A. Quelques-uns ont été par ces manœuvres politiques d’évitement sauvés des poursuites par cette feue Haute Cour de justice. L’ancien ministre du Budget Nicolas Sarkozy, sans doute avec une partie des fonds détournés dans des affaires telles Karachi, et des fonds versés sous le manteau par le colonel par Mouammar Kadhafi, chef du gouvernement légitime de la Lybie, se finance par les médias receleurs sa campagne électorale pour succéder à la présidence la république à Jacques Chirac en 1995.
Le règlement de compte politique à la française derrière l’affaire de l’attentat de Karachi est un échantillon typique du recel des fonds criminels par les médias en échange de la manipulation de l’opinion par l’intox et la désinformation. Après la victoire de la droite aux élections législative de 1993, Édouard Balladur est devenu le Premier ministre sous la présidence de la République de François Mitterrand de la gauche. Mitterrand est victime de la déstabilisation par la subversion citée d’une coalition mafieuse des magistrats du tribunal de grande instance du Mans, dont le très médiatique juge d’instruction prévaricateur Thierry Jean-Pierre allié au juge rouge Jacques Bidalou. Juge en fonction encore, la taupe est politiquement associée dans des conférences publiques au juge d’instruction antiterroriste Jean-Louis Bruguière, « un manipulateur sans éthique » chargé de l’information de l’attentat de Karachi. Lorsque Édouard Balladur est devenu chef du gouvernement, avec ses deux ministres notoirement mafieux Léotard et Sarkozy, il comptait de doubler le chef de parti Chirac dans les élections présidentielles à venir par le financement occulte des rétrocessions des pots-de-vin versés aux autorités de Pakistan de la vente des sous-marins. Lorsque Chirac est devenu président de la République en 1995, le mafieux trouvait tout intérêt de faire étouffer l’affaire par la justice et la presse soudoyée dans l’affaire Cogedim/Bouygues. Maire mafieux de Paris, dont les élections ont été financées des escroqueries immobilières poursuivies à Paris et à Créteil où mes constituions de partie civile, assortis de déclinatoire de compétence au profit de la Haute Cour de justice ont pu être supprimés grâce au dénigrement des médias, accréditant en même temps le juge rouge Jacques Bidalou.
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Précisons de nouveau, en se faisant passer pour un « juge rouge » martyr, l’insignifiant juge d’instance et manifestement incompétent Jacques Bidalou, d’un cercle des Illuminatis pervers, se fit suspendre de la magistrature par une série grotesque de forfaitures des partialités. Le ministre la Justice Alain Peyrefitte du Rotary a été un de mes principales adversaires mis en difficulté de l’époque à laquelle je fus manœuvré en douce dans l’université de droit à Toulouse contre le complot contre la sûreté de l’État opérée par la police parallèle des gangsters encadré des policiers « Service d’Action Civique » (S.A.C.) opérant des actions criminelles pour le compte des membres du gouvernement et de leur parti politique.
Par son aura de magistrat-justicier avisé, redresseur de tous les torts, Bidalou noyaute à Toulouse l’expert-comptable Jacques Belhomme avec son « Association de Défense des Victimes de Justice ». Lors de ma mémorable fusillade pour m’opposer aux crimes de suppression de mon acte de procédure par les Huissiers de justice, – les deux requêtes de renvoi pour suspicion légitime, conféraient déjà la compétence exclusive à la Haute Cour de justice —, référence faite à la jurisprudence de principe répétée par la Chambre plénière de la Cour de cassation à l’irréprochable juge d’instruction Gilbert Thiel, par complaisance aux malfaiteurs réunis du Rotary, de l’ex-S. A.C. avec le maire de Toul.
Ainsi, l’expert-comptable Jacques Belhomme me récupère comme conseiller juridique salarié, me fait former une Confédération nationale des associations de défense des justiciables pour ramasser toutes les dossiers sensibles relatifs au complot contre la sûreté de l’État. Par des manipulations astucieuses, je fus éliminé avec les combines des avocats félons du cercle des pervers de Bidalou. Cette hypocrite taupe double des futurs ministres mafieux fut réintégrée dans la magistrature par le président de la République François Mitterrand. Tout le monde espérait qu’en substitut du Procureur de la République, le Don Quichotte rouge d’attaque provoquera la saisine de la Haute Cour de justice contre la mafia de l’ancien ministre de la Justice Alain Peyrefitte avec mes dossiers récoltés et avec moi redevenu active dans les universités de Paris et dans les associations.
Vite, ce « juge rouge » laissa tomber son masque devant moi, tourna casque avec tout son cercle des pervers. Avec ses avocats félons des Illuminatis « rouges bruns », en concert avec les truands de l’ex-S. A.C. et de l’extrême droite, dans son officine au comptoir du restaurant Le Piccadilly d’Aubervilliers, fut organisé le blocage de ma revendication de la compétence de la Haute Cour de justice par l’intimidation des autres victimes du complot. Pour les noyauter en supporters enragés des sabotages judiciaires par l’accréditation « Jacques BIDALOU, magistrat honoraire, président statutaire de SOS Victimes de Notaires », il créa le « SYNDICAT DES JUSTICIABLES ». Ce n’a été rien d’autre que l’imitation de confédération nationale des associations de défense des justiciables qu’il m’a empêché de créer à Toulouse.
Par des constructions juridiques d’une prétentieuse logorrhée juridiquement absolument inopérantes, avec ses avocats félons, furent montés des dossiers des procédures perdues d’avance. Ensuite, le sabotage de leur propre veine perverse des affaires des plaignants fut présenté, en forfaitures criminelles sans en faire une démonstration de la réalité et de la consistance des actes incriminés, mettant pêle-mêle toutes les autorités de la république en cause. Des purs simulacres de mascarade, car jamais a été revendiquée la compétence de la Haute Cour de justice bien connue, comme de droit. Pour le gangster d’État miraculés, n’y avait pas de meilleurs procédés de fripouilles pour discréditer mes constructions congrues sur la compétence de la Haute Cour de justice qu’avec les victimes ainsi noyautées et d’en faire même de fabriquer des supporters électoraux bénévoles.
Nous avons démontré déjà à la Justice ces manigances criminelles opérées dans les poursuites à Bourges du notaire banquier, l’escroc faussaire Jean Aucouturier du Rotary. Le fils complice et receleur Philippe de l’É.N.A., a été le conseiller du président de la République Valérie Giscard d’Estaing. L’avocat félon William Bourdon maintes fois cité, opérant à partir du restaurant le Piccadilly, a été le premier saboteur de la saisine de la Haute Cour de justice en défenseur de l’Association de Défense des Victimes des notaires. Ensuite par l’aura médiatique récupérée avec Bidalou à Bourges, par mon élimination par la diffamation médiatique, l’avocat marron William Bourdon sabote les causes des associations de défense des victimes de général Pinochet du Chili.
Ensuite, en bref, après m’avoir fait éliminer par les injures du journal Libération dans la procédure correctionnelle Cogedim/Bouygues à Paris, le juge rouge Bidalou, en représentant du Syndicat des justiciables, avec l’avocat félon Gilbert Collard, se concerte devant la Cour d’assises de Bourges à un simulacre de justice avec des argumentaires juridiquement inopérants, favorablement médiatisée. Devant la presse complaisant, les victimes de leurs propres turpitudes avocassières sont passées en victimes des forfaitures d’un complot judiciaire des magistrats corrompus. Répétons-le, par la copie de mes actes de procédures produites à l’audience publique, contradictoire, les médias ont été parfaitement informés de la combine mafieuse des « gangsters d’État » derechef miraculés de la Haute Cour de justice.
Encouragé du succès, avec ce « syndicat de justiciables », les affaires d’innombrables victimes sont sabotées de manières semblables dans le but d’opérer la subversion politique sous sa direction occulte des anciens ministres de la justice, commanditaires du feu juge rouge Bidalou. Ils piégeaient les crédules par leur site Web avec la publication des procédures fantaisistes de Bidalou, abondantes des qualifications pénales de forfaitures et prévarications avec des imputations mensongères contre les pouvoirs publics, sans apporter des preuves de la Réalité des faits allégués par des commentaires rationnels.
Mais ce Syndicat de façade des justiciables avec les acolytes de Bidalou, des journalistes politiques comme l’insolent saboteur Christian Lançon, semble de continuer à sévir dans la France par des escroqueries en bande organisée. En se servant d’attrape-gogos par le Web avec la publication des actes de procédure de Bidalou, surabondant des qualifications criminelles de forfaitures contre les autorités, sans en démontrer la réalité des faits précis par des commentaires rationnels. Mon avertissement aux victimes sur le site internet SYNDICAT DES JUSTICIABLES a été censuré par le « modérateur » le mois de septembre 2015.
Répétons-le : dans les procédures à venir, le huis clos réclamé par moi, contradictoirement, sans contredits dans l’audience publique, est une exigence du maintien de la sécurité publique et celle des victimes et témoins.
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C’est que tous les membres des juridictions administratifs sont formés par l’École nationale d’Administration (É.N.A.), une grande école de l’État crée en 1945 par le rotarien Michel Debré pour réserver l’accès à la haute fonction public aux clans de la petite gentry et leurs sociétés secrètes, des rejetons pistonnées de la société demi-mondaine se faisant passer en « méritocratie » de « la noblesse d’État ». Ce système de la typique « médiocratie » de la décadence du népotisme et favoritisme des irresponsables imbéciles prétentieux, des pitres cultivés au-delà de leurs moyens intellectuels, sévit par cette école supérieure des escrocs de haute volée, association de malfaiteurs opérant sous couverture judiciaire totale. Au lieu de se limiter à la formation des hautes fonctionnaires de l’administration publique, le pouvoir réel de la clépto-ploutocratie a placé sous la direction des anciens élèves de l’École nationale d’Administration les hautes sphères politiques et économiques de la France. Petit à petit ce système du trafic d’influence des escrocs en bande organisé essaime à l’étranger jusqu’au Fonds monétaire international (FMI) avec l’escroc de haute volée notoire, Dominique Strauss-Kahn, ancien ministre de Finance, avec ses avocats lobbyistes payés à un million dollars/heures pour le sabotage de la justice.
À présent, ces énarques ont conquis les têtes des partis politiques et la direction des grandes entreprises privées et publiques. En se faisant récompenser par les plus hautes distinctions honorifiques, ces escrocs de haute volée en bande organisée, formés judicieusement à ça à l’É.N.A., ont mis en faillite les plus prospères entreprises de la France par des subtils détournements des fonds, en remplissant au passage leurs fonds secrets dans des banques à l’étranger, pots-de-vin exonérés de tout impôt. La situation est devenue si caricaturale que les services secrets de l’armée, pour tenter de limiter les sinistres du complot contre la sûreté de l’État, se voyaient obligés de faire former discrètement dans les universités de droit un petit adjudant endurci des commandos d’actions spéciales. Résultat : ces réseaux de trafic d’influence, créé par la solidarité du corps du Conseil d’État, ont presque réussi d’écraser cet impertinent Dietrich, n’hésitant pas d’organiser une manifestation contre lui dans la salle d’audience de la Section du contentieux du Conseil d’État à Paris. J’attends toujours la liste nominative de mes augustes débiteurs de réparation d’un million de dollars/heure.
Ainsi, par les attraits des plus hautes décorations honorifiques, ces ministres, en ennemi de l’intérieur usurpateurs de l’autorité publique d’un « État gangster », ont réussi de me mettre en marge de la société. Avec moi, paria repousser de tous, ont été paralysés durant quelques années mes activités universitaires et judiciaires et mes études en autodidacte téléguidés pour rétablir la sûreté de l’État, l’État de droit constitutionnel en France conte des « fonctionnaires » parjures rémunérés par le contribuable par des traitements au moins dix fois supérieurs à mes revenus. Avec mon élimination, les Gangsters d’État aboutissent en 2007, à l’élection tripotée avec l’agent sale de leur avocaillon de merde Nicolas Sarkozy en baladin de comédie. La présidence de la République passe carrément dans les mains « des maçons affairistes » de la Grande Loge nationale de France avec l’énarque Claude Guénant en secrétaire général et ses condisciples de frères mafieux. « De fait, la Ve République explose : désormais le président gouverne, le président légifère, le président juge… ».
La coalition mafieuse de concertation contre les droits fondamentaux et la loi en a tiré profit pour modifier la Constitution, de supprimer la Haute Cour de justice, de remplacer le Code pénal pour vider de son sens la qualification pénale « Complot contre la sûreté de l’État par des attentats à son régime constitutionnel de la démocratie égalitaire ». Maintenant, en avant la musique : « Nul n’est censé d’ignorer la loi en France », pas vrai?
Plongé dans une misère noire, j’en ai bien failli de trépasser à petit feu sous la succession des chocs psychologiques combinatoires justice-fisc : des harcèlements des barbouzes dotés d’armes électroniques secrets et policiers des ministères de l’Intérieur tels que Charles Pasqua de son politique « des coups de pieds dans les couilles », (avec son éminence gris Claude Guénant (É.N.A. & G.L.N.F.), manœuvrant ses « rebelles » subversifs du juge rouge Bidalou. Accrédité par les médias qui m’injuriaient, vilipendaient, ce fantoche adulé est dirigé par les ministres de la Justice lui promettant l’intégration dans la magistrature, la sale besogne réussie avec les avocats William Bourdon, Gilbert Collard et leurs collaborateurs pervers des barreaux de toute la France. Harcelé sans répit par tous ces criminels, leurs avocats, (simultanément les miens tels le félon Vergès), ont pompé dans mes exposés supprimés les argumentaires de ma science pour se dédouaner eux-mêmes en douce des crimes les plus monstrueux contre la sûreté de l’État de la France : Maurice Papon à Bordeaux, la mafia meurtrière du Rotary et de l’ex-S. A.C. du maire Jacques Gossot de Toul…
Le comble de la récupération de ma science n’a sans doute pas encore atteint par le ridicule de l’application d’office au profit du substitut général prévaricateur Jean-Pierre Marchi par le regretté Christian Le Gunehec. Cette vieille connaissance de l’affaire Papon à Bordeaux de président de la Chambre criminelle de la Cour de cassation retenait sous ses coudes mes multiples dossiers revendicatifs. Il est fort à parier que les autres bénéficiaires soudoyés par les truands parisiens, mis sous l’écoute d’un juge d’instruction bafoué par l’annulation de complaisance, ont été les magistrats prévaricateurs qui ont anéanti mon intervention congrue à l’audience correctionnelle à Paris dans l’affaire COGEDIM/Bouygues : la réunion fraternelle des escrocs de haute volée, décorés de la Légion d’honneur, des démagogues resquilleurs de la franc-maçonnerie, du Rotary… de toutes les institutions politiques et la pègre de l’ex-S.A.C., impliquée avec ministre de l’Intérieur Charles Pasqua. Moyennant grandes finances, cette association de malfaiteurs complotant contre la sûreté de l’État, répétons-le, a été préservée de la Haute Cour de justice par la défense de mon ancien professeur en droit de l’Université Panthéon Sorbonne de Paris, membre de l’Académie française ; un des professeurs d’une platitude obséquieuse qui firent obstacle à ma présentation de la thèse de doctorat, et, sans doute en coulisse avec son allié Marchi, maître de conférences, de mon entrée en avocat au barreau de Paris.
A produit des miracles, la distribution par les ministres miraculés des poursuites pénales de quelques médailles aux tripatouilleurs du concours d’avocat et aux journalistes de l’audience, valorisant dans la presse les bobards du juge rouge Bidalou, (avec ses avocats en arrière-plan au resto Le Piccadilly), auprès de toutes les associations de défense des victimes de justice et de la déprédation politique nationale et internationale. En même temps les pisse-papiers, je les compte, avec les magistrats et avocats, aussi de voir recensés parmi les débiteurs d’un million de dollars/heures , par l’injure de « Belge paranoïaque » et par l’escamotage de motifs sériés de mon intervention congrue, mes argumentaires avisés « d’escroqueries en bande organisés avec des ministres déprédateurs, comploteurs contre la sûreté de l’État », m’ont exclu des associations décavées par leurs avocats félons et de l’Église Sciento, m’ont livré à une nouvelle tentative d’assassinat psychiatrique, même des tentatives d’assassinats tout courts.
Alors rendu aveugle, un nouveau rapt psychiatrique, séquestration avec des empoisonnements médicamenteux mit un terme, imaginé définitif , à mes actions judiciaires et universitaires. Mais des Bill Gate avec Windows aux États-Unis ont fait des imprévisibles merveilles en informatique et internet. À présent, par milliers du monde entier, des doctorants et leurs professeurs, des praticiens du droit des juridictions nationales et internationales, des historiens, des philosophes… s’instruisent assidûment sur mes blogs de ma science combattue des années durant par le lobbying avocassier à un million de dollars /heure. Voyons maintenant si vraiment « Nul n’est censé d’ignorer la loi en France » ? Si tous sont égaux devant le droit et devant les cours de la justice, comme l’ONU aussi le proclame.
Est ministre du Budget, Chaban-Delmas du Rotary fricoteur, ce mafieux comploteur en ligne continu contre la sûreté de l’État, ministre et député-maire de la ville de Bordeaux durant cette funeste époque de la mascarade trentenaire des poursuites pour complicité pour crime contre l’humanité de son homologue au gouvernement gaulliste Maurice Papon. Ces deux lascars scélérats, avec bien d’autres du haut monde politique, répétons-le, sont justiciables de la Haute Cour de justice 1958, en plus de la Haute Cour de justice de 1944-1945. En ce moment, je fus séquestré et torturé dans la prison et dans la forteresse psychiatrique près de sa ville de Bordeaux où se trouve l’École nationale de la Magistrature (É.N.A.). Un de mes tortionnaires, (et de celui de Joseph Couchot), favori de Chaban-Delmas y est maître de conférences. En 1982-1983, j’ai inondé toutes les autorités administratives et judiciaires à Bordeaux de demandes avisés de mise en liberté immédiatement. Résultat : mes requêtes congrues furent supprimées, mon argumentaire savant fut récupéré par le ministère public pour l’annuler de tort et de travers « dans l’intérêt de l’ordre public » la procédure d’information de Maurice Papon, sic ! Car, « Nul n’est censé d’ignorer la loi en France », pas vrai ?
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« – Allons enfants de la Patrie, – Le jour de gloire est arrivé ! – Contre nous de la tyrannie, – L’étendard sanglant est levé, (bis) – Entendez-vous dans les campagnes ! – Mugir ces féroces soldats ? – Ils viennent jusque dans vos bras, – Égorger vos fils, vos compagnes ! Refrain : – Aux armes, citoyens, – Formez vos bataillons, – Marchons, marchons ! – QU’UN SANG IMPUR Abreuve nos sillons ! »
« Nul n’est censé d’ignorer la loi » en France est un principe fondamental du droit appliqué avec toute sa rigueur au plus sottes d’analphabètes et aux immigrés incultes de la langue française. « Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droit […] La loi doit être la même pour tous […] Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires doivent être puni », constitue la base des droits fondamentaux en France depuis la remise en vigueur en 1945 en Préambule de la Constitution. La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 a érigé en droit fondamental « le principe de la légalité des poursuites pénales », (exigeant l’application aux malfaiteurs les qualifications pénales les plus sévères), comme par ailleurs le Code pénal révolutionnaire amplifié du Code pénal de 1806.
L’obstacle à l’application réelle au régime en France d’un état de droit démocratique est le maintien de fait de l’organisation napoléonienne de la Justice impériale, « le principe de l’opportunité des poursuites pénales ». Un simple jeu de mots dissimulant l’arbitraire monarchique aboli par la Révolution après 1789 avec la remise en vogue de tout d’un apparat corrupteur, supprimé par la Révolution : le corporatisme aujourd’hui anticonstitutionnel des professions extrajudiciaires et médicales, des décorations honorifiques, des carottes incitant les forfaitures, Académies honorifiques…
Le lieutenant d’origine italien, traître du Roi, le déserteur de l’Armée d’Égypte pour faire établir en France le Sénat des démagogues resquilleurs. Pour se faire anoblir en ses barons béni-oui-oui, les sénateurs resquilleurs intronisant ensuite en Empereur le général Bonaparte : le traître de la République et de la laïcité de l’État, le traître de sa femme pour s’accoupler, (violer est le mot juste), avec une princesse du sang sacré méro-carolingien de l’Autriche. Rien pour se construire des magnifiques monuments, le sabreur ruine l’Occident dans des campagnes militaires folles ayant en quelques années de gloire militaire produit la ruine et le désastre de la patrie. Reconnaissant de la construction de l’Arc de Triomphe si touristiques, la France offre encore en mausolée l’Hôtel des Invalides aux cendres du démolisseur de la laïcité de l’État et des droits de l’homme pas encore rétablis en 2015. L’Empereur Napoléon I, comploteur contre la sûreté d’État républicaine, y est parvenu en imprégnant à la justice « sa marque » du despotisme impérial, comme il se targuait sans vergogne, abolit le principe révolutionnaire « Liberté, Égalité, Fraternité » dans les Constitutions parasitées de l’influence de son clan des traîtres, et a introduit l’avocature de l’État, « les accusateurs publics » des républiques, dans la magistrature judiciaire. Du parquet devant les formations du jugement, le despote a élevé les Procureurs de la République, « ses malfaiteurs » indécrottables, sur l’estrade des magistrats hiérarchisés, au même niveau « de ses fonctionnaires jugeurs » de carrière, accoutré de tous ses symboles « des sinistres du passé » (Nietzsche), faisant éloge de la Haute trahison et des complots contre la sûreté de l’État démocratique. « Nul n’est censé d’ignorer la loi en France », pas vrai ?
Tant que l’histoire de France n’est pas honnêtement expliquée, la philosophie politique primordiale du grand Friedrich Nietzsche pas exactement interprétée à l’enseignement public aux enfants, seuls quelques érudits spécialisés comprendront la signification historique. Depuis le baptême et sacré du païen Clovis I, (idole d’Hitler et de Wagner), sacré pour désorganiser la défense militaire de la Gaule basée sur le serment de vassalité ainsi rompu des chefs militaires. La France n’est pas le pays des Francs ! C’est le butin de ses conquérants francs et allemands, des hordes païennes cannibales, de la conflagration apocalyptique de la guerre génocidaire mise en musique des opéras de Wagner, musique sacrée de nazis. Le pays des Francs est la Franconie en Allemagne. La France, c’est l’empire des Francs (surhommes selon les nazis), appelé Frankreich par les « Allemands », (« Teutons = Deutsche »), est la dénomination exacte, et selon la loi Salique toujours vénérée, la propriété privée des rois francs. La France, c’est une colonie sanctifiée de l’aristocratie franque. Ceux qui se nomment « français » sont en fait que des Gaulois vaincus, réduits à la servitude, (à des sous-hommes selon les nazis), par une autre haute trahison de l’Histoire, du plus funeste crime contre l’humanité de l’Histoire, le « sale rêve » (Nietzsche) des mystiques nostalgiques comptants de nous remettre ça. La Révolution de 1 789 comptait maintenir le pouvoir sacré de l’aristocratie franque, et ne visait seulement d’établir une monarchie constitutionnelle. Le drapeau bleu, blanc, rouge symbolise, bleu le royaume, rouge le Saint Empire germanique, le blanc le sacré de l’Église. (Plus de détails sur la page 4 des blogs).
Dorénavant, « la marque impériale, s’est matérialisée par le fait que les Procureurs du ministère public, « la magistrature debout » s’adressent altier de haute en bas aux juges, et encore de plus haut aux avocats des parties. « Le principe de l’opportunité des poursuites » a érigé en pratique officiel du droit des crimes politiques tels que « la suspension de l’application des lois par une coalition des fonctionnaires », « décisions partiales par des juges et administrateurs de la justice », « participant aux crimes dont ils sont tenus d’empêcher ou de réprimer », somme tout, l’immixtion dans le pouvoir législatif des fonctionnaires jugeurs tacitement aux ordres impériaux dont la dégradation civique à perpétuité est exigée de l’article 183 du Code pénal de 1806.
La sanction pénale de dégradation civique, imposée par l’article 7 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, fait obstacle à toute poursuite pour outrage à magistrat ou même d’offense au président de la République des victimes à juste titre enragées. Une leçon déjà bien retenue par l’avocaillon de merde maitre-fripon Nicolas Sarkozy cherchant m’éliminer avec mes blogs par ses procédés de fripouille de sa bande « d’ordures par définition de la loi ». Cet argumentaire de défense, je l’ai soutenu par écrit en 1982 déjà, contradictoirement, à l’audience publique devant le tribunal correctionnel de Castres. Par une citation directe illégale pour « outrage à magistrat », j’y ai comparu devant le tribunal légalement incompétent, soudoyé directement et personnellement par l’ancien ministre de Justice Alain Peyrefitte du Rotary et le président de la République Valéry Giscard d’Estaing en pèlerinage électorale « chez les paras » de Castres.
C’est nécessaire pour ceux qui me lisent pour la première fois, mais terriblement ennuyeux de répéter durant des décennies les récits et argumentaires ci-dessous amplifiés que nos grands Commis d’État vendus ont été largement payés par le contribuable pour les écrire, et à présent font majestueusement la sourde oreille pour se faire remettre encore une décoration plus haute de la Légion d’honneur ou de toucher encore d’autres pots-de-vin « amplifiés avec mes amplifications ». Arrêté illégalement à l’audience, ma conclusion demeurée sans réponse, sans possibilité de connaître la décision prise, la procédure n’est qu’ajournée et interrompt tous les délais de prescription. Depuis longtemps, réduit en paria, j’ai déjà manifesté ma volonté d’exercer tous les recours légaux dès que cela me sera humainement possible, de réclamer directement aux magistrats prévaricateurs du Rotary fricoteur et de leurs larbins la réparation INTÉGRALE de mes préjudices matériels et moraux à l’impressionnant taux qui m’est légalement dû, la mise sous séquestre judiciaire de tous leurs biens disponibles en application des droits fondamentaux de la France. Cette réparation du rétablissement de la situation légale est même une question préalable ou préjudicielle à l’ouverture de la présente procédure.
« La loi est morte, vive les juges », s’insurgeait timidement une certaine doctrine dans des publications académiques, en qualifiant implicitement la magistrature « association de malfaiteurs ». Selon les termes précis du Code pénal de 1806, Napoléon a transformé la magistrature du siège et du ministère public en une authentique « association de malfaiteurs » complotant contre la sûreté de l’État selon les termes de l’article 86 du Code pénal, si bien que le professeur en droit, éminent spécialiste du droit pénal, Raymond Gassin de l’université d’Aix-en-Provence, constate à l’époque actuelle la réduction en « branche morte de notre droit pénal » de toutes les lois protégeant la démocratie égalitaire et l’État de droit contre le grand banditisme politico-judiciaire, du grand banditisme tout court, justiciable en bloc par la Haute Cour de justice sans distinctions de la qualité sociale et du rang dans les fonctions publiques ou politiques. « Nul n’est censé d’ignorer la loi », pas vrai ?
Ah ! Oh ! Petit, petit rien de tout d’adjudant Dietrich avec ton ami Joseph Couchot assassiné en Espagne par les agents du G.A.L. Torturé, spolié, évincé, écrasé… pas encore assassiné : – va-t’en ! Juriste misérable ! Foutons-nous le camp avec ta « géniale » science captée par nous autres pour le marchandage à la criée, vendue, calomniée, dénigrée, injuriée, humiliée, vilipendée… selon notre science à nous la canaille.
– Pour qui te prends-tu enfin misérable sous-off sortie bas peuple, avec ta Médaille militaire des “sous-hommes”, pour nous apprendre, nous de la demi-mondaine friquée, si distinguée du népotisme, favoritisme sectaire, corruption, trafic d’influence…
– Comment oses-tu de nous mettre sous les nez de bien belles sur les omissions criminelles bénites par la Légion d’honneur des “surhommes” dans les procédures tendancieuses de l’affaire Maurice Papon à Bordeaux, de tous les méga procès truqués en France en grande cérémonie médiatique qui l’ont précédé et suivi depuis la Libération 1944 jusqu’à maintenant.
– Comment ose-tu impie Dietrich dénoncer à des tribuns démagogiques du Parlement de la ploutocratie démocratise des escrocs et voleurs de si somptuaires mascarades judiciaires des crimes bénis de l’Occupant nazie et de leurs grands Collaborateurs internationales ; de ces criminels intouchables, insaisissables, enrichis par les recels des rapines astronomiques des crimes bénites contre l’humanité à remettre au plus grand ?
– He ! Oui ! « Supprimez les receleurs, vous supprimerez les voleurs », enseigne la criminologie. En déduisez, vous de la haute menacée dans vos fortunes archi-sales : en protégeant les receleurs organisés, selon votre criminelle pratique judiciaire magnifiquement illustrée dans l’affaire Chaumet/Chalandon à Paris (P. 3 des blogs), vous encouragerez les crimes organisés jusqu’à ceux contre l’humanité. Ces monstrueux crimes bénis restent toujours payants malgré les lieux communs moralistes de nos sournois démagogues resquilleurs, malgré les préjugés morbides assénés par le matraquage propagandiste aux ingénues crédules par des médias vendus des rusés profiteurs.
Ces protecteurs haut placés aux leviers de commande de toutes les juridictions nationales et internationales en sont les complices selon le droit pénal, voire des coauteurs, punissables selon les termes précis de la loi et de la jurisprudence rendue dans des petites affaires aux petits malfaiteurs. Par les mêmes procédés criminels exhibés sur mes blogs, ces protecteurs haut placés ont permis de se développer la Deuxième Guerre mondiale par les Nazis, les camps de concentration, les tortures, l’extermination, les spoliations… Si la Justice se prenait aux grands receleurs, des grandes illustres familles de ce monde se trouveront réduites à la mendicité, Wallstreet sera mise en faillite, la banque du Vatican aussi, les comptes des sectes mis à sec, leurs biens sous séquestre judiciaire, ceux du notariat aussi. Du notariat, je le revendique depuis des mois, rien pour couvrir l’indemnisation de mes travaux téléguidés contre le complot contre la sûreté de l’État ; répétons-le travaux évalués au camp adverse à un million de dollars/heures, pour suppléer la défaillance criminelle des pouvoirs publics nationaux et internationaux organisée à un million et plus de dollars/heures.
L’enseignement falsificatrice de l’Histoire et de l’interprétation tendancieuse de la philosophie politique de Nietzsche, les trucages judiciaires de dissimulation à la Libération, imprègne à l’opinion dirigée, dès la tendre enfance déjà, une vision radicalement fausse de l’univers social. La désinformation scolaire conduit à ce que des officiers de bonne foi de l’Armée française perdent la boule. C’est ainsi des petites cliques d’irresponsables avec leurs tribuns exercés à la démagogie débilitante ont fait perdre la boule à tout le peuple allemande par la manipulation mentale massive, des matraquages à l’aide des slogans primitifs des médias préconisé par Hitler dans Mein Kampf. Gavé, obnubilés par des contre-vérités des lieux communs de la maternelle jusqu’à la haute école de l’État-major, entretenus par les médias, les élites militaires ont été lancées dans des guerres coloniales et contre-révolutionnaires perdues à l’avance, mais si bénéfiques pour la spéculation à la bourse.
En méconnaissant les sinistres de leur Histoire, formatés par des artistes de manipulation mentale à distance « en irresponsables sous-hommes » ou « hommes de masse » (Massenmensch) historiques, ces crédules Gaulois dindonnés sont mis au service de l’irrationalité mystique des « surhommes » bénis ou « hommes-dieux » (Gottmensch), réduit en esclaves des Aryens de race pure : une invention nazie insensée déjà démontrée par Nietzsche. En arrière-plan, des spéculateurs matérialistes dénués de tous scrupules de la grande finance internationale, en s’en gaussant, en font des aberrations politiques et spirituelles des juteuses affaires : voilà le véritable ennemi de l’intérieur.
On n’a pas encore fini avec les procès grands spectacle contre les petits troufions de la Waffen S/S qui ont exterminé quelques habitants du petit village français Oradour-sur-Glane. La Deuxième Guerre mondiale à peine achevée, la France exsangue fait récupérer par la Légion étrangère des Waffen S/S allemands et français, des miliciens ayant eu maille à partir avec la justice. Pour infliger la première dure leçon « aux protestants impies », la ville indochinoise Haiphong est rasée, 6000 personnes de sa population civile sont exterminées, en présence des rudes germains blonds mis en avant par la littérature, renforçant les rangs éclaircis de ceux qui les ont vaillamment combattus.
« Mais comment avons-nous pu accepter, même tacitement, les massacres de Haiphong, avec leurs 6000 cadavres, femmes et enfants confondus ? » s’interrogent les belles âmes en France.
En ignorant tout bonnement depuis la maternelle le sinistre dynamique de son histoire ! En ignorant les machinations historiques répétées lors du complot du Plan Bleu des Nazis contre le gouvernement de l’IVe République en 1947. L’opération, des royalistes associés aux Waffen S/S français emprisonné, libérés et armés par le C.I.A., devait s’étendre en Allemagne. Organisé par des occultes puissances protégées, le complot est commandé par des officiers supérieurs de l’armée française, financé par des industriels. Le complot du Plan Bleu est étouffé pas les prévarications d’une magistrature acquise à la philosophie contrefaite des comploteurs.
Répétons-le, ces Waffen S/S français ont perpétré en ex-Union soviétique des massacres autrement importants de celle d’Ordure-sur-Glane : des villes historiques d’importance d’Orléans. Combien de ces enragés de troufions Waffen S/S aguerris se sont trouvés en légionnaires deuxièmes pompes disciplinées, mêlés à l’anéantissement de la ville indochinoise Haiphong par l’aviation principalement, des étrangers paumés dans l’exotisme inconnu. Leur commandement rigoureux est assuré par des officiers français fourvoyés par leurs pauvres idées reçues des guides spirituels cinglés et leurs démagogues resquilleurs, tribuns artificieux de l’éloge du régime stigmatisé de l’Hymne nationale : « du sang impur » « en lutte contre la pourriture démocratique, pour l’épuration de la race française des éléments qui la souillent, les Nègres, les Juifs et les Mongols… l’appel à la guerre sainte contre l’Islam » ! Des « Ratons », et des « enfants de la Patrie », irrécupérable contribuable et électeur « timide et indécis », « pour égorger leurs fils et leurs compagnes ». («Marseillaise », déclaré chant national en France le 14 juillet 1795).
Sont noircis et vilipendés par la littérature obscurantiste, des officiers et sous-officiers de la Wehrmacht, des paramilitaires S/S, des élites de tous les corps d’armées vaincus de l’Axe, des existences ruinées par la force de persuasion incantatoire des gourous aux visions hallucinatoires et leurs tribuns démagogiques soudoyés, leurs victimes forcées de s’engager en 1945 « pour la gamelle » en simples légionnaires balayeurs, débardeurs, dockers, marmitons, terrassiers… fossoyeurs. La littérature obscurantiste fait tout d’un drame des deuxièmes classes engagées sous un faux nom selon la tradition centenaire : une discipline de fer, un solde de misère, un paquetage miteux, une tambouille de famine, drôles de mercenaires, mais des sacrés champions du Système D « Légionnaire démerde-toi ! Exécution ! ».
Pour les nécessiteux de la littérature complaisante aussi : Il ne faut jamais se prendre sérieusement à des plus forts que soi. En même temps, dans le luxe princier, « les plus dangereux criminels nazis contre l’humanité » (Casamayor), des intrigants du Pouvoir sabotaient en Indochine la constitution pacifique d’un État démocratique dont des bases acceptables ont été établies après la capitulation des Japonais pour maintenir les privilèges des grandes exploitations agricoles, forestières et minières d’une petite caste friquée. L’un des intrigants à la Libération, c’est inévitablement le fonctionnaire affairiste Edmond Giscard d’Estaing, sous l’occupation nazie hautement décoré et enrichi en conseilleur du Maréchal Philippe Pétain. Le distingué fonctionnaire affairiste Edmond Giscard d’Estaing, par des détournements massifs des fonds publics d’indemnisation des victimes de l’envahissement japonaise, a pourvu à la prospérité et carrière politique de son engeance receleuse transfusée du sang noble franque.
Avec le recel, l’escroc de haute volée fait don à la France ses nobles rejetons, de nigauds surévalués, rodés à l’École Nationale d’Administration aux astuces de la corruption et trafic d’influence du favoritisme et du népotisme. Les crimes contre l’humanité en Indochine n’ont pas été organisés dans les combats de jungle par des petits gars que les démagogues receleurs ont fait saigner, armés des vieilles ferrailles obsolètes. Les crimes contre l’humanité sont organisés dans les salons mondains de la haute société et dans le luxe des confortables bureaux d’études par des criminels spéculateurs au-dessus des lois, intouchables par les juridictions. Preuve…
Le traitreux clan Giscard d’Estaing a été un de ceux protégé des poursuites judiciaire par la Haute Cour de justice pour crime de complicité et de recel des crimes contre l’humanité d’abord, pour complot contre la sûreté ensuite, (même haute trahison évidente pour Valérie), par les simulacres judiciaires trentenaires à Bordeaux de leur ancien séide Maurice Papon, carriériste effrénée introduite dans les plus hautes fonctions de l’État pour manigancer leurs coups tordus du « sang impur » « pour lutter contre la pourriture démocratique, pour l’épuration de la race française des éléments qui la souillent, les Nègres, les Juifs et les Mongols… l’appel à la guerre sainte contre l’Islam » des « Ratons » ; et des « enfants de la Patrie », irrécupérable contribuable et électeur « timide et indécis », pour égorger leurs fils et leurs compagnes. (« Marseillaise », déclaré chant national en France le 14 juillet 1795).
Répétons-le aux délicates oreilles offusquées des pistonnés de la Haute, irrécupérables niaisés dans des Hautes Écoles et l’École nationale de l’Administration et celle de la Magistrature à Bordeaux : en France n’est pas punissable la complicité pénale de deuxième degré, telle qu’elle fut faussement imputée à Maurice Papon, malgré mon opposition avisée par des constitutions de partie civile par voie d’intervention à Bordeaux dans la procédure d’information du juge d’instruction, puis de la Chambre d’Accusation de la Cour d’appel, à Paris de la Chambre criminelle de la Cour de cassation et du Conseil d’État, à Genève les Comités des Droits de l’homme de l’ONU, à Strasbourg de la Cour européenne de sauvegarde des Droits de l’homme. Mais la pertinente complicité de premier degré, pour ne pas dire carrément « coactivité » du père Edmond Giscard-la-Joie, anoblie en prince franchouillard moyennant payement de la rallonge « d’Estaing », celle-là a été bel et bien punissable, justiciable en exclusivité de la Haute Cour de justice 1944, toujours existant en droit. Nos démagogues resquilleurs de tout poil, ces vendus de bio protégés faisans dorés politiques, l’ont appris de bonne heure par mes interventions savamment motivées et rendus publiques. Et dans l’arrière-cuisine politico-judiciaire, les accapareurs ne ratent absolument rien de ce que ce « génial » Dietrich accouche. Fur et à mesure des réalisations en silence, cette science extraordinaire est accaparée et détournée pour des sombres bénéfices mafieux, par « l’amie qui lui cherchait du bien » : par le docte juge rouge Jacques Bidalou masqué dissimulé à l’ami Dietrich dans son repaire au restaurant Le Piccadilly d’Aubervilliers.
Mais il s’est trouvé à la présidence aux États-Unis un puissant clan protecteur de la poursuite du complot contre la sûreté de l’État de la France, un capitaine des naufrageurs à bien de points de vue comparable en plus grand au clan des Giscard d’Estaing avec leur Œuvre de Dieu, la secte intégriste Opus Dei. Répétons-le, pour la Haute Trahison de la France et de l’Angleterre, le très catholique Joseph Kennedy, ambassadeur traître à Londres, a amassé une inestimable fortune en copinant avec les Nazis et avec la cour du roi destitué Édouard VIII, le Duc de Windsor. Son autre fils, Robert F. Kennedy en ministre de Justice qui est le Procureur général (Attorney général des USA), restitua la fortune sous séquestre judiciaire au holding I.G. Farben, dont les usines ont été directement installées dans le camp d’extermination d’Auschwitz. Et puis, n’est-ce pas dans la nature de l’évolution politique ? Hissé en receleur à la présidence des États-Unis, John F. Kennedy se mue en apôtre des crimes organisés de la guerre contre-révolutionnaire, devient « l’instigateur » de tous ces crimes monstrueux prévisibles. De ma part du petit-rien-du-tout, ce n’étaient évidemment pas des vérités bonnes à narrer à ses loufiats installés par lui à l’ONU, des vérités dissimulées au public sur les grands-grands oubliés de la Tribunal militaire international Nuremberg dans la poursuite des criminels contre l’humanité. (Ni en marge, des oubliés du Tribunal militaire international de Tokyo. J’ai été manœuvré en douce sur lui, même renseigné et documenté sur des faits importants, omis encore dans mes blogs par des militaires anonymes des U.S.A. : un véritable jeu puzzle en constante évolution d’assemblage).
(Au Comités des droits de l’homme de l’ONU à Genève, à la Cour européenne des droits de l’homme de Strasbourg, à la Cour pénale de la Communauté européenne de Luxembourg, les intérêts de la France sont représentés par un haut fonctionnaire désigné par le Ministre des Affaires étrangères, jouant le rôle d’avocat de la France et de l’informateur du gouvernement. De toutes mes plaintes expédiées à l’ONU depuis environ 1982, l’information contestataire du trucage de l’affaire Papon à la Cour européenne des droits de l’homme, les gouvernements français successifs ont été parfaitement informés pour me laisser écraser par le crime organisé du grand banditisme international, car « Nul n’est censé d’ignorer la loi en France », pas vrai ?
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Répétons ce qui est depuis des années exposé à la justice nationale et internationale sur la page 1 des blogs : « Surtout en matière politique, on ne fait pas des omelettes sans casser des œufs. Imitateur imité dans le Monde tout entier, le génie de l’empereur Napoléon I produisit pour la pseudo-démocratie actuelle « des petits fonctionnaires sans légitimité politique », (Me Daniel Soulez-Larivière, avocat), « des bouffons de la République », artisans en falsifications de toutes sortes, rendant le « plus souvent des services au lieu des arrêts, » précisa sur ce point M. Pierre Arpaillange, procureur général de la Cour de cassation et de la Haute Cour de justice, sombré lui-même en pire des bouffons impuissants dans toutes ses hautes fonctions et, à corps défendant, même en tant que ministre fossoyeur de la Justice comme son illustre prédécesseur et ses successeurs de la gauche aussi désarmés devant le complot « des juges factieux et scélérats qui veulent s’emparer du pouvoir et rétablir les parlements de l’Ancien Régime ». (Charasse, sénateur). Tant qu’il ne lui sera pas démontré la poursuite judiciaire des juges prévaricateurs, il refusera de voter, avait-il prévenu en vain l’impuissant ministre de la Justice Élisabeth Guigou devant la multiplication des crimes politiquement organisés. L’éminent constitutionnaliste Maurice Duverger brocarde l’institution abâtardie : « la Cour de cassation accentue le glissement de la magistrature assise à une magistrature couchée, qui correspond hélas ! à une tradition nationale ». Le vice-président du Sénat André Méric résume cette tradition persistante : « La justice française est pourrie ! »
Toutes ces impuissances lamentations tardives des démagogues resquilleurs sont fausses. L’Empereur, Napoléon I a transformé la magistrature en juridique « association de malfaiteurs », comme la doctrine dénonce implicitement par leurs commentaires académiques publiés la littérature universitaire. L’hypocrite député Jacques Chirac même, s’en lamente pour se donner bonne conscience dans sa campagne d’élection présidentielle, financée largement par des fonds publics détournés, couverts des forfaitures des juges qu’il venait de noircir pour la cause. Les faisans politiques et leurs démagogues receleurs ont maintenu ce régime criminel des bouffons napoléoniens arrangeant si merveilleusement leurs magouilles et maintenaient ce Sénat parasitaire. Le général Charles de Gaulle cherchait à supprimer ce nuisible gouffre budgétivore des trafiquants d’influence et suborneurs. Le bicaméralisme en France à la monarchie anglaise, c’est l’invention des séides comploteurs du général Bonaparte. La création d’une « Chambre haute », écartée de l’influence de l’opinion publique, par des simulacres d’élection antidémocratique des politicards impopulaires et usés.
Ce pilier de la République « des Copains et Coquins » est le principal sauveur de la Haute Cour de justice des criminels du Service de l’Action Civique, incidemment ceux de l’Organisation (rebelle) Armée Secrète OAS, notamment par la corruption fatale du Président du Sénat Alain Poher du Rotary fricoteur de la Première Présidente de la Cour de Cassation Madame Simone Rozès. Répétons-le mon argumentaire jamais contredit, jamais contesté : le nouveau président de la République François Mitterrand a fondé tout son espoir de faire rétablir la situation légale en France par l’application du Pacte Internationale relatif aux droits civils et politiques qu’il venait de faire ratifier. Impossible d’envoyer le Sénat en formation complet devant la Haute Cour de justice, ni de rêver qu’il serait supprimé avec toute cette super-canaille criminelle qui s’y est accumulée, du tonneau de Capo de la Mafia Charles Pasqua, du truand Nazi Jean-Claude Gaudin… (Lié à Opus Dei).
A sauvé le Sénat de la suppression, la liquidation politique du général Charles De Gaulle les émeutes des marioles rougeâtres du mai 1968. Les émeutes ont été fomentées par la plume de Jean-Edern Hallier et par ses tribuns de sa philosophie contrefaite et du journalisme ordurier. Pour laisser passer la bourrasque, pour laisser les jeunes étudiants excités par lui se faire casser par les flics la gueule sur les barricades d’opérette, le grand écrivain en libidineux forniqueur s’est mis à l’abri avec son Ferrari rouge, le coffre rempli des tracts, dans le Casino de Baden-Baden en Allemagne. Et nous voilà de retour au restaurant Le Piccadilly d’Aubervilliers, officine du club rouge-brune de son docte conseilleur juridique : l’énigmatique juge rouge Jacques Bidalou ! Ah ! Ah ! Ah ! Si les beaufs et franchouillards pouvaient connaître l’arrière-souk des magouilles dissimulées de de leur risible Histoire ! Le haut commandement a renoncé à l’intervention à Paris des parachutistes aux émeutes du mai 1968 par craint d’y produire plus de cocus que des blessés.
Sous le commandement du colonel, futur général Jeannou LACAZE, surnommé « Le Sphinx », chef d’état-major des armées, j’ai été sous-officier affecté au 2° Régiment étranger de Parachutistes à Calvi (Corse). En alerte pour l’intervention dans les émeutes du mai 1968, nous avons suivi des entraînements spéciaux pour disperser la foule sans infliger des bobos aux petits rigolos exaltés, harangués des ignares tribuns délirants des rhétoriques d’imbéciles. Des crétins ne sont admirés que par des plus crétins qu’eux. Pour faire des cocus dans cette meute des languissantes frustrées, nous n’avons pas eu besoin d’une formation spéciale.
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Après la publication sur le Web les exposés de ces faits présenté naguère sans contestations, contradictoirement lors des audiences publiques des juridictions, au lieu de réplique judiciaire légale attendue, la contre-attaque gouvernementale jamais vu dans l’Histoire de la France, absolument inattendue, m’a fait tomber, raide, à plat ventre. Comme si de rien ne s’était passé, justiciable aussi par la Haute Cour de justice, le président de la République Nicolas Sarkozy copieusement « outragé » devant le monde entier, s’est offert un nouveau Code pénal neutralisant mes constructions juridiques exposées depuis environ 1982 à l’ONU, en France aux démagogues parlementaires et des gouvernements resquilleurs, à l’Assemblée plénière de la Cour de cassation et au Conseil d’État…
Mais j’ai vite trouvé la riposte dans la jurisprudence de l’application du droit fondamental contre à la législation scélérate du gouvernement de Vichy sous l’Occupation de 1941-1944. Le rétablissement de la situation légale en France exige l’annulation, en question préjudicielle ou préalable à la reprise des procédures, de ce code de complaisance aux comploteurs du grand banditisme et le rétablissement de la Haute Cour de justice, passée à la casserole à la suite de mes revendications de la saisine.
Art. 16 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 : « – Toute société dans laquelle la garantie des droits n’est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n’a point de constitution ». De la France maintenant depuis la Libération de 1944, le régime judiciaire impérial de Napoléon I, « la mortification de la branche du droit pénal de la criminalité politique », les constitutions n’ont pas plus de valeur que des bouts de chiffons écrit une certaine doctrine : le régime de la séparation des pouvoirs n’est qu’une mystification collective par des artifices journalistiques et littéraires, absolument sans portée dans la pratique. Dans aucun moment dans son histoire, la France n’a été une démocratie et encore moins un État de droit si le juriste sérieux se réfère aux dispositions de son propre droit fondamental. Preuve…
Le régime de la France, c’est un typique « État gangster » des « Gangsters d’État », selon la définition avisée des étoilés de la Grande Muette aux aguets et à écoute, dirigent anonymes l’opération du combat judiciaire conte la « République des copains et des coquins ». Dans ce régime « politiquement illégitime et constitutionnellement illégal » des gangsters, l’opinion publique non-dirigeante est obnubilée des préjugés de la désinformation, des idées reçues et lieux communs de l’intox des slogans primitifs. Ses faisans politiques sans moindre légitimité politique, que des baladins de comédie de la haute finance qui les appointe par fonds incontrôlables passés en dessous la table sous les auspices des procureurs de la République aux ordres et de la corruption du ministère des Finances. Dominique Strauss-Kahn et Christine Lagarde sont des médiatiques spécimens typiques de l’actualité édulcorante. « Nul n’est censé d’ignorer la loi », pas vrai?
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Les accusations du complot criminel international contre la sûreté de l’État de la France, et au-delà à la sûreté humanitaire internationale, exige d’opérer constamment et impartialement des comparaisons des actions des forces des puissances occultes, économiques, de la haute finance et politiques en présence.
Une intéressante comparaison édifiant du complot criminel est l’envahissement spoliateur de la Lybie par l’assassinant de son chef, le colonel Kadhafi, (blog p. 12), avec le plan Condor du C.I.A., aboutissant le remplacement du chef d’État démocratiquement élu, le président Salvador Allende. Le putsch d’une bande de criminels contre l’humanité sous le commandement du général putschiste Augusto Pinochet est placé sous l’égide judiciaire et politique internationale, l’assurance de l’impunité des crimes contre l’humanité avec la participation des agents français est assurée d’emblée, aboutissant à l’accueil protecteur en France des grands criminels Chiliens pour les soustraire à la justice. On ne va pas nous conter ces balivernes à la mode que ces criminels déprédateurs sont arrivés les mains vides en villégiature française, accueillis pour leurs beaux yeux veloutés des danseurs du tango porte-croix.
De longue date, moi aussi je connais la musique. La première question qui me sera encore répétée par les juges circonvenus par l’irrésistible charme hispanique des accusés : quel est votre intérêt personnel mon cher petit monsieur Dietrich de rien de tout pour vous immiscer encore dans cette procédure truquée du Rotary club international avec tout son apanage de mafias trafiquants, des sectes des cinglés hallucinés ; procédures truquées à tous les niveaux nationaux et internationaux pour assurer l’impunité aux plus dangereux malfaiteurs compromis ; tripotages judiciaires visant le but de la répétition de l’histoire avec des monumentaux recels des montagnes de capitaux des criminels ?
Et là, le développement de mes répliques savamment structurées devient franchement passionnant, car l’avocat des victimes de la bande des bouchers de Pinochet, n’est personne d’autre que l’avocat parisien maitre-fripon William Bourdon D 1606, idoine l’avocat de la jugette d’instruction tripatouilleuse Eva Joly. Ce couple bien assorti d’escrocs m’a exclu en France par des tripotages criminels des procédures relatives au complot contre la sûreté de l’État, qu’on peut sans exagérer définir de la Haute trahison de l’humanité, légalement qualifié « crime contre l’humanité ». Cette simple constatation nous ramène en voie directe à leur nid des vipères de subversion judiciaire au restaurant Le Piccadilly d’Aubervilliers, dans le fief du « juge rouge » Jacques Bidalou, le conseiller juridique du littérateur journaliste Jean-Erden Hallier, directeur de publication de l’hebdomadaire L’IDIOT INTERNATIONAL, de l’avocat félon Me Jacques Verges, entre autres dictateurs assassins, l’avocat d’Omar Bongo du Rotary fricoteur.
Ce président despote du Gabon entretient à Libreville toute une armée de mercenaires massacreurs et tortionnaires très experts de l’ex-SAC, de l’OAS. S’enchaîne ainsi « l’enquête sociale obligatoire » aux assassinats commandités par ce rapace cocu Bongo en France du gigolo de son épouse libidineux. On parvient à un autre célèbre copain du Rotary coquin : le roi du Maroc Hassan II. Voilà dissipé encore un autre grand mystère des compromissions politiques et des modalités de l’assassinat en France de son opposant Ben Barka, de la disparition de son cadavre, toujours par la même bande des mercenaires liés au S.A.C. : une police parallèle et paramilitaire dirigée par ces puissances occultées des « hommes-dieux, des surhommes », viscéralement hostiles à la démocratie. Ma secrète direction occulte me fait fonctionner en camion aspirateur de toutes les saletés des affaires truquées en France pour assurer l’impunité des plus grandes ordures de ce monde des voleurs et trafiquants ; me faire remonter à la surface des souterrains judiciaires cette boue politique maligne.
Avant de succomber aux mêmes tueurs des bandes paramilitaires ou polices parallèles organisés, « Tout est lié ! » s’est insurgé le juge Pierre Michel à Marseille, instruisant des dossiers brûlants du crime politiquement organisé. Affaires que les belligérants de l’ombre comptaient de faire envoyer devant la Haute Cour de justice en me manœuvrant à travers quatre universités de droit armé d’un flingue au casse-pipe judiciaire, au lieu des facultés de médecine ambitionnées.
En a mis un terme à l’opération secrète des généraux barbouzes, mon arrestation illégale à l’université de droit à Toulouse, manigancée par des ministres et des magistrats du Rotary fricoteur et des francs-maçons de la Grande Loge nationale de France, élitiste, Chambordien, royalistes légitimistes du Roi Franc sacré. C’est une criminelle conjuration secrète du complot mondial de l’extrême droite internationale, l’Ordre nouveau du « sang impur », « en lutte contre la pourriture démocratique, pour l’épuration de la race française des éléments qui la souillent, les Nègres, les Juifs et les Mongols… l’appel à la guerre sainte contre l’Islam » des « Ratons », et, contre les enfants de la Patrie irrécupérable contribuable et électeur » timide et indécis « , pour égorger leurs fils et leurs compagnes. (« Marseillaise », déclaré chant national en France le 14 juillet 1795).
Prêt à toutes les audaces de la légitime défense politique dont j’ai développé l’argumentaire incontesté et incontestable, droit fondamental essentiel, invisible des hommes masses abrutis des boniments de leurs démagogues resquilleurs, par les défenseurs de l’État de droit démocratique, je fus placé et joué sur les cases blanches de l’échiquier politique des puissances se déchirant pour le Pouvoir, les forces du Bien contre les forces du Mal, écrit Nietzsche, philosophe pessimiste. Les puissances occultes jouant sur les cases noires d’échiquier politique voyaient déjà avec mes redoutables gros sabots m’intervenir comme de droit dans l’audience publique à Paris de cette impuissante Commission d’enquête parlementaire des activités criminelles du S.A.C. Ces caricatures de démagogues resquilleurs, dont des professeurs en droit (Robert BADINTER, Jean FOYER…) et les plus illustres avocats, ont saisi une commission parlementaire fantoche, au lieu et à la place de la saisine du Parlement au complet de la procédure d’envoi légale à la Haute Cour de justice prévu par les articles 67 et 68 de la Constitution, complétés par l’article 68 du Code pénal. Ces doctes initiés redoutaient déjà d’être réduit publiquement en bouffons corrompus par ma revendication de l’application du droit fondamental des dispositions constitutionnelles : le dessaisissement « sans délais » des juges d’instruction prévaricateurs du droit commun, sous peine de « nullité d’ordre publique » au profit du Parlement ; la remise au Parlement de tous les dossiers tenus sous leurs coudes de juges prévaricateurs concernant des crimes indivisibles du complot criminel contre la sûreté de l’État par le grand banditisme. « Nul n’est censé d’ignorer la loi », par vrai ?
Commençons par le commencement à Castres et Toulouse. À mon insu d’abord, mais bientôt révélé directement par des officiers de la Police de de l’Armée me recommandant d’orienter mes études sur le droit pénal, pour me lancer de face contre la criminalité organisée décrite par le livre documentaire d’Alain Jaubert « DOSSIER D… COMME DROGUE. LE MILIEU ET LA POLITIQUE… LES GROS BONNETS… LES FINANCIERS ET LES FILIÈRES… EN FRANCE », livre publié en 1973, joué en livre de chevet dans mes mains vers les années 1978. Le chapitre XII édifiant pour cette dissertation judiciaire sur l’imbrication des narco-putschistes d’Amérique latine nous ramène à ses racines en France trahie et occupée par les Nazis de la French Connexion du trafic de drogue par tonnes. Avec le fabuleux trésor, magot des pillards de l’antenne gestapiste de la rue Lauriston à Paris, chargé dans un convoi de camions transitant allégrement avec des laissez-passer à travers des armées alliés vers l’Espagne, fut implanté avec les Nazis en Amérique latine la filière latino-américaine du trafic de drogue. (Les convoyeurs français furent réduits au silence par l’assassinat aux États-Unis).
Avec cette filière mafieuse de l’international extrême droite, des écofondamentalistes, le gourou de la Secte verte Henri Kissinger (blog p. 12) préparait et fit exécuter par le grand banditisme le Plan Condor de l’élimination par le vide des forces vives de l’opposition aux dictateurs intronisés dans leur patrie de l’Amérique latine par le C.I.A. ne protégeant rien d’autre que les intérêts privés des sociétés multinationales. Financés par le trafic massif de la drogue, des militaires procédaient à l’anéantissement du régime démocratique Président Salvador Allende au Chili, en faisant appel aux spécialistes des organisations nazies de l’« Ordre nouveau », « Occident », « L’Ordre noir »…, des criminels contre l’humanité échappée à la Justice pour engendrer de jeunes émules dont font partie des futurs chefs d’État et ministres de la France « en lutte contre la pourriture démocratique, pour l’épuration de la race française des éléments qui la souillent, les Nègres, les Juifs et les Mongols… l’appel à la guerre sainte contre l’Islam » des « Ratons » et contre irrécupérable contribuable et électeur « timide et indécis », pour égorger leurs fils et leurs compagnes. (« Marseillaise », déclaré chant national en France le 14 juillet 1795) La belle compagnie adulée par les médias dans les mains des gangsters : le faux prince Valérie Giscard d’Estaing, Jacques Médecin, Alain Madelin et Gérard Longuet, lui, ministre de la Défense lors de l’attaque de la Lybie par des armés pillards…
L’argumentaire de mes plaintes structurées se référence aussi au remarquable ouvrage de l’écrivain documentaliste américain Alfred W. McCoy sur des enquêtes effectuées dans les archives et sur le terrain. Ce savant criminologue aussi fait la démonstration frappante des liens entre la Mafia des piratages combinatoires avec les services secrets de la politique occidentale aussi en œuvre en Amérique latine, notamment avec la politique française depuis la fin de la deuxième guerre mondiale.
Les polices parallèles françaises, justiciables alors par la Haute Cour de justice en France, tels que le Service d’Action civique du futur ministre de l’Intérieur, le parrain de la mafia corse Charles Pasqua sont rentrés en action avec les récupérés de l’OAS, chers compagnons d’armes de Valérie Giscard d’Estaing, en voie de se faire passer président de la République, et à ses ministres de choc tels que Maurice Papon. Charles Pasqua, ce barbeau de la mafia Corse se vante publiquement de sa « politique des coups de pied dans couilles », envoyés pour me faire taire à mon domicile à Aubervilliers, avec les « rebelles » du comptoir de l’officine du juge rouge Bidalou au restaurant le Piccadilly. Cette mafia des trafics des drogues fournit à l’armée et à la police d’Argentine, de Chili… des instructeurs, spécialistes en tortures bien entraînés au réel dans leur retrait doré en Gabon du despote Omar Bongo du Rotary fricoteur. Des échantillons de leur haute compétence sont donnés en France dans la tuerie d’Auriol de l’inspecteur de police Jacques Massié avec sa famille ; au massacre sadique des jeunes militaires à Mourmelon, joint de l’assassinat en cellule de haute sécurité de l’Adjudant-chef Pierre Chanal. Les médias obscurantistes ont fait porter le chapeau au grand tam-tam « au présumé innocents » et contestataire pour me vilipender par personne interposée (blog p. 13).
Sans doute aussi dans l’assassinat à Toulon de Madame Ghyslaine Marchal, de la patronne du jardinier « Omar-m ’a-tuer », Omar Raddad. À Toulon, cette bastringue judiciaire-médiatique combinatoire fut juste un intermède dramatique de la manipulation de l’opinion ; au passage pour faire oublier l’étouffement judiciaire de l’assassinat de la députée Yann Piat, faire disparaître sa large documentation édifiante sur les magistrats et politiques soudoyés par la Mafia, dont mainte individu louche bien connu par les services de la police, intronisée comme le truand nazi Jean-Claude Gaudin…, (Opus Dei), professeur en histoire avec l’immunité parlementaire au Sénat qui en coulisse seulement, suit mes exposés judiciaires.
À Toulon l’occultation criminelle de mes interventions, a été du pain bénite les procédures solennelles des cours d’assises de l’assassinat du député Yann Piat et l’affaire « Omar m’a tuer », à l’avocat super-félon, (aussi de Kadhafi), pour le tandem de maitre-fripon Jacques Verges et son acolyte littérateur de l’Académie française avec sa Légion d’honneur en bandoulière sur l’uniforme verte chamarré d’argent du style napoléonien, se pavane en défendeur du jardinier Omar à Toulon devant les vidéos caméras dans la splendeur de son temple à Paris des escrocs, suborneurs et trafiquants d’influence. Si la loi pénale et la responsabilité civile s’appliquaient en France en toute égalité, il faudrait saisir ce temple des dieux de l’imposture littéraire, le vendre aux enchères publiques pour la contribution à l’indemnisation des victimes, au même titre que le palais des chevaliers faussaires du Notariat situé au Place du Chatelet à Paris. « Nul n’est censé d’ignorer la loi en France », pas vrai ?
Moi, écrasé en silence à Toulon, d’interminables audiences médiatique et cinématographique de dénigrement et de manipulation devant les jurées des cours d’assises dindonnés ont offert une super-tribune nationale à mes plus pernicieux adversaires. En droit strict commenté par le Jurisclasseur périodique, n’ont rien de fantaisiste mes exigences du recensement de mes débiteurs redevables de la réparation de mes préjudices matériels et moraux : une publicité mensongère tapageuse avec l’auréole de l’Académie française et de la Légion d’honneur pour rabattre vers l’avocat félon Me Verges et son cabinet des salopards pervers l’association de défense des victimes de justice décavées. Dans la foulée ces escrocs des procédures judiciaires et de l’information journalistique s’appliquaient à dénigrer mon ami irréprochable, le juge d’instruction Henri Pascal, discréditer sournoisement la mise en cause pertinente un notaire du Rotary fricoteur de l’assassinat sadique d’une jeune fille à Bruay-sur-Artois.
La machination judiciaire à Toulon, indirectement, avec l’intox d’opuscule de l’avocat du maître fripon Verges « Omar m’a tuer » et le cinéma de son littérateur de l’Académie française, chevalier de la Légion d’honneur, a jeté indirectement le discrédit sur mes éclaircissements donnés à Toulouse au président de l’Association de Défense des Victimes de Justice Jacques Belhomme, à un autre des grands pèlerins au Restaurant Le Piccadilly d’Aubervilliers. Par l’intox dénigrante, des insinuations perfides, furent éloignées des conférences des associations de défense des justiciables le retraité juge d’instruction Henri Pascal, le salvateur adversaire déclaré du juge rouge Jacques Bidalou niché au restaurant Le Piccadilly d’Aubervilliers avec la clique parisienne des avocats félons de maître fripon William Bourdon.
Calomnié, vilipendé encore post mortem par le médiatique avocat félon Jacques Verges à Toulon, le retraité juge d’instruction Henri Pascal en croisade, convaincu du meurtre sadique par le notaire du Rotary fricoteur, les copains rotariens au pouvoir ont organisé son dessaisissement fantaisiste du dossier à l’aide de « cette fameuse « requête de renvoi pour suspicion légitime » du type de celle qui a déclenché ma fusillade à Toulouse contre le refus de signification des huissiers de justice du Rotary fricoteur contre le Rotary fricoteur. Au même moment du dessaisissement de l’irréprochable juge d’instruction Henri Pascal, ma requête à moi sérieusement motivée contre les juges rotariens, fut sabotée avec mon propre avocat Verges par les mêmes magistrats de la chambre criminelle de la Cour de cassation, récompensés de la plus haute décoration napoléonienne « Commandeurs de la Légion d’honneur ».
Ces artifices des mises en scènes combinées judiciaires et médiatiques de la guerre psychologique pour tromper l’opinion française sont précédés et accompagnés les viols et rapines des pillards des richesses de la Lybie avec des mercenaires de toute poiles adeptes au satanisme, des bandes des voyous du bas-fond armés et couronnés de la sodomisation par des baïonnettes suivies de l’émasculation du Colonel Kadhafi blessé par les avions du néonazi M. Gérard Longuet, ministre de la Défense « en lutte contre la pourriture démocratique, pour l’épuration de la race française des éléments qui la souillent, les Nègres, les Juifs et les Mongols… l’appel à la guerre sainte contre l’Islam » des « Ratons » et contre irrécupérable contribuable et électeur « timide et indécis » », pour égorger leurs fils et leurs compagnes. (« Marseillaise », déclaré chant national en France le 14 juillet 1795).
Lorsqu’en France en 1982-1983 le nouveau président de la République François Mitterrand s’est fait trahir par ses troupes raffolant se faire décorer des distinctions napoléoniennes de la Légion d’honneur, (notamment par le président du Sénat Alain Poher du Rotary fricoteur), ou de l’Académie française…, pour paralyser la saisine de la Haute Cour de justice, ses ministres firent introduire dans leurs cabinets et placer aux leviers de commande de la Justice des plus redoutables francs-maçons affairistes droitistes de la « Grande Loge nationale de France » et leurs acolytes fricoteurs du Rotary club. En France, on n’est toujours que désolé devant les sinistres. Des officiers de la Police et de l’Armée désolés : « maintenant tu ne peux plus compter que sur toi-même, nous nous croisons les bras ». Ces agents au parfum me conjuraient en 1981-1982 de sacrifier mes biens en France et me retirer sans perdre une minute en Suisse, pour ne rentrer dans le piège fatal tendu à Castres par le procureur de la République, les juges d’instructions combinant avec la magistrature de Montpellier. « Tu es foutu », conclurent-ils. En effet, y a été déjà bien conditionné le psychiatre militaire, le « médecin colonel » Dr André Savelli, avec le scandale survolté de l’accusation de complicité par aide est assistance du meurtre sadique d’une fillette par un ancien aumônier fouettard. Naturellement « La Grande Muette » aux faits ne m’a pas averti que le « juge rouge » Jacques Bidalou a été coiffé au niveau supérieur par un autre « juge rouge » invisible pour moi : Le procureur général Jean-Louis Nadal, le « On-a saccagé-la-justice », organisant partout avec ses maçons comploteurs de sa Grande Loge national de France et du Rotary club, Aix-en-Provence, Bobigny, Bordeaux, Bourges, Castres, Créteil, Draguignan, Lyon, Metz, Montpellier, Nancy, Paris (Magendie…), Toulon, Toulouse, Versailles… mon élimination avec la revendication de la saisine de la Haute Cour de justice par des forfaitures d’incompétence légale, des crimes de suppression de mes incontestés actes de procédures avisés. « Nul n’est censé d’ignorer la loi », pas vrai ?
Je fus dirigé par suggestion routinière à distance « par signes et symboles d’impulsion, des tags barbouillés sur les murs « restez assise, attendez la lobotomie […] je vous maudis… » Pour m’inciter d’organiser une fusillade mémorable chez les huissiers du Rotary fricoteur de Toulouse en riposte contre le « crime de suppression des actes de procédures », en l’espèce de la requête de renvoi pour suspicions légitimes » des magistrats prévaricateurs, légalement incompétents de connaître des affaires criminelles de la police parallèle, de l’ex-S.A.C., affaires relevant de la compétence exclusive de la Haute Cour de justice, répétons-le encore et encore aux oreilles sourdes. Mes habitudes parfaitement connues, sur les affaires recommandées à traiter, des agents me plaçaient bien en vue les livres documentaires nécessaires, me communiquaient des documents, dont même des rapports de la police judiciaire, des recommandations et informations verbales… ; des suggestions à distance « codées » telles qu’on les utilisait dans les commandos (et aussi couramment chez les lobbyistes corrupteurs, corrompus du Rotary fricoteur… dans la Mafia par leurs chefs continuant de diriger leurs réseaux à partir de leurs cellules de prisons)… Des commandos d’action spéciale psychologiquement profilés, la direction à distance par la suggestion impulsive : de la simple routine pour les initiés qui s’est encore perfectionnée avec mon accès sur le Web. La Résistance française en 1940-1944, la vraie, a fonctionné ainsi. Des informations manquantes dans mes exposés publiés par les blogs me furent transmises par des chemins les plus saugrenus pour les compléter.
Répétons-le brièvement : appelé au secours à Toulouse par l’expert-comptable Jaques Belhomme, ancien capitaine parachutiste de la comptabilité, lui et son fils décédé, victime des machinations du Rotary fricoteur, j’ai lui fait créer une confédération nationale d’associations de défense des victimes de la justice. Lui en porte-parole, il a été convenu entre nous que je travaillerais ne coulisse tous les dossiers politiquement sensibles, notamment celles concernant le grand banditisme international complotant contre la sûreté de l’État de la France : escrocs de haute volée, trafiquants de drogues, polices parallèles du Service d’Action civique, les réseaux nazis… Le « juge rouge » Jacques Bidalou, sous le masque de l’héroïque redresseur des torts, prétendu martyre du régime, c’est fait suspendre par des forfaitures grotesques. Se posant en ami fiable, Bidalou ce frère insinuant d’une conjuration des pervers me récupère à Toulouse avec son avocat félon Jacques Verges récupère aux fins de chantage mes dossiers durant des années, sabote toutes mes affaires et contribue par ses manipulations subversives à mon élimination. À l’expert-comptable Belhomme, sans doute aussi traité par l’appareil électronique qui m’a été appliqué plus tard à Paris, on a fait sauter tous les plombs pour le rendre de jour en jour plus délirant prodigue avec son fric pour se fabriquer une image de marque médiatique par les avocats farceurs et le juge rouge Bidalou promettant.
Par cette opération complexe des tromperies à Castres et à Toulouse, je fus empêché d’intervenir dans la saisine fantasque de la Commission d’enquête du Parlement sur les activités criminelles du S.A.C. Conformément aux dispositions de la Constitution, le Parlement aurait dû être saisi publiquement de la procédure préliminaire du renvoi devant la Haute Cour de justice des membres du gouvernement avec leurs complices du grand banditisme commun complotant contre la sûreté de l’État. (Mes revendications incontestées ne produisaient que comme effet la modification opportuniste de la Constitution, la suppression de la Haute Cour de justice, son remplacement d’une juridiction fantoche, « politiquement illégitime et constitutionnellement illégale », à la compétence réduit, avec l’exclusion virtuelle de la qualification pénale « complot contre la sûreté de l’État, aux seuls membres du gouvernement. La procédure de renvoi par une commission de fonctionnaires des plus corrompus fut rendue secrète. Par des escrocs, elle débutait par les crimes de faux en écriture authentique et publique pour les « crimes de suppression » de mes actes de procédures. Font partie du lot « supprimé » le chapitre sur compromissions nazies à tous les niveaux du complot contre la sûreté de l’État de la France… de l’Argentine, de l’Allemagne, de l’Autriche…, du Chili…
J’ai réussi d’échapper à l’assassinat psychiatrique et aux tentatives d’assassinats tout court. Déporté, j’ai tenté vers 1984 de reprendre en main dans région parisienne l’association de défense des victimes de la justice sous la haute présidence du général ingénieur (***) Samy Albagli, assassiné plus tard par les psys . Les associations sous l’influence néfaste du juge rouge Jacques Bidalou qui se fit de nouveau suspendre de la magistrature à cet effet, j’ai donné le coup de grâce au périodique qui devait me sévir à rallier les associations de défense des victimes de la justice. Redevenu étudiant en droit domicilié à Aubervilliers, par d’autres opérations des Saint-Esprit, le juge rouge Jacques Bidalou opérait en toute liberté pour me doubler à partir du Restaurant Le Piccadilly d’Aubervilliers. Là, en juge rouge, le manipulateur emprunte à l’expert-comptable Belhomme de Toulouse mon idée de création d’une confédération nationale d’associations de défense des victimes de la justice. Se posant en mon ami redresseur des torts, durant des années, la taupe récupère ma science dans copies de mes dossiers et de tous les dossiers sensibles dont la communication a été la condition sine qua non de mon engagement.
Nous sommes devenus la monnaye d’échange de l’impunité des combines de son chef, (« capitaine » se disait-il), du millionnaire rouge Jean-Erden Hallier. Il est peu probable que ce cercle d’illuminés pervers s’est fait doubler par l’Église Sciento, par leur voyageur représentant du commerce Henri Carriot, un autre pèlerin du Restaurant Le Piccadilly d’Aubervilliers. Comme au Chili, les avocats sectaires de l’Église Sciento, dont Me Daniel Cochet de Tours, et ceux des illuminés pervers associés aux nazis, se sont donnés la main pour exploiter les grandes affaires pour le chantage durant des années pour paralyser les poursuites judiciaires des uns et des autres, des poursuites pour escroquerie et extorsion des fonds des chefs français de l’Église Sciento. Quoi qu’il en soit, il va falloir maintenant aussi réexaminer sous ce nouvel aspect la troublante l’épopée chilienne de cette Église Sciento, du trafic de drogue des réseaux français des Pasqua, Debré, Léotard… tous imbriqués les uns aux autres. « Nul n’est censé d’ignorer la loi, pas vrai?
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L’aventure chilienne du « rouge-brune » capitaine millionnaire Jean-Edern Hallier est rapportée par son biographe Lacaute Dominique. Chargé de rapporter au président Salvador Allende emprisonné encore en vie des aides financiers qui ne leur sont jamais parvenus. L’émissaire communiste Hallier se serait contenté en Amérique centrale de fraterniser avec les avocats du général Pinochet dans le luxe opulent des hôtels réservés aux richards. Par le putsch, le général Augusto Piochait venait juste de s’emparer du pouvoir pour faire assassiner ses opposants politiques, sans distinction du sexe et de l’âge avec des anciennes gloires des crimes contre l’humanité du régime nazie de l’Axe. Ces grands criminels exfiltrés par les filières des monastères catho-intégristes ont transité par des bases opérationnelles du genre de la Colonie Dignidad, des « Lebens Born », des fabriques des enfants parfaits chers au Dr Josef Mengele, combinées à des centres d’endoctrinement d’entraînement des tueurs, installés sous l’inspiration de Martin Bormann, exécuteur testamentaire d’Hitler, un peu partout en Amérique latine par les réseaux internationaux du fameux Gestapo Müller et de l’ingénieur général SS Dr Karl Franz Kemmler, concepteur du camp d’extermination d’Auschwitz et des armes secrets, installé confortablement en Argentine. Voir l’exposé détaillé sur la page 4 des blogs, produit depuis des années à l’O.N.U. silencieuse.
Ce que l’Histoire devrait enseigner, c’est que ces volontaires S/S « paramilitaires » Sic, endoctrinés, sélectionnés sur des critères raciaux et politiques de l’idéologie nazie, leur mentalité bestiale a été formée par une des manipulations psychologiques contrôlées. La manipulation mentale visait de les épurer de toute la sensiblerie humanitaire et religieuse, d’en faire des « barbares pervers culturels », des monstres prêts à pousser les abjections au sommet de l’odieux comme jadis les barbares cannibales du roitelet païen Clovis I, fondateur du « Deuxième Empire millénaire » par l’anéantissement radical de la civilisation de culture gréco-romaine christianisée et préscientifique des sous-hommes ou « hommes masse ». Depuis cette date historique fatale de la plus grande catastrophe guerrière de l’histoire de l’humanité, l’indulgence plénière par le Sacrée pontifical pour bénir les crimes et les criminels, « la fin sacré justifie tous les moyens », est le principe directeur virtuel de toute action des nostalgiques blondes, élevés au rang des « surhommes » (hommes-dieux) avant l’heure dans le « Saint Empire germanique » qui s’est ensuivie.
Avec leur gourou de la magie noire Adolf Hitler, ayant eu des messages des extraterrestres pour anticiper l’Histoire, les Nazis cherchaient de faire succéder au Saint Empire germanique des Francs, le « Troisième Empire millénaire » de l’anéantissement par la conflagration apocalyptique de la guerre totale mise en musique par les opéras de Richard Wagner, idéologie fantasmagorique des hallucinés, déjà détaillée à la justice nationale et internationale et publiée sur la page 4 de mes blogs. Mais comme la prophétie ne s’est pas réalisée, depuis 1943, selon historien E.R. Carmin, les hallucinés des organisations nazies internationales comptent de remettre ça avec le détournement et recel massif des fonds déposés dans la Reichsbank. Sous cette analyse juridique, nous ne sommes pas en présence d’une tentative punissable des crimes contre l’humanité, nous sommes en présence du crime contre l’humanité lui-même par le début de l’exécution dissimulée au public par les trucages judiciaires entraînant la falsification de l’Histoire par des irresponsables démagogues resquilleurs complices. « Nul n’est censé d’ignorer la loi », pas vrai ?
Ce ne sont pas les militaires instrumentalisés qui provoquent les guerres. Ce sont les rapaces insatiables de la grande finance matérialiste internationalisés, qui les manigancent la guerre par la manipulation de l’opinion par leurs cohortes des démagogues resquilleurs : gourous hallucinés, pontifes et philosophes des thèses symptomatiques d’un certain vide de cerveaux, mentors exaltés et tribuns vendus, toute un ensemble parasitaire largement médiatisés. L’exemple caricatural est le général Manuel Noriega du Panama, illustre élève de l’école du C.I.A. de la formation des narco-dictateurs et leurs escadrons de la mort de demeurés abrutis. Les opérations secrètes du C.I.A. par des bandes paramilitaires ont été pour l’essentiel financées par ces réseaux du trafic de la drogue en connexion avec la Mafia. En France, le grand inspirateur du C.I.A., répétons-le, a été l’ex-S. D.E.C.E., largement impliqué dans le trafic de drogue international sous la direction notamment du ministre des Armées, ministre de la Justice et Premier ministre Michel Debré. Ses trois compagnons au gouvernement Boulin, d’Ornano, Fontanet, sont trucidés (comme auparavant le général Leclerc) par sensiblement les mêmes types de malfaiteurs qui trucidaient en France des personnalités s’opposant à l’Opération Condor en Amérique latine par des militaires dévoyés, corrompus, vendus aux trafiquants de tout ce qui se laissait trafiquer avec un bon bénéfice sur les comptes secrets « pour la lutte contre la pourriture démocratique, pour l’épuration de la race française des éléments qui la souillent, les Nègres, les Juifs et les Mongols… l’appel à la guerre sainte contre l’Islam » des « Ratons », et contre « des enfants de la Partie « timides et indécis » », contre le contribuable et électeur sceptiques et mécréants en somme, pour égorger leurs fils et leurs compagnes. («Marseillaise », déclaré chant national en France le 14 juillet 1795).
Le président de la République du Panama Jacobo Arbenz, après son élection régulière, comptait de restituer par une réforme aux paysans leurs terres qu’ils ont été spoliés. À la découverte de l’Amérique, l’Église ne considérait que les descendants des premiers hommes l’Adam et Ève, les créateurs divins de l’humanité chassés du Paradis, n’avaient pas été en mesure de traverser l’Atlantique. Toutes les populations d’outre-Atlantique ne possèdent pour cette raison aucun caractère d’humain, ne peuvent posséder une âme, ne sont pas susceptibles de détenir un droit à une propriété quelconque, ni même le droit à la vie. Ce sont des bestiaux, des « chimpanzés sans queue », rien de plus que de la viande d’abattoir selon la sainte Église. Cette réforme agricole dérangeait le monopole du holding United Fruit Compagnie des États unis. En 1954, par un coup d’État fomenté par le C.I.A. reversait le président légitime. Jacobo Arbenz fut remplacé au pouvoir par le narco-dictateur sanguinaire Manuel Noriega, décoré pour son exploit avec la French-connexion Chevalier de la Légion d’honneur. Le Panama établit une législation scélérate, autorisant la constitution des sociétés off-shore incontrôlables par n’importe quelle mafia étrangère, sans justification de l’identité des créateurs, sans vérification du casier judiciaire, de la provenance ou destination des fonds. Sociétés criminelles créant par la suite de filiales à l’étranger, même en France. Le narco-dictateur sanguinaire Manuel Noriega, investit ses capitaux sales massivement dans l’immobilier de standing en France, notamment à Paris. Devenu sans doute trop gourmand, les États Unis, par une expédition militaire envahissent le Panama, rament Noriega pour le faire juger et emprisonner dans leur pays seulement, bien sûr, pour trafic de drogue. On aimerait bien de savoir ce qui est devenu de l’immense fortune recelée en France du général Noriega (et de ses homologues en Amérique latine réfugiés en France), gage de l’indemnisation des victimes des tortures et assassinats perpétrés pour maintenir les monopoles des sociétés multinationales avec leurs sièges sociales ou filiales en France.
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La pratique du droit pénal sectaire établit des souvent des artificielles distinctions entre le « délit d’incitation à la haine raciale » et « l’apologie des crimes » et les « crimes d’instigation des crimes » par l’éloge des criminels en préparation ou en action des crimes contre l’humanité. Car, quand on connaît de façon impartialement exacte les conséquences philosophiques et religieuses du sacré le plus funeste de l’Histoire d’un roitelet barbare opportuniste, ces deux infractions se confondent parfaitement : le credo du catholicisme intégriste, basé dans l’essentiel sur la doctrine de Saint Augustin, considère déjà toute forme de législation humaine un péché capital contre la providence divine, comme la pratique de la médecine rationnelle. Il est donc du devoir de tout fidèle de le combattre avec « l’indulgence plénière » anoblissant et bénit ses crimes, des criminels impies s’arrogeant, contre la volonté de Dieu, d’organiser leur cadre vital et leur existence par des lois libératrices, de former d’autres institutions politiques que celles de l’Église et de leurs princes sacrés. Le but sacré justifie tous les moyens.
Parmi les fervents prêcheurs des crimes contre l’humanité à l’aide des massacres exterminatrice, à la manière de Clovis I, même « des timides et indécis », se trouvent en tête de file le saint Monseigneur français Lefèbvre, décédé. Par ces sermons et homélies, le saint apôtre intouchable fulmine partout en toute impunité pour inciter les dictateurs aux massacres, naguère si bien réussis du généralissime Francisco Franco en Espagne : des ennemis du Dieu Roi, des impies péchés irrémissibles de l’État démocratique des Francs-maçons, de la laïcité, des syndicats ouvriers, d’une anarchie complète des brigands tuant à gauche et à droite, ruinant l’économie, l’industrie… Si le doux Jésus Christ était apparu en rédempteur et libérateur des esclaves à cette époque, les émules du général Francisco Franco, comme de l’Augusto Pinochet, l’auraient fait exorciser par des électrochocs dans une des nombreuses Colonies Dignidad par une psy folle, de le faire sodomiser des saints-pères fouettards ; faire jeter le corps du supplicié, désarticulé, demi-vivant encore par les hélicos en régale des requins avec la bénédiction de l’O.N.U., de l’Académie française, de l’Académie des Sciences morales et politiques, et de la Légion d’honneur… : tout ce beau monde distingué de la conservation du capital par les receleurs et les voleurs, encouragé par les homélies des Messeigneurs Lefèbvre et ses très saints acolytes de la franc-maçonnerie secrète du Vatican, ne prêchant rien d’autre que le satanisme pour réussir leur « sale rêve » (Nietzsche) sur la conflagration apocalyptique réussie par le funeste sacrée du roitelet franc Clovis I.
La rhétorique intransigeante de Saint Augustin sur le royaume de la providence de Dieu refuse à l’homme-masse d’organiser par lui-même son existence, ses conditions de vie sur la terre par des lois lui accordant des libertés politiques et civiles. Le régime de la providence divine, démontre Nietzsche, est basé sur la « Morale des esclaves ». C’est la dictature indiscutable des Seigneurs du goupillon et de l’encensoir sur le spirituel céleste ; la domination séculière, terrestre, sans partage par les Seigneurs du glaive bénis (comme les canons, les étendards et les drapeaux des massacreurs) ; Seigneurs au sang sacrés par leurs formules chimériques d’incantation de la magie noire leur conférant un pouvoir séculaire intangible.
Entre un sorcier Zoulou dansant avec son masque triomphant exaltant les guerriers à l’outrance à la bataille et un Monseigneur Lefèbvre avec son antique mitre épiscopale pointée au Ciel en forme d’entonnoir de transcendance spirituelle, (quelle grandiloquence pour inexistant !), sur le plan psychosociologique, la seule différence réside dans la couleur de peau, de l’art et des matières de fabrication, le Protocole liturgique, le gestuel de prestidigitation, la mascarade vestimentaire. « Les araignées porte-croix », écrit Nietzsche, ont adopté et christianisés tous les rites et superstitions des païennes jusqu’à la sorcellerie de bénédiction et magie noire du sacré, des tortures et massacres rituels pour soumettre les « hommes-masses » ou « sous-hommes » à l’esclavage ou servage des « hommes-dieux » ou « surhommes ». Le Vatican imite les païennes jusqu’aux pompes solennelles des prêtres romaines de l’adoration du dieu Jupiter, dieu du Ciel, de la Lumière diurne. Une secte hérétique du christianisme authentique, s’emparant de ses temples, à tout bonnement substitué le Pape à Jupiter, l’Optimums Maximus, régnant sur le Capitol (parlement) auquel il est consacré. Sous la République romaine, le Consul à son entrée lui offrait des offrandes à Jupiter, à l’Optimums Maximus, tel qu’aujourd’hui à un monsieur tartempion rétro consacrée en Pape par le petit comité des rétros consacrés, au chaudron du conclave du Vatican. Le chimérique Jupiter, (ses représentants sur terre), ce tout-puissant Optimums Maximums est garant des traités internationaux et préside les relations internationales. Après le putsch du général traître Jules César avec son armé des mercenaires barbares d’outre-Rubicon, la magie noire du sacré rend intouchable les empereurs massacreurs du profil des futures dynasties de Clovis I jusqu’’à Napoléon III. « L’histoire est un éternel recommencement », écrit Nietzsche, en s’en sauvant de l’Allemagne en Italie. Cet éminent maître-penseur bafoué voit à son époque déjà resurgir les surhommes nazis abrutis pour nous remettre le miracle salvateur de la décadence du Sacré au plus grand. Nietzsche ressent déjà le sinistre suscité des forces du Mal par la musique de Wagner : la conduite vers la catastrophe humanitaire du peuple allemand discipliné du mage noir, de l’électrisant Führer-Caporal Adolf Hitler en délirant Optimus Maximus, instrument sacré des forces occultes du Cosmos. Dans l’évolution politique de l’histoire, seule la terminologie artificieuse des démagogues resquilleurs change, point les mœurs trompeuses des dominateurs mythos mégalomaniaques qu’ils servent en séides fanatiques ou en rapaces corrompus.
Mais le hic c’est qu’en dehors à quelques rares érudites, le caractère mystique, religieuse sectaire des Nazis est hermétiquement dissimulé… par les juridictions des magistrats culturellement et héréditairement totalement acquis à ces superstitions, d’autres corrompus de pères en fils jusqu’à la moelle, car la lâcheté devant une menace est une forme de corruption, sur le plan pénal, c’est un acte de complicité pénalisé : pour un fonctionnaire français, l’abstention est une action pénalisée consistant dans le refus d’agir alors que la loi l’oblige, comme la dénonciation des crimes en préparation ou en cours de réalisation…, l’assistance des personnes en danger…, d’un peuple tout entier menacé d’être réduite à l’esclavage, à d’extermination. Discours de Himmler citée sur le repeuplement, après l’extermination des sous-hommes Gaulois de la France par le haras de reproduction aryenne des pures S/S : « Nous vivons en communauté avec la mort et devons apprendre à nous servir d’elle de la meilleure manière possible. Pour le bien de la race allemande et son expansion, il faut aspirer à une Europe vide, ce qui signifie de l’anéantissement de toutes les autres nations ». « Après les Juifs, le peuple français est notre pire ennemi ; il l’est depuis des siècles…,” Reichsführer SS Heinrich Himmler cité par Sven Hassel.
En 1956, cette doctrine folichonne « de la guerre sainte, de la croisade », est préconisée dans des écoles militaires par un illuminé de choc de l’intégrisme catho, ancien déjanté de la jeunesse communiste trouvant sa voie à ses ambitions de sortir de la médiocrité générale par la création en son instrument la croisade avec l’appellation ronflante : « le Centre d’études supérieures de psychologie sociale » (CESPS). Avec cette mise en scène trompeuse, à ce communiste converti au catholicisme intégriste des fanatiques, est laissé tout loisir de faire de l’intox et procéder à la manipulation psychologique dans les institutions militaires en France telles que le Polytechnique ou l’École supérieur de la guerre. Les manipulateurs mentaux experts imprègnent les officiers de l’obsession d’agir en surhommes nietzschéens, alors le grand philosophe Nietzsche qui les a fuis en Italie, les qualifiait des dangereux rebuts culturels, leur compositeur Richard Wagner en archétype de la décadence délirante avec son opéra « brutal », musique sacrée des nazis « Le Crépuscule de dieux » (Götterdämmerung).
Parallèlement, pour accréditer la morbide manipulation psychologique, des spécialistes du niveau académique supérieur du ministère de la Défense, bien au fait de l’ignoble sinistre de l’Histoire, laissent bercer le corps des officiers dans l’ignorance totale de la Haute Trahison de la France du clan du Duc Édouard de Windsor avec son propre état-major français en 1940, forcément initié par le Maréchal Philippe Pétain, et de la prophétie nazie de de la nécessité de l’organisation d’une troisième guerre mondiale pour la domination du Monde par ces mystiques paranoïaques. Et voilà, par le lavage de cerveaux collectif en douceur, la base psychologique est établie du putsch du 21 avril 1961 manqué des généraux « sous-hommes » d’Algérie. Aux dévoyés de l’Organisation (rebelle) Armée Secrète, les manipulateurs par la mystification collective les manipulant dans la luxueuse sécurité confortable, font accroire d’agir en « hommes-dieux » pour une noble cause justifiant la mise en application tous les moyens criminels avec « l’indulgence plénière » anoblissant des juridictions nationales et internationales partisanes. La contamination des forces armées par la désinformation fanatisant transite aux écoles militaires des États-Unis des sous-hommes les plus dégénérés par le métissage, selon Hitler, s’étend vers l’Afrique, l’Amérique latine, la lutte contre la pourriture démocratique, pour l’épuration de la race française des éléments qui la souillent, les Nègres, les Juifs et les Mongols… l’appel à la guerre sainte contre l’Islam » des « Ratons », et contre « des enfants de la Partie « timides et indécis » », contre le contribuable et électeur sceptiques et mécréants en somme, pour égorger leurs fils et leurs compagnes. (« Marseillaise », déclaré chant national en France le 14 juillet 1795).
Bref, même dans les hautes écoles militaires, la rhétorique classique de l’intox des mystificateurs impute leurs propres crimes à l’adversaire « ennemi de Dieu et de la Patrie », pour justifier son anéantissement, même en organisant par des « barbares païens » dénués de toutes réticences de piété les massacres des ecclésiastiques, des moines et des nonnes révoltés, des prêtres refusant de bander au supplice de petits garçons. La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen exige de tout magistrat, de tout fonctionnaire assermenté de la République, et bien rétribués par le contribuable, de protéger « de tous ses forces » les citoyens contre les velléités de la répétition de la guerre totale du catholicisme intégriste, associé à la magie noire apocalyptique des nazis et autres morbides déviations sectaires indivisibles du nazisme international des surhommes ou « hommes-dieux », stigmatisés de l’aphorisme directif de l’Hymne nationale française en « sang impure », une excroissance maligne à extirper.
À Monseigneur français Lefèbvre et ses acolytes exaltés du catholicisme intégriste, le lustre universitaire est aussi apporté par la rhétorique artificieuse du docte professeur Marcel de Corte de l’université de Liège de la Wallonie en Belgique. En faisant référence à l’écrivassier de l’Académie française Charles Maurras, (apologue des crimes nazis emprisonné en 1944, naguère mentor félicité de Franco), Robert Brasillach de l’Académie Goncourt (fusillé), des collaborateurs nazis préconisant de réduire le peuple gaulois à l’esclavage par le recours aux « chevaliers du temps moderne des Waffen SS », vertueux surhommes « psychologiquement sélectionnés », assermentés à Hitler, soutenus des sous-hommes « soldats (fascistes) du Christ roi » : Les droits de l’homme, une utopie pernicieuse, ce n’est que la révolution permanente et universelle contre la providence de Dieu. Avec moi, ce pontifiant l’université de Liège aurait prêché un convaincu, si des vraies précisions matérielles et historiques avaient été osées. Une délirante secte hérétique du christianisme à l’époque de Clovis I, avec ses rites sadomasochistes les plus morbides, a mobilisé par la sanctification des blondes barbares cannibales en homme supérieur « Gottmenschen », (hommes-dieux) contre l’évolution de la Raison logique du Droit constitutionnel et privé, mathématiques, physique, biologique, médicales, « attentatoire à la providence divine ».
Pour cette secte déviante de l’Écriture Sainte, les juifs cessaient d’être vénérés en peuple élu de Dieu, sont dorénavant maudits en assassins sacrilèges du Dieu Jésus indivisible. C’est la guerre historique en cours contre la révolution permanente et universelle de la déraison mystique délirante des visionnaires hallucinés contre la raison rationnelle et matérielle des savants penseurs du monde. À l’époque, sous le credo du Saint Augustin, tous ceux se référant à la science Grèce déjà atomiste des érudits tels que Leucippe et Démocrite ~460 ~370 furent impitoyablement torturés pour leur extirper la repentance avant de les brûler vives sur les bûchers. De Napoléon, passant par Mussolini à Franco et son créateur Hitler en Amérique latine, les esprits et les sous-consciences de tous les chefs militaires et leaders politiques, depuis leur plus tendre enfance sont formatés à ces credo des élucubrations superstitieuses du mysticisme des hallucinés, se posant en « sauveur de la dieu-patrie du chaos social et de l’anarchie de l’autonomie de la volonté des élites penseurs, de la législation républicaine de ces terroristes ». Tant que les vérités historiques demeurent tendancieusement mystifiées et mythifiés dans l’enseignement de l’Histoire, de la philosophie politique de Nietzsche, avec des trucages de la Justice, même des personnes relativement cultivées ne se réaliseront jamais dans quels gouffres elles sont manipulées par des superpuissances maléfiques qui échappent à leur entendement, n’en reviennent pas en s’instruisant sur mes blogs.
Cet anti-maçon frénétique de Monseigneur Lefèbvre joue en Amérique latine le jeu de rédemption chrétienne des hommes-dieux, d’un des plus intéressants collaborateurs des monumentales combines historiques du rétablissement sur terre le règne des « hommes-dieux » par la réduction à l’esclavage : Le grand mage de la « Santa Mafia » du Vatican, Grand officier de l’Ordre des Chevaliers de Maltes Licio Gelli, l’omnipotent grand maître de la franc-maçonnerie, de la fameuse loge italienne P 2, comparable à la Grande Loge nationale de France, associant les têtes de tous les services secrets, policiers, institutions politiques et judiciaires et magnats de l’industrie et de la Finance. L’illustrissime Licio Gelli est un des principaux organisateurs de la filière des monastères de l’exfiltration des plus dangereux criminels contre l’humanité vers l’Amérique avec des capitaux nazis. Les plus célèbres : l’adjoint et exécuteur testamentaire d’Hitler Martin Bormann, le brave docteur Mengele en extermination, médecin en chef des expériences biologiques sur les enfants juifs d’Auschwitz, poursuivie en Amérique latine… leur petit gazier Eichmann. Ces têtes des crimes contre l’humanité qui ont trouvé tous, de temps en temps, bon accueil dans la colonie Dignidad au Chili pour préparer le bon déroulement de la prophétie de la Troisième Guerre mondiale purificatrice d’un oracle nazi vénéré. Le feuilleton des inénarrables historiettes sur les aventures de Licio Gelli, nous ramène aux myriades de combines et machinations de la banque du Vatican avec la Mafia, à l’assassinat avec une French-connexion d’un pape se croyant chrétien pour tenter de mettre un terme, les escroqueries astronomiques avec des assassinats en série des initiés. Même un Pape ne mettra pas un frein aux manigances la secte intégriste Opus Dei qu’on retrouve au Chili, et inévitablement proche des magouilles de Valérie Giscard d’Estaing, avec l’assassinat par un flic véreux de son fidèle député-prince Jean de Broglie, poids lourd de toutes ses magouilles relevant de la compétence exclusive de la Haute Cour de justice mortifiée avec moi. Comme je l’ai signalé à l’O.N.U., un des instigateurs de l’assassinat du député-prince, indemnisé comme Papon de « l’inéquitable » jugement, est transfiguré par la Cour européenne de droits de l’homme à Strasbourg en martyre de la Justice française. En même temps, la Cour européenne infestée par des juges nazis couvre mon assassinat et ceux de mes associés par cette même sainte conjuration mafieuse qu’elle a anoblie.
Alors que la Troisième Guerre mondiale est prophétisée par les gourous nazis, qui s’appliquent à la réalisation en silence, Les Nations Unis accordent la souveraineté d’État au temple en Italie, les plus dangereuses associations de malfaiteurs historique des criminels contre l’humanité du passé, du présent et ceux programmés pour l’avenir par imitateur sacré de l’idolâtrer Clovis I. La grande Loge maçonnique du Vatican réunissant les grands dignitaires ecclésiastiques, les cardinaux de la curie, des archevêques, des évêques, des prélats et de laïques dont le chef de la banque du Vatican, se sont livré à des recels des capitaux et malfaiteurs nazis, dont l’exécuteur testamentaire d’Hitler Martin Bormann, son second ; des crimes de la haute finance avec la mafia, jalonnée des assassinats en série des initiés.
But historique : Détruire de nouveau « tout ce qu’il y a de noble sur terre » (Nietzsche), fruits de l’intelligence et réflexion humaine durement travaillée, les sciences matérialistes rationnelles ; leur substituer par la conflagration apocalyptique « purificatrice » de la guerre totale les ignominies irrationnelles du mysticisme délirante des paranoïaques tels que le méconnu Hitler, poursuivis en Amérique latine, dans le génocide rwandais en 1994 en Afrique…
Une conjuration secrète du mysticisme sadomasochiste des ennemis rapace du genre humain, n’aimant sur la terre que leur élévation au divin du Pouvoir jupitérien, le luxe somptueux et des plaisirs de la domination de la Raison, de l’intelligence humaine rationnelle par les absurdités de la déraison morbide de leurs élucubrations paranoïaques. La mystification collective est accréditée des sortilèges cérémonieux hypocrites des princes d’Église allant jusqu’aux plus odieux macabres sous le masque de la bonté divine de l’austère, pacifique et doux Juif Jésus Christ, prophète de l’amour universelle. . « Ne donnez pas aux chiens les choses sacrées et ne jetez pas vos perles devant les porcs, de peur qu’ils ne les piétinent et se retourneront pour vous déchirer ». Jésus Christ. Nouveau Testament.
Sous l’immunité judiciaire dans un mini-état souverain protégé par les Nations Unis toujours complices, s’organise une nouvelle conflagration apocalyptique de la guerre totale par un autre paranoïaque phénoménal du gabarit de d’Hitler. Avec la multiplication à l’extrême de l’impunité des grands crimes se décuplant sans entraves durant décennies, c’est vraiment trop long pour une analyse synthétique d’un juriste, même le plus calé ! Je cale sur ce chapitre des recels astronomiques par la corruption des détenteurs des pouvoirs publics!
Un autre bon apôtre en faveur des crimes contre l’humanité, contre les enfants de la Patrie, en Amérique latine a été le prince Michel Poniatowski, alors en séide, chef de cabinet du président de la République française Valérie Giscard d’Estaing, répétons-le prétendu descendant d’une maman de la dynastique sanctifiée des rois Francs. Comme son maître à la Présidence, le prince Poniatowski fut un partisan de l’Organisation (rebelle) Armée Secrète (OAS) des militaires putschistes, passés et disséminés en Amérique latine après l’échec du renversement du régime démocratique en France. Ce vrai prince avec son maître faux prince flirtait ouvertement avec l’extrême droit. Sous leur régime scélérat des « gangsters d’État », les tueurs de l’Opération Condor opéraient librement à Paris pour assassiner des généraux opposants. Le guide spirituel des cadres et officiers basculés à l’OAS, « le sang impur contre les enfants de la Patrie », a été l’aumônier de l’armée Georges Grasset, réfugié en Espagne. Ce saint manipulateur incantatoire exerçait (en instigateur moral) la plus grande influence spirituelle aux exterminateurs en Argentine, mais aussi sur les tueurs du GAL acolytes qui ont assassiné en Espagne mon ami Joseph Couchot. Alors, si « nul n’est vraiment censé d’ignorer la loi », dans quels sommets vertigineux du Pouvoir va mener l’application des droits fondamentaux du Pacte international relatif aux droits civils et politiques de 1966, rentré en vigueur le 23 mars 1976, ratifié par la France le 29 janvier 1981 par Mitterrand, rien pour que je m’en serve, moi le seul capable de s’en servir, contre tous les pontifes académiques dadais , magistrats corrompus et les démagogues resquilleurs.
Le démonteur sans équivoque la comparaison avec la maintes fois citée jurisprudence de blanchissement du maire de Toul Jacques Gossot en 1992-1993, avec ses malfaiteurs associés du Rotary fricoteur et truands de l’ex-S.A.C., par l’annulation de complaisance de l’information parfaitement régulière du juge d’instruction Gilbert Thiel à Nancy et Metz, confirmée par la Cass. Motif : « une simple rumeur » sic sur compromissions d’une personne relevant de la compétence d’une autre juridiction pénale. Or dans les instructions judiciaires et jugements des putschistes de l’Organisation (rebelle) Armée Secrète (OAS), abondaient bien plus d’informations convaincantes que « des simples rumeurs » des compromissions des membres du gouvernement, tels que Valérie Giscard d’Estaing et ses barons. En application des mêmes principes d’ordre public dont ont bénéficié à tort le maire de Toul et sa mafia, sous peine de nullité générale, substantielle et d’ordre public», les procédures de poursuite judiciaire du complot contre la sûreté de l’État de l’OAS relevait indivisiblement de la Haute Cour de justice, avec les complices qui n’ont pas été investis d’une fonction gouvernementale, selon les termes maintes fois cités de la Constitution. Michel Debré du Rotary fricoteur, membre de l’Académie française, est l’auteur farceur de la Constitution de 1958 : ancien ministre de la Justice 1958-1959, Premier ministre 1959-1962, ministre des Affaires étrangères 1968-1969, chef de la French-connexion du trafic de drogue en ministre de l’État de la Défense nationale 1969-1973. Mais lui aussi a été justiciable de la Haute Cour de justice pour complot contre la sûreté de l’État avec sa mafia du Service d’Action Civique en lutte contre les putschistes de l’OAS avant de s’y fondre pour s’expatrier en Amérique latine.
Situation impossible ! Toutes les hautes personnalités corrompues du système archipourri sont justiciables par la Haute Cour de justice composée par ceux qui en sont justiciables. Prévoyante l’Ordonnance du fonctionnement de 1959, pondu par les mandarins de Michel Debré, met sa saisine à la merci des comploteurs qui en sont justiciables. Il fallait attendre l’abrogation de cette ordonnance par la ratification en 1981 par le président de la République François Mitterrand du Pacte internationale relative au droit civil et politique de l’O.N.U. (Un-Zivilpakt ou UNO-Pakt II aussi ratifié par l’Allemagne, Autriche et par la Suisse). Avec ce solitaire sobre, studieux et sportif de Dietrich lancé en juriste combatif dans la bataille, c’est déclenché une véritable guerre judiciaire mondiale. Jusqu’à l’avènement imprévu de l’Internet, la bataille des procédures a été perdue par la corruption et le trafic d’influence de ceux de la Haute auquel « ce téméraire commando d’action spéciale », ce rien de tout d’adjudant Dietrich aurait dû remettre son bébé empoisonné bien emmailloté par sa science académique.
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Par l’avènement du Web inopinément catapulté en Juriste analyste du top niveau mondial, à défaut d’un grand homme pédant éperdument recherché parmi les mandarins académiques et des grandiloquents démagogues politiques, aujourd’hui ridiculisés jusqu’à la fin de l’histoire , moi l’impertinent rustre savant Dietrich, marginalisé en fervent « poète adulateur », j’ai réussi de faire patronner virtuellement ma science par la ravissante mezzo-soprano Elïna Garanča, de ma déesse enchanteresse du bel canto, de la Reine Blanche sur l’échiquier des belligérants de l’ombre. La grande artiste, la sublime Elïna Garanča se rend-elle compte de son énorme poids dans la balance politique en prêtant virtuellement assistance par son irrésistible charme lyrique à un redoutable lutteur relégué dans l’isolement sobre, et sportif dans la solitude du combat psychologique multilatérale contre ces forces terrestres de l’Enfer ? D’avoir déjà maté par son irrésistible rayonnement divin maint puissant démagogue resquilleur, double et hypocrite, envieux de récupérer à son profit commercial et politique l’éclat du prestige international de mes travaux ? Les droits de ma méritante associée virtuelle Elïna Garanča13, ne méritent-ils pas autant d’égards de la justice que celles des héritiers receleurs du docteur en assassinats de masse Joseph Goebbels, Ministre d’Éducation du Peuple et de la Propagande d’Hitler ; héritiers venant de s’accorder en 2015 par le tribunal de Munich en Allemagne des royalties sur les droits d’auteur de sa biographie ? « Maître d’École de nos démagogues d’aujourd’hui » aux ministères équivalents, qui par la technologie moderne de la rhétorique démagogique aux fins de propagande, préparait la nation allemande à la guerre planifiée en tant que ministre de l’Éducation du Peuple et de la propagande d’Hitler dans le ministère qui ne servit qu’à la Séduction psychologique dolosive des gens.
Dans le Troisième Reich du Führer Hitler, son ministre de propagande nazie Joseph Goebbels, se posant en « éducateur du peuple (imbécile selon Nietzsche) », s’est servi à cette manipulation morbide de l’incantation de sa belle maîtresse, de la prestigieuse cantatrice d’opéra Élisabeth Schwarzkopf. Par l’incantation de son sublime art, elle collaborait au conditionnement de l’opinion publique aux fureurs nazies des hécatombes par des assassinats de masses.
À l’époque présente, l’ex-président de la République, maître Nicolas Sarkozy, ce nigaud prétentieux, se pose lui aussi dans les médias en grand « pédagogue du peuple (imbécile selon Voltaire) ». Après un divorce-éclaire par le Président Jean-Claude Magendie du T.G.I de Paris, (maçon de la GLNF dans le conseil de surveillance d’une société de Télé-Lagardère, marchand d’arme), de Sarkozy le boniment bling-bling ruineux pour le contribuable est charmé par les attraits du vulgaire sexe-spectacle business de la médiatique Clara Bruni, d’un physique de classe, avec ses petites chansons bébêtes d’une voix fluette électroniquement amplifiée et modulée. Sur l’échiquier de la haute trahison de l’humanité par les receleurs de la société distinguée, leur avocat en judiciaire , ce faisan politique encensé par les effets spéciaux des médias de ses clients friqués, joue la captivante chansonnière stripteaseuse Clara Bruni en propagandiste. Par le charme artistique amplifié, l’arnaqueur masque l’accusation irréfutée d’agir en traître usurpateur, comploteur contre la sûreté de l’État de la France en baladin de comédie appointé des escrocs-receleurs. Dans les médias, vient en rescousse de la haute trahison de l’humanité la mère de Clara Bruni pleine aux as. Ces vitupérations haineuses sur l’opposition de la vulgaire commère laudatrice des siens, intarissable sur les qualités politiques bénéfiques de son vertueux gendre sont scénarisées par des trucages et accrédités par des effets spéciaux des médias aux spectateurs abrutis par ce matraquage auditif et visuel.
Viennent à la rescousse de la haute trahison de l’humanité de Sarkozy, les sommités universitaires de Paris 2 et Paris 3 en passant subrepticement en prétendument surdoué, passent son fils présomptueux J’annote d’autorité en professeur de droit rémunéré, alors il ne disposait pas les qualifications légales requises, en jouant le lapin sorti du chapeau des prestidigitateurs par le tour de passe-passe des mandarins de l’université. De « Jeannot Lapin », fils du papa en perte de vitesse électorale, les imposteurs arrangent une publication propagandiste durant les campagnes électorales avec des notes truquées d’examen de licence en droit, en contradiction flagrant à celles publiés longtemps auparavant, juste quelques jours après l’épreuve. En réplique de ma démonstration de l’arnaque, logique pour tous ceux qui ont fréquenté une université en France, ces arrogants pontifes incultes et tarés conspuent ma science par des insultes et injures, alors de la hauteur de leurs suffisances, ils n’ont même pas pris la peine de la lire en diagonale mon argumentation sur le complot contre l’humanité qu’ils servent. Comme les universités ont attribué à « Jeannot Lapin » non habilité par la loi un poste rémunéré dans l’université, rien que pour la propagande politique…,allez suffisants cuistres insolents ! Nul n’est censé d’ignorer la loi sur l’escroquerie complexe en bande organisée! Pas vrai ?
Avec ce nouvel aspect du contentieux, je me vois forcée d’augmenter sensiblement le taux des réparations qui me sont dues personnellement par les pontifes universitaires et de l’Académie française avec ses cooptés traficotant du prestige. Rien n’est gratuit dans ce monde des marchands. En honnête homme reconnaissant, il va me falloir verser spontanément à mon aimable associée, une des plus grandes stars de réputation internationale Elïna Garanča13 les droits participatifs. Sa participation au changement du cours de l’histoire, l’expose, elle et sa famille, à des périls insoupçonnables, notamment ses enfants aux captations morales et même enlèvements des sectes qui savent s’y prendre.
Après la tuerie de 77 femmes et enfants sur l’île d’Utøya à Oslo en juillet 2011 par un mytho-mégalos endoctriné et drogué, les dangers sont le derechef démontrés le mois d’octobre 2015 avec la jeune femme politique poignardée en Allemagne, et deux jeunes enseignants et un étudiant d’un collège tués à l’arme blanche en Suède par un jeune cinglé fanatisé portant un masque « Star War » et d’un casque allemande de la Deuxième Guerre mondiale.
Quant à l’ancienne ministresse, la députée Madame Christine Boutin, une des hystériques exaltées de la secte Moon, l’envoyée de Dieu est trempée avec l’indulgence judiciaire plénière dans mainte juteuse escroquerie de haute volée avec ses collègues au gouvernement. Dans des manifestations avec des députés du Front national tels que Gilbert Collard, cette conjuration excitait leurs incultes illuminés extatiques d’agresser des médecins pratiquant l’interruption légale des grossesses « des blancs », enivrant les cinglés demeurés par des credos frelatés jusqu’aux assassinats, saccageant des coûteuses installations hospitalières sans être condamnés aux réparations. En octobre 2015, poursuivie pour « incitation et provocation à la haine à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes », Madame Christine Boutin, cette autre caricature politique du Disneyland parlementaire, cherchait de se justifier devant le tribunal correctionnel de Paris en brandissant la Bible pour faire les manchettes dans les médias lors des élections régionales.
Devant ces cinglés toxicos, mytho-mégalos prêts à tout pour alimenter périodiquement l’actualité internationale des médias friands des folles sandales odieux, manipulés à cet effet des philosophes tordus des salons, mentors des artistes, gourous, tribuns fanatiseurs des forces adverses, rien que pour faire actualiser dans l’opinion par les médias la cause raciste de leur idéologie des détraqués en cultivant chez les irresponsables les bas instincts les plus odieux du for humain, on tremble pour Elïna Garanča13, pour son époux, le chef d’orchestre Karel Mark Chichon et leurs deux filles. Avec la très importante contribution par son aura d’enchanteresse au combat dans la guerre psychologique, Elïna Garanča13 a bravé ces dangers de vindicte fanatique des cinglés hallucinés, dans une association de résistance créée de fait avec moi dans le combat de neutralisation de ces artifices médiatiques de mystification publique. Par sa virtuelle assistance salvatrice, la rayonnante Diva Elïna Garanča13 est devenue juridiquement une valeureuse partenaire : le support moral évinçant de mon périlleux sillon meurtrier maint prétentieux sirène naufrageuse, (mâle ou femelle), aux immenses ambitions politiques ou médiatiques, par la récupération subreptice à son profit de ma science ou de mon prestige international.
Par ma récupération calculée à mon tour de l’incantation de la beauté de l’art lyrique, a été réduite à zéro dans l’opinion publique manipulée et désinformé, les machinations d’occultation ou de dénigrement de mes salvatrices qualités académiques internationalement reconnus, même mondialement félicitées. Par la somptueuse mise en scène continuelle de l’association des artistes, valorisant des pitres corrompus tels que Jacques Chaban-Delmas jusqu’à Nicolas Sarkozy, ou, des psychopathes délirantes tels qu’Hitler ou Le Pen, la partie adverse dénuée de tous scrupules se sert d’un écran du showbiz artistique à leur criminelle conspiration du silence. Les crédits alloués par le Parlement au ministre de la Culture ne servent qu’instrumentaliser aux fins de propagande politiques art et les artistes.
Avec l’apparition de la rayonnante Diva Elïna Garanča13 sur ce théâtre opérationnel de la guerre psychologique contre l’ennemi de l’intérieur de la France est apparue encore une nouvelle question préjudicielle qui s’impose sur l’équité judiciaire de l’un million de dollars/heures versé par coalition adverse aux avocats pour me neutraliser par le trafic d’influence. Je communiquerai aux experts-comptables désignés par la justice les détails justificatifs de la consistant indemnisable mes travaux.
Sur le montant de l’indemnisation de mes travaux et de mon « contre-lobbying » à moi, du fauché parmi les fauchés des compétitions populaires de la course à pied, j’appelle au témoignage très, très expert de l’ex-ministre des Finances Dominique Strauss-Kahn, directeur Fonds monétaire international (FMI), qui s’est offert aux États-Unis de tels avocats pour dresser un gigantisme écran de fumée médiatique devant mes accusations portées contre lui dans le complot contre la sûreté de l’État avec ses compromissions scélérates dans le sabotage de l’affaire Papon à Bordeaux pour couvrir les plus dangereux criminels contre l’humanité en action à l’aide des monumentaux recels des fonds nazis doublés des escroqueries complexes en bandes organisées. Nul n’est censé d’ignorer qu’en droit français ÉGALITAIRE, « quiconque crée un dommage à autrui est tenu de LE RÉPARER INTÉGRALEMENT » ! Pas vrai ?
Sur le montant de l’indemnisation de mes travaux et de mon « lobbying » à moi, du fauché parmi les fauchés, s’il n’est pas encore trucidé par les killer de la psychiatrie, j’appellerai encore en témoignage M. Joseph Ferraye, citée depuis des années à l’O.N.U. : victime de l’escroquerie judiciaire de son avocat félon Maître Gilbert Collard, député de l’extrême droite, par ses mises en scène médiatiques devant les juges à Nice dans l’étouffement de l’affaire « Kuwait Gate, certainement la plus grande escroquerie de tous les temps, tant par le volume d’argent concerné, que par le nombre de morts liés à l’affaire » et qui, elle aussi, a été soustrait par des forfaitures de la compétence exclusive de la Haute Cour de justice. […] Son volume d’argent : Une escroquerie internationale de plus de 22 milliards de dollars. Le nombre de morts : Tous décédés de mort violente sur le territoire français explosion de véhicule – suicide à la varappe – défenestration – suicides multiples… » Page 5 des blogs : L’étouffement de cette affaire à Nice n’a été rendu possible par mon élimination par, d’abord par l’avocat félon William Bourdon, puis du si médiatisé l’avocat félon Maître Gilbert Collard, en action combinatoire avec le ministre des Finances Dominique Strauss-Kahn, dans les procédures de la « Notaires Connexion » à Bourges, couvertes par l’O.N.U. à Genève et par la Cour européenne des Droits de l’homme à Strasbourg !!! Page 6 des blogs. Dans l’enquête sociale obligatoire dans l’information criminelle, tous les liens de connexité et d’indivisibilité juridiques et judiciaires convergent vers le restaurant Le Piccadilly d’Aubervilliers avec le manipulateur de la conjuration « rouge-brune » Jacques Bidalou, masqué en incorruptible juge rouge par les artifices des médias : l’officine de la neutralisation du juriste d’attaque, moi Dietrich, poussé par les Muettes en dehors de l’Armée, dirigé vers des études universitaires du droit et sciences pénales pour démystifier ce complot à la Justice avec son intelligence particulière reconnue par le profilage psychologique, rudement exercée à la pugnacité, adresse et résistance physique et psychique dans des commandos d’actions spéciales.
Avec le patronage d’un seul de ces suffisants mandarins resquilleurs des universités pour la présentation de ma thèse de doctorat, (dont des doctorants du monde entier s’instruisent à présent), d’un de ces grandiloquents démagogues resquilleurs en rapporteur qualifié du dossier au Parlement pour la saisine de la Haute Cour de justice, jamais ces affaires mafieuses auront pu se développer dans l’ombre du bastringue débilitant des médias, comme s’est aussi développée organisation de la Deuxième Guerre mondiale dans les coulisses de ces faisans politiques sectaires de la même farine. En ayant pallié de bon cœur leur défaillance stipendiée, ayant assumé mon patronage psychologique, ma sublime déesse enchanteresse du bel canto Elïna Garanča13, imaginez la valeur qui lui est due spontanément, même si cette grande star du top niveau international, n’en a jamais rêvé et n’en voudra peut-être même pas. Tout de même, ces énormités fautives doivent être impérativement réparées dans l’intérêt de la Justice et je l’exige en question préjudicielle et/ou question préalable, car je dispose du droit moral protégé du droit fondamental de l’exiger des juridictions nationales ou internationales. Nul n’est censé d’ignorer les droits fondamentaux garantis par la Constitution ÉGALITAIRE ! Pas vrai ?
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Le malheur fatal de l’humanité, c’est qu’avec la dissimulation du complot politique et la haute trahison de l’armée française sous la houlette du Duc Édouard de Windsor (du sang sacré des Franques d’Allemagne), reflue en France en Compagnons de Libération du général Charles de Gaulle, après avoir trahi à Londres les opérations de résistance et les résistants à leurs conjurés dans le régime de Vichy en France. Sont adulés et vénérés et emmédaillés « Les faux résistants vrais coquins », toute la partie de la Cagoule, « Organisation secrète d’action révolutionnaire nationale » (OSARN), qui l’a suivi en Angleterre pour préparer son envahissement par l’Opération navale combinée Allemande-Française Seelöwe, Lion de Mer. Ignoré par les élèves des Haute Écoles militaires et policières manipulés par la falsification de l’Histoire par la Jurisprudence contrefaite, les traîtres coalisés rentrent carrément dans le gouvernement, prennent en main les leviers de commande dans la Justice et dans l’Administration, s’offrent l’amnistie par le Parlement inféodé par leurs démagogues resquilleurs, ayant déjà fait leurs preuves dans la Haute trahison d’avant-guerre. Une de ces caricatures connues, impliquée dans l’opération Seelöwe : le Baron bonapartiste Olivier Guichard, ancien ministre de justice du Rotary fricoteur, son apparition comme témoin à charge dans la mascarade de l’affaire Papon au lieu et à la place de moi en situation de paria traqué. Avec un cousin dans l’OAS (abattu par la police en 1963), Ministre d’État de la Justice de 1967 à 1977, Guichard est une des grandes figures du gangstérisme d’État. Avec Alain Peyrefitte, ministre de la Justice du Rotary, Guichard est un de ces fameux « gangsters d’État » bénéficiant par des truands du SAC, de la French-connexion et des criminels Nazis contre l’humanité, la protection leurs campagnes électorales démocratistes financés par les fonds sales des recels et du proxénétisme.
À l’époque du procès Papon à Bordeaux, ce maire de la ville Baule (Loire-Atlantique) a été poursuivi pour escroqueries et détournement des fonds publics. Mon intervention avec le déclinatoire de compétence a été supprimée aussi dans cette procédure connexe, comme dans l’affaire Papon où ce filou de baron écornifleur brille en irréprochable témoin devant les jurés couillonnés des assises en médiatique, grande pompe solennelle avec le président et ses assesseurs de la magistrature. Cette mise en scène de pure propagande politique télévisée dans la salle d’audience pour l’Histoire a permis de redonner du lustre devant ses électeurs trompés à son blason terni par sa notoire corruption scandaleuse apparue en plein jour. Trop heureux de la publicité gratuite et des bénéfices sur mon dos, pas un des procureurs de Bordeaux, pas un des avocats, pas un de mes débiteurs actuels, s’en sont offusquées, ni même des crimes de la suppression de mes actes de procédures indiscutables avec moi et dont ils avaient une parfaite connaissance. L’immunité des procureurs et de la basoche, ne concerne que les plaidoiries à l’intérieure d’une salle d’audience devant la Cour habilitée par la loi. Nenni, devant une juridiction légalement incompétente et encore moins à l’extérieur de la salle d’audience avec de bobards devant la presse. Nul n’est censé d’ignorer qu’en droit français ÉGALITAIRE, « quiconque crée un dommage à autrui est tenu de LE RÉPARER INTÉGRALEMENT » ! Pas vrai ?
Trente ans de mascarade judiciaire largement médiatisée par des escroqueries en chaîne des bouffonneries des parjures, organisée en petit comité pour soustraire à la justice les plus dangereux criminels contre l’humanité, des assassinats en chaîne aidant. La conjuration, dorénavant sans cagoules (19301940) des traîtrises Nazis, déjoue en Indochine la constitution paisible d’un État déjà existant en germe. La confrérie occultée des hallucinés du catholicisme intégristes et leurs acolytes Nazis organisent en sous-main la « guerre sainte » perdu à l’avance pour tous les stratèges clairvoyants. Ont en fait partie, le général du putschiste d’Algérie Raoul Salan, alors opposant clairvoyant à la Guerre d’Indochine. Mais les mystiques hallucinés, eux, croient dures comme fer à au divin providentialisme des saints miracles de la haute trahison des chefs militaires et politiques tels que le mage noir Adolf Hitler : leur victoire par réalisation de la troisième guerre mondiale prophétisée. Sous-off bilingue du 6e RPIMa des bérets rouges en manœuvre, visitant un musée de l’Armée allemande proche de Stuttgart, un officier parachutiste français, issu de l’École des élites militaires d’enseignement supérieur français Saint-Cyr, outré de l’enthousiasme fanatique du présentateur, tout faraud se plastronnant en ancien héros de la Deuxième Guerre mondiale, me grinçait entre les dents à l’oreille : « et maintenant ces dingos sont à la recherche d’un autre cinglé pour nous remettre ça ».
Les sinistres surhommes des bidules telles que l’Ordre nouveau, Ordre noire…, Templiers, Chevaliers de l’Ordre de Maltes…, hommes-dieux, chevaliers du temps moderne, moines soldats du Royaume des hommes-dieux et autres auto-qualifications des plus délirantes, passent par l’Algérie, traversant l’Italie et l’Espagne, en Afrique noire et en Amérique latine… L’enchaînement correspond à la logique des sinistres de l’Histoire depuis la création du 2e Empire millénaire selon les historiens nazis par le sacré du plus funeste du roitelet franc Clovis I. Avec ses propres vassaux de sauvages barbares cannibales, par la sorcellerie de l’opération du Saint-Esprit du sacré, le roitelet Clovis fut délié du serment de vassalité prêté au roi ostrogoth de Rome Dietrich von Bern, Théodoric le Grand (455-526). Le dernier empereur romain de l’Occident Romulus Augustule (476) s’est fait massacrer par ses propres démagogues resquilleurs intrigants avec sa cour par des mercenaires germains barbares d’une petite tribu oubliée par l’Histoire. Alors investi par l’empereur romain de l’Orient Zénon de Constantinople, en Roi de Rome, Dietrich von Bern, régnant sous le nom christianisé Théodoric le Grand, devait prendre en main la gouverne de la partie occidentale de l’Empire Romaine avec les rois Visigoth, Burgonde et autres immigrés germaniques cultivés et christianisés, introduits naguère par les Romains et assermentés pour la protection du Premier Empire millénaire, selon les historiens nazis. (Le Premier Empire millénaire est né de la Haute trahison du Général Jules César, traversant avec son armée coloniale de barbares le fleuve Rubicon, renverse le Sénat de la république et instaure une théocratie avec des Empereurs sacrés par la magie païenne, ensuite christianisée). Tolérant, l’imprévoyant, ce malheureux Dietrich von Bern, en Roi de Rome, de la poursuite des massacres en Italie protège les funestes intrigants du Vatican et leur Pape considéré à l’époque hérétique. La toujours présente magie noire du catholicisme, supermarché du Néant : les félicités du Paradis juste derrière les nuages moyennant finances, la vie éternelle pour les fidèles « pauvres d’esprit » ; des tortures aux purgatoires terrestres poursuivies des supplices éternelles dans l’Enfer, juste sous la croûte terrestre, pour les contestataires rationnellement éclairés par les sciences.
À l’instigation ensorcelante, le droit savant des romains, le régime naissant de la monarchie constitutionnelle et de l’État de droit en Gaulle est rasé par les barbares Francs et Allemands alliés d’outre-Rhin pour établir un régime despotique conforme aux dogmes de Saint Augustin sur le règne absolu de la providence divine : « La morale d’esclaves », la qualifie le grand philosophe Friedrich Nietzsche… Le rétablissement est sans ambages préconisé par Charles Maurras et sa clique des philosophes à gomme de l’Académie française à l’Action française, au généralissime Francisco Franco… à l’État-major de l’Armée française, aux généraux putschistes d’Amérique latine par la voix, entre autres, de l’Évêque français Marcel Lefèbvre.
Par ces faits historiques occultés aux communs des mortels, aux sous-hommes ou hommes-masses, le professeur bavarois en droit Adam Weisshaupt, chanoine Jésuite d’une érudition très supérieure, a conclu aussi pour Hitler et les Nazis qui ont retenus les sentences par cœur son Nouveau Testament de Satan, traité rationnel de science politique, en faisant le fondement de de la politique secrète leurs dictatures : « Apprenez donc que tous les (régimes) ont les mêmes fictions pour origine ; elles sont également toutes fondées sur le mensonge, l’erreur, la chimère, l’imposture. […] Souvenez-vous que la fin sanctifie les moyens ; que le sage doit prendre pour le bien tous les moyens du méchant pour le mal. » Mœurs de notre époque du culte des miracles du sacré de l’intégrisme catholique et autres sectes des mêmes élucubrations fantasmagoriques, amalgamées à la magie noire du nazisme.
Cette sentence jésuitique percutante du fonctionnement réel de la politique dans le Monde, du savantissime professeur en droit Adam Weisshaupt devrait être inculquée par cœur aux filles et garçons collégiens dès 10 ans, au lieu des pieuses fables d’Adam et Ève, de l’Arche de Noé, d’Abraham, d’Abel et Caïn… Adultes, ils raisonneront moins comme des pantoufles avec leurs bulletins de vote de merde, ne se laisseront pas si facilement mettre les idées de travers par le Jurassique Park culturel de la « Moral des esclaves ». L’esprit critique raffiné pourrait les préserver d’insidieux formatages mentaux par des slogans primitifs des cohortes de démagogues resquilleurs soudoyés pour mener en instruments crédules et confiants le brave peuple imbécile gobe-tout méprisé par Saint-Augustin à Nietzsche, à Voltaire, à Hitler jusqu’à Sarkozy sur leur cheminement vers l’abattoir de l’Histoire avec des crédos hallucinantes et philosophies d’Immorale masquées par l’éducation nationale. Appris par cœur comme une prière la sentence réaliste du chanoine jésuite Adam Weisshaupt, professeur en droit, mettra le « peuple imbécile » en mesure de comprendre le fonctionnement réel de la Justice, les boniments et simagrées des boutiquiers, des gourous et politiques, bref ces baladins de comédie vendus : des démagogues resquilleurs qui, pour tromper le public passent leur sainte journée à l’exercice des mises en scènes cérémonieuses des slogans chimériques comme des saltimbanques fardés des vaudevilles de boulevard.
Tous les services de renseignements des armées en guerre contre une puissance étrangère utilisent nécessairement l’odieuse torture rationnelle par des spécialistes formées. En Chine impérial, le tortionnaire admiré en grand artiste, fut un honorable fonctionnaire de haut rang. Chez les Romains, les Francs et autres peuples du Moyen Âge, une réjouissance publique où les notables privilégiés, se réservaient les premières places comme à l’Église, plus proche de la réjouissante scène bandante des écorchements ou de la trituration pour être mis avec des os brisés en accordéon sur roue des dissidents érudits ou opposants politiques éclairés. En Occident, la seule science méticuleusement étudiée et pratiquée par les moines dominicains de l’inquisition, fut toutes les variantes torture pour prolonger les souffrances atroces sans faire mourir les suppliciés, ensuite destinés à la purification par le feu au bûcher. Quant à Auschwitz, « un musicologue » enregistrait, étudiait méthodiquement les cris et hurlements des suppliciés…enfants, bébés, dans toutes les tessitures et octaves pour dévoiler les mystères de leur impact sur émotionnel pour l’usage de manipulation mentale ; expériences que ce « musicologue » aurait poursuivies sur les suppliciés au Chili sous Pinochet…, prétend-on sans fournir les preuves exploitables en justice. Des savants nazis détraqués subodoraient la force d’attraction énorme de la sonorité des voix dans la guerre psychologique, cherchaient de produire par la torture des tout petits garçons des talents extraordinaires pour les « éduquer » en sortes de combattants secrets des actions inconnues.
Des expériences centenaires des suppliciés méticuleusement transcrits sur les martyrisés pour le bien de la postériorité, les saints hommes imbus des aberrations mystiques, ont établi le fameux traité de tortures valant une fortune ; aux savants et aux sadiques affriolés quasiment impossibles aujourd’hui de consulter. La torture en Occident est un saint art ecclésiastique de charité chrétienne, salvatrice des âmes souillées par le péché. La croix, est un instrument de tortures sur lequel ont expiré des milliers et de milliers des « révolutionnaires de l’Empire romain, aspirant à la liberté et la Justice, notamment les esclaves révoltés sous la conduite des gladiateurs esclaves des arènes de Spartacus ~ 71 qui défie une après une les légions romaines. En Allemagne un lige « Spartacus » devient le parti communiste. Hitler aux militants accordait la priorité sur les juifs pour jouir des tortures raffinées dans internement dans les camps d’extermination. Des techniques psychologiques et physiques, dont les Nazis se sont inspirés en les modernisant, sont passées aux vainqueurs qui les modernisent à leur tour. Même le plus célèbre du romancier des épopées militaires françaises en Indochine Jean Larteguy, souvent cité comme apologue des méthodes de répression musclées dans les guerres coloniales et des dictateurs en Amérique latine, ne se réfère qu’à la pratique anoblissant de « l’indulgence plénière » de l’Église depuis Clovis I. Quant au Centre des droits de l’Homme de l’O.N.U., où affluent les plaintes détaillant le raffinement des modes de tortures du monde entier, nous l’avons vu dans l’affaire Félix Juby cité, cette insoupçonnable institution joue le rôle d’un véritable centre culturel de perfectionnement tortionnaire qu’elle couvre en écrasant les plaignants.
L’autorité spirituelle de Saint Pierre, considérée usurpatrice par le christianisme de l’époque, en premier pape à Rome n’a pas été reconnue par les vrais chrétiens de l’Orient : les prêtres syriaques, moins chaldéens, dignitaires coptes… Ainsi la papauté de Rome décrétait que les chrétiens primitifs qui ne se soumettaient pas ce diktat des papes de Rome, pensaient autrement, commettaient un péché motel : des hérétiques. Avec le pape Grégoire IX (1145-2141), créateur de l’Inquisition, ne tolérait plus la moindre atteinte à son autorité et établit le credo de l’Église : « L’hérésie est l’œuvre du Diable. Et pour terrasser Satan, il faut employer ses propres moyens. N’hésitez jamais. Mieux vaut faire périr dix innocents que d’épargner un hérétique… » Lorsque Staline a fait de ce credo le sien contre les traîtres après l’invasion des Allemands en 1940, tous les humanitaires du monde se sont insurgés contre ce barbarisme criminel que l’Église a remis en application en superlatif par les nazis d’Adolf Hitler, assistés par le Pape Pie XII et son doctrinaire, le cardinal Aloïs Hudal.
L’argument de force passé aux militaires par Larteguy est la sentence justificative de l’évêque allemand du XIVe siècle, de Dietrich von Nieheim de l’extermination bestiale des protestants révoltés contre des impies, aberrations catholiques, de l’extermination bestiale des protestants contre des impies aberrations catholiques, une luxure vaudouesque sous des chamarrures jupitériennes incompatibles avec l’austérité du prêcheur Juif de l’Amour universelle Jésus Christ en haillons et pieds nus « Si quelqu’un te frappe sur la joue droite, présente lui aussi le droit », exige Jésus Christ de ses disciples dans le Nouveau Testament :
« LORSQUE SON EXISTENCE EST MENACÉE, L’ÉGLISE EST DISPENSÉE DES COMMANDEMENTS DE LA MORALE. L’UNITÉ COMME BUT SANCTIFIE TOUS LES MOYENS, L’ASTUCE (chantages, escroqueries, manipulations trompeuses de l’opinion, excitation des haines meurtrières), LA TRAÎTRISE (complots, hérésies), LA VIOLENCE (viols sadiques ou zoo-satyriques ‘zoophilie’ des …petites filles et garçons, tortures morales et physiques), LA SIMONIE (tous les moyens des sorcelleries vénales), L’EMPRISONNEMENT (séquestrations, camp de concentration) ET LA MORT meurtres de masse jusqu’aux génocides, cannibalisme, nécrophagie. CAR, TOUT ORDRE EXIGE POUR LES FINS DE LA COMMUNAUTÉ QUE L’INDIVIDU DOIT ÊTRE SACRIFIÉ AU BIEN GÉNÉRAL ».
En a bien pris note de ce credo, enseigné froidement à nos jours dans les Écoles militaires en France , « le grand magicien noir » sic, Adolf Hitler, initié dès ses seize ans par des mystagogues déjantés et de leur morbide fantasmagorie de la littérature ésotérique sur les « hommes-dieux » venant de la lointaine planète du « Soleil Noir ». Ces (inexistants) Aryens blonds aux yeux bleus, (païens inconversibles, massacrés par les Chevaliers Teutoniques au Moyen Âge en Prusse), sont avancés en « surhommes nietzschéens extraterrestres » sic par les délires structurés des gourous nazis. Les Francs, (par les Nazis passés en aryens avec Teutons de la Germanie), ont été sanctifiés par l’Église ; les chefs en maîtres aristocrates du monde avec le baptême et sacrée du païen Clovis I, barbares adorateurs du dieu de la guerre Wotan, garants de son hégémonie spirituelle avec « l’indulgence plénière ». Les principales têtes couronnées de l’Europe sont des cousins francs, avec des représentants assermentés à la souveraine catholique, introduits dans la majorité des institutions internationales avec leurs alliés Nazi, notamment dans les institutions européennes.
La Premier Guerre mondiale à peine terminée, ne présentait pas les moindres secrets aux inquisiteurs de la Congrégation du Saint-Office du Vatican, les visées hallucinantes de la revanche de la secte nazie Thulé autour d’Hitler et de Hess, du roi déchu d’Angleterre Édouard VIII et de l’Action française (Maurras…) : l’organisation de la conflagration apocalyptique de la guerre totale. En phénoménale paranoïaque électrisant la foule, Hitler soutenu massivement par la grande finance internationale, l’Église en danger de la montée du socialisme et matérialisme voyait arriver leur nouvelle heure avec l’homme idoine du gabarit de Clovis I.
– Preuve, l’Église disposait alors de tous pouvoirs spirituels et d’énormes moyens d’action médiatiques sur l’opinion dans l’Occident pour mettre un arrêt net à l’évolution fatale. La majorité du bas peuple allemande croyant et pratiquant, à l’époque totalement acquis au christianisme n’aurait jamais accepté dans les rangs de son monde politique des individus rétrogrades d’une secte ésotérique de la folie galopante vénérant Wotan pour organiser par la conflagration apocalyptique de la guerre totale conduite par un magicien noir la prophétie de l’extermination des sous-hommes d’origine terrestres, le repeuplement par des surhommes d’origine extraterrestres.
À l’époque, les Juifs vivaient en parfaite harmonie avec le peuple allemand, combattaient dans les Rangs de l’Armée durant la Première Guerre mondiale. Répétons-le, la prophétie ésotérique de la secte Thulé annonce trois guerres mondiales. Le magicien noir Hitler, (et son adepte le Duc Édouard de Windsor), rêvait d’en finir par la Deuxième Guerre Mondiale, bourré de strychnine, peyotl et autres drogues hallucinogènes fournis par Dallai Lama avec une garde de corps. L’anathématisation de cette hérésie dans les prêches dominicaux des pères d’Église, Hitler et ses compagnons auraient fini en asile psychiatrique et non au parlement et au gouvernement. Mais aussi les politiques roublards comme Charles de Gaulle et les managers de la presse connaissaient ces mystères funestes de Nazis, occultés à l’opinion public comme aujourd’hui. Alors que j’encours de la part de la Sarkomafia des mesures de rétorsion les uns après les autres, des pères d’Église en France présentent l’extrême-droit du néonazisme des avocats père et fille Le Pen, de son maître félon l’avocat Gilbert Collard, en parti politique salvatrice de la France en péril de l’Islam et du complot sioniste. Pour accréditer ces montages contrefaites du complot sioniste, je fus exproprié de mon blog piraté et manipulé « Dietrich13. Kazeo.com », consultés par plus de soixante milles internautes du monde entier.
– Preuve, par la filière des monastères, l’Église a fait exfiltrer vers l’Amérique Martin Bormann, l’exécuteur testamentaire et le second d’Hitler avec ses acolytes nazis les plus dangereux pour réaliser la prophétique nazie de la Troisième Guerre mondiale. Cette prophétie est parfaitement connue de la Congrégation du Saint-Office du Vatican, des adeptes de l’intégrisme des Messeigneurs Lefèbvre et ses très saints acolytes de la franc-maçonnerie secrète du Vatican, disposant du plus formidable réseau de renseignements et d’analyse spirituel dans le Monde. C’est qu’avec une officialisation de ces ineptes hérésies nazies, il faudrait à tous les académiciens, à tous les historiens, à tous les juges avec leurs rubans de la Légion d’honneur dans les boutonnières, de revoir leurs copies sur les responsabilités fondamentales des instigateurs impénitent, à la recherche d’un nouveau paranoïaque phénoménal pour nous remettre ça par « l’électrisation de la foule » gobe-tout, abrutie, infantilisée par les manipulations perfides des mass media des multimilliardaires intéressés de voir monter les dividendes des bénéfices de l’industrie d’armement, comme dans les années 1920.
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Selon la terminologie mystique de la Congrégation du Saint-Office du Vatican, l’évêque Dietrich von Nieheim prêche purement et simplement le « satanisme » mise en application jadis avec le sacré de Clovis I, du plus important crime contre l’humanité de l’Histoire : « le sale rêve » (Nietzsche) à réaliser des adeptes de l’intégrisme des Messeigneurs Lefèbvre et ses très saints acolytes de la franc-maçonnerie secrète du Vatican. (Hitler, le magicien noir en a pris note). Car, la foi aveugle des croyants abrutis des idées reçues des superstitions irrationnelles, des élucubrations des intransigeants mystiques fanatiques, est menacée avec constance par la Raison rationnelle des lucides penseurs analystes. La Raison critique, source d’efforts intellectuels soutenus, est la caractéristique de l’Évolution de l’humanité, (espérons-le pour la postérité). Dans les esprits des naïfs incultes, leurs ouailles à tondre, à la terminologie des sciences exactes, les mystiques forcenées d’imaginaire vaporeuse ajoutent le préfixe « méta ou para » pour donner la fausse brillance de la Vérité rationnelle à leurs hallucinations des rêves morbides : « métaphysique » (paraphrénie ‘fabuler’), « parapsychologie », « paranormale » (paranoïa ‘penser de travers’) … Puis ces délires structurés sont accrédités par tes thèses de doctorat hallucinantes selon la tradition à l’université Sorbonne à Paris en même temps que la thèse rationnelle de doctorat d’un savant contestataire Dietrich, de moi, est bloquée d’une façon dégradante par manque d’un directeur dans le professorat des tarés vénaux de l’Académie française, de la Légion d’honneur, de l’Ordre national de Mérite…
Le chanoine Jésuite Adam Weisshaupt, professeur en droit, n’a absolument rien inventé dans son Nouveau Testament de Satan à l’usage des Illuminatis pervers, vus aussi à l’œuvre de sabotage de la Justice nationale et internationale en concert avec les membres du gouvernement « gangster » et la haute magistrature au restaurant Le Piccadilly à Aubervilliers. C’est l’analyse méthodique de la pratique millénaire de l’Église. La pratique infernale suivie à la lettre par les Nazis se poursuit actuellement en produisant périodiquement des ravages criminels par infiltration par le régime « gangster » prétendument laïque, des fanatiques froids de l’intégrisme catho en enseignants pseudoscientifiques dans les écoles militaires de la France.
Combien de millions de concitoyens « révolutionnaires », protestant contre « l’impie idolâtrie des faux dieux des icônes et du Veau d’Or », et contre la Morale des esclaves, sans différence de sexe ou de l’âge, ont été bestialement torturés et massacrés par des saintes injonctions aux « contre-révolutionnaires » catholiques ?
Combien des élites intellectuelles ont succombé à ces homélies assassines des intégristes au prosélytisme paranoïaque (penser de travers), si chères aux à l’Évêque de Tulle, supérieur général de la Congrégation du Saint-Esprit Marcel Lefèbvre et de ses adeptes du délire mystique ? Hélas, ces délires épidémiques s’attrapent instantanément, sans effort, telle la grippe pandémique.
Combien des « contre-révolutionnaires », contaminés par ce bouillon de la peste culturelle de l’absolutisme spirituel se sont acharnés sur leurs victimes aspirant aux droits naturels de la liberté et de l’autodétermination démocratique, victimes de l’influence morbide de la systématisation des délires paranoïdes des philosophies contrefaites de l’Académie française, instigateurs historiques de la haute trahison de l’humanité par des crimes contre l’humanité « du sang impur contre les enfants de la Patrie » ? Allez savoir avec les trucages judiciaires galopants et falsifications historiques systématisées !
Ce credo assassin de l’appareil doctrinal de l’Inquisition des cathos intégristes du complot historique et permanent contre l’humanité, soutenu en Algérie (encore française) par la Cité catholique, transite en Amérique latine toujours par la même conjuration historique de la déraison mystique du spirituel contre la raison rationnellement scientifique, du complot de l’extrême droite internationale, de l’Ordre Nouveau et autres bidules apparentées, par la magie noire du sacré conte les enfants de la Patrie, « en lutte contre la pourriture démocratique, pour l’épuration de la race française des éléments qui la souillent, les Nègres, les Juifs et les Mongols… l’appel à la guerre sainte contre l’Islam » des « Ratons », et contre « des enfants de la Partie « timides et indécis » », contre le contribuable et électeur sceptiques et mécréants en somme, pour égorger leurs fils et leurs compagnes. (« Marseillaise », déclaré chant national en France le 14 juillet 1795).
Sous la direction d’un ancien spécialiste de la jeunesse communiste rallié à l’intégrisme catholique, aux gradés de l’armée, comme jadis aux moins dominicaines, une doctrine improvisée pour la circonstance, des raisonnements trompeurs d’une formation psychologique désinformatrice a donné l’impression d’être tenu « de se salir les mains jusqu’aux coudes » (Sartre) pour la noble cause de la patrie ou en service commandé de Dieu de combattre Satan. Le lavage du cerveau insidieux, en douceur ne date pas d’aujourd’hui. Nuance avec les généraux putschistes partisanes, connaissant la musique sacrée, ayant fait assassiner même en France leurs homologues étoilés qui se sont opposés faire la guerre aux cadres et élites intellectuels de leur propre peuple. Comme les soldats sélectionnés dans la population par des armées régulières ont été considérés inefficaces par les tacticiens, sous l’influence des expériences des officiers français des services secrets en Indochine et en Algérie, les tortures en Amérique latine ont été principalement pratiquées par des ramassis paramilitaires des tarés abrutis, petits gangsters, drogués, des ratés d’existence, des dégénérés pervers. Ces bandes indisciplinées des psychopathes, des excités primaires ou brigands pillards mis en uniformes sont lâchés comme des chiens enragés contre les forces vives s’opposant à la dictature d’une bande d’illuminés corrompus, cupides en uniforme, des vendus à des puissances économiques étrangères.
En Allemagne de la république de Weimar d’après la Première Guerre mondiale, les paramilitaires des dégénérés, c’étaient les chemises brunes des Sturmabteilungen S.A., Sections d’assaut, liquidé dans la Nuit des Longues Couteaux par les paramilitaires des chemises noires Strurmstaffeln S.S., terme qui devrait se traduire en escadrilles d’assaut. Le héros adulé des nazis par le Horst Wessel Lied a été un proxénète S.A. nazi, abattu sur le trottoir disputé par un proxénète rouge. Le S.A. en uniforme brune Horst Wessel n’aurait guère survécu à la Nuit des Longs Couteaux dans laquelle furent massacrés tous les petits truands des bas-fonds délinquants dont les nazis se sont servis pour pousser Hitler au pouvoir.
Le grand chef d’orchestre autrichien Herbert von Karajan, propagandiste viscéral des Nazis dès 1933, ne se serait pas éclaboussé dans l’Histoire en divinisant dans l’opinion publique un vulgaire proxénète des bas-fonds. Herbert von Karajan fit chanter le Horst Wessel Lied avant chaque ouverture d’un concert ou d’un opéra pour projeter le charme du beau et du sublime sur les pires abjections nazis bien connus alors. L’arme psychologique dont von Karajan a été un instrument conscient, prépare l’opinion crédule à la guerre, l’entretien pendant la guerre. Herbert von Karajan, en instigateur associé dans le massacre d’Oradour-sur-Glane, a été juridiquement bien plus coupable que ces jeunes gens ainsi endoctrinés, poursuivis en vieillard actuellement en Allemagne.
En France, un redoutable manipulateur de l’opinion a été le célèbre et talentueux écrivain Robert Brasillach de l’Académie Goncourt, militant dans l’Action française, partisan de la victoire des Nazis fortement influencé par la musique du plus célèbre chef d’orchestre Herbert von Karajan et de la diva soprano top niveau internationale, la cantatrice d’opéra Élisabeth Schwarzkopf, maîtresse du docteur en assassinats de masse Joseph Goebbels, Ministre d’Éducation du Peuple et de la Propagande de Hitler ; couple d’artistes infernales cités qui continuaient une brillante carrière sur les scènes musicales internationales comme si de rien n’était passé. Mais l’écrivain Robert Brasillach, militant dans l’Action française, lui fut fusillé en France en 1945 après avoir été condamné à mort par la cour d’assise, au lieu et à la place de la Haute Cour de justice ou du tribunal militaire spéciale de 1944/45, Pure justice-spectacle comme Papon à Bordeaux, et Barbie à Lyon, Touvier à Versailles : La compétence des juridictions du droit commun a été absolument exclue par le Tribunal militaire spéciale composé en partie par des anciens résistants et des membres des Forces françaises libres. Avec le célèbre chef d’orchestre Herbert von Karajan, encore un autre vrai criminel contre l’humanité échappe dans le confort opulent a la Justice par la mascarade trentenaire à Bordeaux des poursuites du faux complice des crimes contre l’humanité Maurice Papon.
Les armes de la guerre psychologiques engendrent dans l’opinion du bas peuple des idées reçues à l’aide des manipulations des effets spéciaux des médias et du matraquage propagandiste. Les idées reçus suscitent des préjugés morbides qui aboutissent à des régimes des dégénérés tels que Adolf Hitler jusqu’à Nicolas Sarkozy, tous des déjections de la direction de l’opinion par les artifices des médias par la récupération des plus grands vedettes du showbiz.
En France, cette organisation paramilitaire des gangsters portait le non-SERVICE D’ACTION CIVIQUE (S.A.C.), dont le Chef d’État (Opus Deï) Valérie Giscard d’Estaing « du sang impur», comptait de faire doter des mitraillettes, pour contrer par des rassemblements dans les stades l’opposition, l’élection « par les enfants de la Patrie » de Français Mitterrand à la Présidence de la République en 1981. L’affrontement armé achevé par la capitulation militaire de l’ennemie fasciste et nazie de la France en 1944, en vainqueur sur le plan économique par les crimes de recel et escroqueries judiciaire dans la paralysie des poursuites, l’ennemie fasciste et nazi continuait tout bonnement la guerre en se servant de l’armée française fourvoyée par la manipulation. De sa haute trahison flagrante, l’accompagnement des charmes musicaux est assuré par leur comploteur associé, le chef d’État Valérie en personne, garant constitutionnel de l’indépendance de la Justice, avec son accordéon aux bavardages au coin du feu des séries télévisés. Même dans le bastringue du showbiz de la manipulation de l’opinion, on n’est parfois mieux servis que par soi-même. Bof ! La sublime, ravissante mezzo-soprano Elïna Garanča s’est portée virtuellement à mon secours avec la force incantatoire irrésistible de sa magnifique voix exquise . La qualification pénale Haute trahison est devenue réelle dans toutes ses composantes légales dès le commencement de la guerre d’Indochine et du fameux Complot du plan bleu. Et c’est contre cette haute trahison, j’ai été téléguidé par les impuissants de la Grande Muette pour suppléer à la connivence des illuminés ou vendus partisans de la magistrature complice de toujours.
Des officiers de la Légion Étrangère, tenant farouchement à la devise de la Légion « HONNEUR ET FIDÉLITÉ. VALEUR ET DISCIPLINE », m’enseignèrent qu’il ne s’agit là plus d’un comportement respectable des soldats, mais des brigandages déprédateurs hors-la-loi, le déshonneur de l’Armée. (L’officier supérieur en question fut séquestré par les Putschistes en Algérie, faillit de se faire assassiner par l’OAS). En France, c’est La Grande Muette, qui a déjoué le putsch de ses cadres d’Algérie fourvoyés des doctrinaires, de ceux de la classe qui ont trahis l’armée française dans les années trente à Hitler par l’inspiration des doctrinaires tels que Maurras et Brasillach, des credos intégristes tels du saint Monseigneur français Lefebvre. Leur progéniture « du sang impur » risque de remettre ça « contre les enfants de la Patrie » si les circonstances s’y prêteront avec leurs affidés et familiers dans la haute magistrature, formant une association de malfaiteur permanente, complotant contre la sûreté de la France par « un attentat à son régime constitutionnel de la démocratie égalitaire ». Démocratie égalitaire bafouée des « hommes-dieux » les privilèges bénis par des tours de passe-passe jupitériens du sacré; démocratie de ce fait considérée comme un sacrilège impardonnable contre la providence divine, le royaume des « Rois Soleil » réduite en chaos par l’anarchie du légalisme « l’haineuse » des déclarations de droits de l’homme. Ce passée, il n’est même pas encore passé !
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Paramilitaire endurcie de l’ancien Waffen S/S, le faux docteur imposteur Paul Schaffner, notoire pédéraste sadique les déviations sadomasochistes sur des petits garçons ont été parfaitement connu des autorités allemandes. Ces autorités publiques, lui facilitent déjà doucettement de former une secte des demeurés paumés avec sa « paranoïa » (penser de travers) charismatique envoûtante, réduire les parents à une esclavage de subjugation spirituelle, les rendant juridiquement irresponsables. Les enfants sont livrés non seulement aux plaisirs sadomasochistes des gourous et de leurs séides, mais comme laissent logiquement présumer les différentes poursuites judiciaires publiés, aussi aux menus plaisirs à des hautes personnalités influents et résidents en Allemagne. Au lieu de soustraire ces enfants en danger à des parents rendus totalement irresponsables par la subjugation spirituelle d’un paranoïaque, pour faire bénéficier à ces enfants suppliciés d’un régime légal de protection des mineurs en danger, les autorités allemands laissent partir en Amérique latine ce danger public de gourou proxénète avec tout son bordel de jeunes garçons, constamment violés au vu et au su des autorités policières impuissantes.
Dès son arrivé providentiel avec son bordel des mineurs au Chili, fut remarqué par les autorités policières, avec sa mise en scène de faux docteur, les abus du charisme paranoïaque « penser de travers » du pédéraste sadomasochiste, sur sa colonie des demeurés réduits à l’esclave. L’étouffement des poursuites démontre déjà la réussite de l’influence pernicieuse du gourou proxénète sur les personnalités hautes placées du régime.
Parti de rien, cette petite colonie sectaire et de prostitution a été récupérée par des fonds venant de l’étranger pour organiser une base opérationnelle sous la direction du faux docteur Schaffner, flémard paresseux caractérisé, manquait la culture général et technique. Les vrais technicien compétents du crime organisé néo-nazi n’affluèrent qu’ensuite dans sa colonie dotée d’un système de télécommunication internationale ultramoderne, d’un terrain d’aviation secrètes… toléré.
Ça saute aux yeux aux observateurs et analystes impartiaux, la Colonie Dignidad au Chili n’a été que le pic apparentant de l’immense iceberg immergé des réseaux des profiteurs criminels dont les magots se sont transformés en actions d’un « formidable réseau de sociétés anonymes pour échapper à un démantèlement programmé ». La Colonie Dignidad disposait partout dans le monde des comptes secrets des capitaux sales et auxquels emmargeait en grand le bravissimo général Augusto Pinochet. Aujourd’hui, les complices et « receleurs » vivent dans le luxe tapageur sans que la justice touche à leurs « colossales fortunes » accumulé dans le cadre d’un complot contre l’humanité pour indemniser les victimes et leur ayants-droits… « Nul n’est censé d’ignorer la loi, pas vrai ?
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« Ajout pour l’O.N.U. du 30/09/2014 sur les pages 1 et 4 des blogs. Interné après le coup d’état au Chili du 11 septembre 1973, des fonds réunis par des sympathisants pour le secours du Président Salvador Allende sont confié à Jean-Edern Hallier, crypto-nazie alors, copinant avec les avocats du régime Pinochet. Ne sont jamais parvenus aux victimes massacrées des carnages et tortures, les fonds confiés au futur créateur de l’alliance » rouge-brune » avec son conseiller juridique, le » juge rouge » Jacques Bidalou.
« Le régime français, les larbins de la haute finance internationale, avec dans son sein des criminels fascistes et nazis contre l’humanité placée sous l’égide judiciaire, détache trois généraux pour conseiller le régime Pinochet pour l’éradication physique de l’opposition. Des spécialistes en tortures du Service d’action civique (S.A.C.) et des néo-nazis et fascistes de l’ » Occident » et » Ordre nouveau », organisent au Chili des stages pour initier les militaires et policiers aux tortures sophistiquées, notamment par l’usage de l’électricité.
« Des médecins, chirurgiens et psys pervers sadiques, un ramassis d’hallucinés de la fantasmagorie aryenne et tibétaines venus de la France et de l’Allemagne, dans un hôpital aménagé à cet effet, procèdent aux recherches de perfectionnement des tortures médicalisées comme cela a été pratiquée en Allemagne sous Hitler dans les camps de concentration nazies.
« Pour les soustraire aux poursuites judiciaires au Chili après la levée de l’immunité, le « gouvernement gangster » de la France accorde asile politique aux pires des massacreurs et tortionnaires du Chili. À la demande du juge d’instruction espagnol Balthazar Garzon de Madrid, Pinochet est arrêté en Angleterre en novembre 1998 où le fringuant général comptait se faire opérer d’une hernie discale. Par des certificats psychiatriques de complaisance, le guilleret général Pinochet à la descente de l’avion, accueilli par l’ancien premier ministre Margaret Thatcher, est jugé sénile, inaccessible à une sanction pénale pour génocide, terrorisme et tortures, renvoyé au Chili.
« Mais qui donc en France tenait encore compte des contestations publiques du juriste Peter Dietrich, paria réduit au silence à l’aide des même procédés des fripouilles psy, relayés par une conspiration médiatique du silence, laudateurs corrompus mettant au pavois le minables des vendus. Tout est lié dans ce complot des déments pervers et détraqués sadique contre l’espèce humaine saine. Tous les chemins passent par Paris vers… »
Et à Paris existait ce fameux juriste pénaliste, moi Dietrich le cauchemar international réduit en paria, disposant la science et l’argumentaire pour conforter le rapport officieux: « la justice française indiquant que le vieux général était encore relativement frais »pour passer en jugement et de livrer ses complices françaises. J’ai déjà contesté ces espiègleries psychiatriques du Rotary-club à l’O.N.U. bien avant 1990. À Londres devant les médias, Pinochet, mettant en scène l’apitoyable grabataire, part sur une chaise roulante. «Puis, comme un enfant qui a réussi sa farce, à peine débarqué, devant la télévisons du monde entier, se lève triomphalement. Sur le rythme de sa marche militaire préféré, souriants tous ses dents, il va embarrasser et saluer les siens, notamment le général Ricardo Iluzieta… ».
« Nul n’est censé d’ignorer la loi en France », pas vrai? Et voilà la procédure Pinochet est rentrée à pic dans l’argumentaire favori de moi, le Juriste Dietrich écrasé : escroquerie judiciaire complexe en bande organisée par la mise en scène des faux médicaux légaux. Selon le droit français, appliqué au petites gens par la jurisprudence, il n’est pas nécessaire de raisonner plus loin par déduction logique de la combinaison des artifices frauduleux successifs : par « la mise en scène des manœuvres frauduleuses et d’intervention des tiers», des procédures contre le général Augusto Pinochet, en Angleterre, au Chili, en Espagne, en France…, sont viciées par ces fraudes. « La fraude vicie tout » est un principe de droit universel. Les procédures sont nulles d’ordre publique, les fraudeurs, juges, procureurs, médecins, psy sont indéfiniment et solidairement responsables, voir même coupables de recel de malfaiteurs en France. En présence des hauts fonctionnaires françaises du ministre des Affaires étrangers, les Comités du Centre des Droits de l’Homme de l’O.N.U. à Genève a été si convaincu par mon argumentaire indiscutable qu’elles suppriment mes actes de procédures, couvrent les assassinats de mon entourage, les tentatives de moi-même, laissent accéder au Pouvoir des criminels patents. Conclusion : acquiescement judiciaire international sans réserve. Il y a interruption des délais de prescription. Selon le principe international de l’équité judiciaire, les artifices des contestations tardives par les complices ne sont plus admissibles.
Le connaissaient dans les moindres détails académiques incontestés et l’ont malicieusement occulté aux victimes de Pinochet et aux juges d’instruction, l’avocat félon William Bourdon avec tous ses petits et grands abrutis du cercle de la subversion perverse du restaurant Le Piccadilly à Aubervilliers, leurs besogneux du journalisme d’occultation. Ces suppôts écornifleurs du gouvernement complice, toujours disponible pour un coup tordu, me suivaient comme mon ombre ; me guettent, injurient, tentent de me livrer à la psychiatrie par la provocation d’une bagarre sur la voie publique. Attende toujours la concrétisation spéciale sur le terrain de la loi scélérate du 1er août 2014 votée à point des démagogues resquilleurs dérangés au parlement, rien que pour faire disparaître sans tambour ni trompettes ce juriste dérangeur, moi, Dietrich, conformément aux directives du Chef d’État usurpateur Nicolas Sarkozy.
Comme son successeur, l’avocat félon Gilbert Collard, député à l’Assemblée nationale de l’extrême droit, l’avocat félon William Bourdon, avec mes dossiers sur les assassinats psychiatriques combinatoires, dossiers soustraits et sabotés dans l’Association de Défense des Victimes des notaires près de Bourges, disposait de tout d’un arsenal argumentaire d’anéantissement par une intervention devant l’O.N.U. Ces maîtres fripons de l’avocasserie française connaissant l’argumentaire de la saisine de l’O.N.U. en 1983 déjà avec l’affaire Félix Juby, puis par mes soins et par mon prête-nom de Bourges Éric Laborde-Hondet; ces maîtres fripons ont été en mesure d’anéantir par le ridicule frappant l’exonération psychiatrique de complaisance du général Augusto Pinochet.


L’avocat félon William Bourdon, avec sa jugette d’instruction Eva Joly, députée européenne, a préféré de m’anéantir moi avec mes actes de procédures. Car, les dictateurs de l’Amérique latine sont des produits primitifs de la philosophie politique de l’intégrisme catho de l’Académie française. Leurs assassins de masse et leurs tortionnaires sont des disciples des spécialistes françaises endoctrinés, placés avec les criminels fugitifs de Chili, sous la protection des forfaitures de la magistrature françaises, complices des gangster du gouvernement illégitime, protégés par les Comités du Centre des droits de l’Homme de l’O.N.U. à Genève.
Voilà le cercle vicieux fermé ! Et tous ces escroqueries judiciaires ont été combinées avec des professeurs de l’Académie françaises de l’Université Panthéon-Sorbonne de Paris qui, d’abord me barraient la voie au doctorat du droit et ensuite m’ont barrée l’accès à la profession d’avocat par un minable faussaire récompensé de la distinction de Chevalier de l’Ordre national du Mérite, placée au-dessus de ma Médaille militaire.
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Son fourbe acolyte au restaurant le Piccadilly, l’avocat félon William Bourdon, m’élimine d’abord à Paris. Redoutable déjà pour l’avocasserie humiliée, j’ai été le seul conseiller fiable des associations contre le sabotage de la procédure pénale de Paris, par le dossier traité gratuitement à la demande des restaurateurs M. et Mme Peynet accusant leur Conseil Juridique inscrit Maître Lelievre d’abus de confiance et d’escroquerie. Sans m’informer de l’élection du domicile du « juge rouge » Bidalou dans son restaurant pour y attirer toutes les associations de défense de la France, ce sournois sollicitait au bord du suicide mon secours bénévole, en craignant avec mon apparition de perdre la clientèle attiré par les charmes juge rouge Bidalou et de ses journaleux. Le restaurateur Peynet, a été informé de mes performances par les époux André et Gisèle Néron de l’association de défense des victimes des notaires et non par le juge rouge. Sans m’y mettre en avant, du couple Peynet, j’ai étudié l’affaire et rédigé en silence pour leur avocat William Bourdon la citation directe de secours devant le tribunal correctionnel de Paris. Je n’attendais plus parler des restaurateurs jusqu’à la leur mise en faillite quelques années plus tard pour d’autres raisons, du murage sous la protection des Compagnies de Sécurité Républicaine de leur restaurant, repaire du juge rouge Bidalou et de ses abrutis des « rebelles du comptoir », me harcelant des menaces et insultes, jour et nuit, autour de mon nouveau domicile à « La Courneuve ». (Moins intense, plus discret, cela n’a pas cessé encore).
Ensuite, lorsque j’ai travaillé les affaires des victimes des notaires fricoteurs, souvent du Rotary fricoteur, à la demande des époux Néron poussés au bord du gouffre, victime d’un notaire du Rotary fricoteur, l’avocat félon William Bourdon a laissé tomber ses clients en détresse judiciaire. L’escroc saboteur s’est tirée de l’association des victimes des notaires avec les dossiers des clients les plus fortunés, dossiers des grandes affaires qui m’ont été nécessaire pour preuve du complot national du notariat. Tous les chemins conduisent à l’ex-restaurant Piccadilly d’Aubervilliers à peine trois cents mètres éloigné de mon misérable domicile où je fus livré en paria à la politique des coups de pieds dans les couilles du ministre de l’Intérieur Charles Pasqua, capo di capo de la mafia corse.
J’ai été manœuvré en douce dans la recherche humiliante de ce domicile dans le faubourg parisienne pour reprendre mes études à l’université Paris II Assas où intriguait en maître de conférences, le substitut général Pierre Marchi, soudoyé par la pègre parisienne avec d’autres magistrats. J’ignore cependant si j’ai été manœuvré à Aubervilliers contre Bidalou, ou si Bidalou s’y est installé pour, au profit de son « capitaine » millionnaire Jean-Erdern Hallier, me reprendre sous son contrôle. Sont redevenus inquiétantes pour cette clique des pervers, mes nouveaux succès aux universités de Paris. Aussi mes dernières aides congrues apportées à Toulouse à l’expert-comptable Jacques Belhomme avec des exposés sabotés par cette conjuration subversive. Par tous les procédés de fripouilles, dirigés du haut lieu ministériel, je fus isolé, empêché de m’inscrire au barreau comme avocat.
Dès que j’avais acquis les qualités universitaires pour m’inscrire en stagiaire au barreau des avocats de Toulouse, la loi fut changée comme par enchantement. L’inscription au Barreau dépend pour l’avenir d’un concours sélectif pour restreindre à l’extrême l’accès à la profession par une commission des robins corrompus : avocats des parties adverses, juges et procureurs prévaricateurs… J’ai été rejetée à deux reprises au concours à Paris par des moqueries sardoniques. Devant le tableau d’affichage, un provocateur avec un tout neuve ruban bleu du Chevalier de l’Ordre national du Mérite dans la boutonnière, vêtu d’un costard de trop bonne facture pour son traitement de modeste fonctionnaire, n’a pas pu se priver de me bien faire comprendre des trucages mises en évidence pour provoquer mon désintégration psychique et de renoncer à ces espoirs ; peut-être même que je mets à ce pitre mon poing sur la gueule et me faire renvoyer ainsi en psychiatrie.
L’Ordre national du Mérite de la crevure corrompue est placé au-dessus de la Médaille militaire des sous-officiers combattants et dont le ruban jaune je portais alors dans ma boutonnière du modeste veston du prêt-à-porter. Pour avoir ma Médaille militaire, je me suis fait canarder des armes de tout calibre dans les pires des merdiers, fini avec un balle dans la poitrine, vêtu d’un slip sale dans une salle d’hôpital entre des agonisants. Et, ce petit salopard corrompu de l’université de Paris se pavane en costard sur mesure devant moi “en surhomme”, décoré plus hautement que moi juste pour avoir falsifié mes notes du concours pour m’empêcher de devenir avocat.
L’insigne de la Haute trahison en 1851 de la IIème République par l’Empereur salonard Napoléon III, la Médaille militaire au ruban jaune est une décoration discriminative absolument anticonstitutionnelle depuis la remise en vigueur en 1946 de la Déclaration des droits de l’homme et du Citoyen de 1789 et des termes de la Constitution de 1958, violant le principe de l’égalité des citoyens combattants du bas peuple humilié la vie durant « en sous-homme » devant le ruban rouge de la Légion d’honneur, et à nous jours du ruban bleu de l’Ordre national du Mérite des « surhommes ». Dans les universités, dans les tribunaux et cours de justice, on n’a jamais manqué de me le faire bien ressentir. « Nul n’est censé d’ignorer la loi constitutionnelle en France », pas vrai?
Wikipédia : « Huit jours après le coup d’État par Louis-Napoléon Bonaparte, l’empereur Napoléon III, par décret daté du 22 janvier institue la Médaille Militaire : elle est destinée aux non-officiers qui sont désormais privés de Légion d’Honneur (hors cas très exceptionnels) ; c’est le soutien des officiers, dont nombre n’acceptaient pas de devoir partager cette distinction avec la troupe, à son coup d’État que Louis-Napoléon s’assure ainsi ». Dans la Guerre franco-prussienne ou guerre de 1870, semblable qu’en 1940, l’empereur Napoléon III, s’étant attiré l’hostilité du Vatican, fut trahie par son état-major, qui comptait, par la désorganisation de l’armée en campagne, de faire rétablir par l’empereur d’Allemagne la sainte monarchie des rois francs. Devant l’obstination du roi de n’accepter le drapeau tricolore, la IIIème République qui s’en est suivie sans constitution ne fut considérée que comme un régime intérimaire. Depuis le baptême et le sacré du païen Clovis I, pour l’Église, la France, c’est la terre sacrée inviolable, propriété privée du nouveau peuple des hommes-dieux élus par Dieu ayant jeté des malédictions dégradantes sur les juifs. Tant cette Vérité reste dissimulée aux communs des mortels, personne ne comprendra les enjeux politiques menées par les sociétés secrètes des cinglés dans les coulisses, ni ceux de la France, ni ceux du monde entier que l’Église compte de conquérir « par le feu et par l’épée » dans la conflagration apocalyptique de la guerre totale où tous les plus sales coups sont anoblis et bénis.
Tant cette Vérité reste dissimulée aux communs des mortels, personne ne comprendra les enjeux politiques menées par les sociétés secrètes des cinglés dans les coulisses, ni ceux de la France, ni ceux du monde entier que l’Église compte de conquérir « par le feu et par l’épée » dans la conflagration apocalyptique de la guerre totale où tous les plus sales coups sont anoblis et bénis. La destruction pour mille ans de la haute civilisation rationnelle et savante a si bien réussi par le sortilège du funeste sacré de Clovis I, « le sale rêve » (Nietzsche) de l’intégrisme catholique.
La destruction pour mille ans de la haute civilisation rationnelle et savante a si bien réussi par le sortilège du funeste sacré de Clovis I, « le sale rêve » (Nietzsche) : l’intégrisme catholique de la colonisation par des « surhommes » ou « hommes-dieux » de l’outre-Rhin de la Gaule, réduire sa population de gaulois en serfs abêtis en idiots exaltés, « corvéables et taillables à merci », étendre le régime sadomasochiste spirituel sur le monde entier. Hitler s’apprêtait de nous remettre ce cauchemar pour mille autres années… dans son « Troisième Empire millénaire » prophétisé à l’aide la haute trahison de la France par sa haute société inspirée par l’Académie française, sous les auspices de la Société des Nations, prédécesseur de l’O.N.U. tripoteuse.
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Ce blocage législatif à la profession d’avocat empêchait aussi ma prise en main des dossiers contre les Nazis et gangsters français ligués pour les crimes contre l’humanité, les affaires de Pinochet et autres. Il ne me restait plus le recours aux constitutions de partie civiles par voie d’intervention, la production à la barbe des avocats félons des exposés documentés, des dissertations congrues aux juges et procureurs devant la presse nationale et internationale lors des audiences publiques des tribunaux correctionnels de la région parisienne, à Bourges et à Lyon dans les affaires Chaumet/Chalandon, Cogedim/Bouygues, Notaires-Connexion…
Avec mon installation dans ce département 93 près de Paris, par d’autres opérations des saints esprits de la hiérarchie du sommet, au Tribunal de Grande Instance de Bobigny, s’est fait installer l’Association Professionnelle des Magistrats, la « bande de Bobigny » ; des néonazis subversif, fiers de l’être en symbiose de leur homologue partisan Bidalou dans leur circonscription à Aubervilliers au comptoir du Restaurant Le Piccadilly. Tout en supprimant mes actes de procédures congrues contre ce complot politico-judiciaire, des procureurs et juges d’instruction du tribunal de grande instance de Bobigny couvrent les manigances subversives de la désorganisation de la Justice de l’avocat William Bourdon, Jacques Bidalou et consorts, récupèrent à leur profit mes argumentaires et preuves occultés pour s’attaquer au gouvernement de la gauche.
Avec la récupération de mes dossiers, l’ancien juge d’instance rouge Jacques Bidalou s’est instruit, a évolué de ses petits idées du droit civil, a donné une consistance du droit pénal à ses raisonnements foledingues qui lui ont valus naguère sa première suspension de la magistrature. Il ne pratiquait pour lui-même ou ses dupes du « Syndicat des Justiciables » que le plagiat de mes constructions juridiques, les galvaudait pour les rendre judiciairement inopérantes sous la protection des procureurs et juges nazis de l’Association professionnelle des Magistrats, implantée au Tribunal de Grande instance de Bobigny. Et ces nazis de la magistrature là, au lieu de faire droit à mes demandes, eux aussi plagiaient mes constructions juridiques à l’usage de subversion médiatique, me laissaient faire crever des assauts d’harcèlement des « rebelles du restaurant Le Piccadilly » commandés par le juge rouge Jacques Bidalou. Lui, commandé par les membres du gouvernement, l’agitateur judiciaire est assisté par des journalistes politiques tels que Christian Lançon. En président incompétent d’une association parisienne de défense des victimes de la justice, en compagnie de Bidalou, Lançon m’attaquait sans en être mandaté au nom de cette association par une conclusion délirante à la Cour d’appel de Paris pour susciter mon internement psychiatrique d’office, après mes révélations au Tribunal de grande Instance de Bobigny de leurs combines pervers. L’escroquerie judiciaire en bande organisée, c’est un sport national placé sous l’égide de la Cour européenne des droits de l’homme et sous celui des Comités du Centre des droits de l’Homme de l’O.N.U. Ils s’y trouvent placés par les Monarchies catholiques leurs représentants assermentés à la souveraineté catholique, à côté des Nazis et des représentants des Mafieux et des Narcodollars avec leurs dépôts à la Banque du Vatican ou Ambrosio, ce qui revient au même. Il ne faut pas étonner de voir périodiquement faire dédouaner ces grands criminels par la condamnation des juges intègres qui les ont condamnées Il ne faut pas s’étonner de voir périodiquement faire dédouaner à haute vitesse ces grands criminels par la condamnation des juges intègres qui les ont condamnées, tandis que les plaintes des victimes de ce grand banditisme politisé sont passées à la trappe.
Toutes ces combines judiciaires sont manigancées par des avocats lobbyistes payés au moins à un millions de dollars/heures, se déplaçant en jets privées et payant des « détectives privés » jusqu’à quatre-cents mille dollars/heures pour faire organiser aux parties opposantes l’enfer sur terre par des gangsters du grand banditisme, des Illuminatis pervers, ou des fous à lier, et, paralysent le fonctionnement policières et judiciaire national et international avec leurs « carnets d’adresse » des influentes autorités corruptibles par l’argent, le chantage, la vanité mégalo ou par des perversions sexuelles.
Pour freiner les effets des crimes, pour empêcher leur poursuite, se révèle de plus en plus passionnant pour la compétence juridictionnelle d’office du Premier Président du Tribunal de Grande Instance de Bobigny, (comme ses précédents et celui naguère à Paris saisis en fossoyeurs de la sûreté de l’État de la France par des référés semblables), des recels des capitaux, des biens et des malfaiteurs, l’enchaînement des « manœuvres frauduleuses, artifices coupables, des mises en scènes » des escroqueries complexes et indivisibles se déroulant sur une longue période et ayant produit des effets aussi à l’étranger au préjudice des citoyens français, crimes perpétrés par des citoyens français, dont au Chili et en Argentine….
L’Association Professionnelle des Magistrats couvre dans leur circonscription à Romainville le démantèlement de l’industrie pharmaceutique française par des capitaux recelés des crimes contre l’humanité au camp d’extermination d’Auschwitz du ex-holding multinational I.G. Farben, aujourd’hui Hoechst A.G. À ses nombreuses filiales satellites des heureux néonazis des profitables complicités aux crimes au Chili et des envahisseurs pillards de la Lybie, n’endossons pas sans preuves, bien que cela soit fortement probable, l’expérimentation des gaz toxiques dans la Colonie Dignidad au Chili sur les séquestrés, des toxiques destinés aux exterminations massives, ou sournoises assassinats calculés des opposants politiques.
Laissons aux doctes savants économistes de découvrir si n’ont pas dû laisser indifférent ces inventions meurtrières de la Colonie Dignidad les experts des réseaux des filiales Hoechst A.G. spécialisée dans la production en gros, si peut-être même un éphémère pape en a été bénéficiaire pour nous quitter si inattendu pour monter au Paradis. On se confie dans les coulisses politiques bien informées, que Saddam Hussein d’Irak écrasé et spolié n’a jamais produit la moindre goutte des gaz toxiques par lesquels il a exterminé des Kurdes. Les gaz toxiques lui auraient été fournis par des anodines usines chimiques des pesticides et insecticides situées en Afrique noire des complexes agroalimentaires bien connus par ces économistes au parfum, dont l’avis on refuse d’entendre dans les palais de justice. Il n’est pas exclu que des plus influents juges même en soient des actionnaires des usines de la mort, comme ce maçon prévaricateur en chef du G.L.N.F. Jean-Claude Magendie, siégeant dans le conseil de surveillance du Holding Lagardère de fabrication d’armes et en annexe des fausses nouvelles par ses médias, tout en couvrant aussi la criminalité de l’Association Professionnelle des Magistrats au tribunal de grande instance de Bobigny.
La déduction logique des évidences éclatantes n’a jamais été la vertu principale des informations judiciaires des crimes contre humanité des Nazis orientés dans l’embourbement des sables mouvants. Au palais de justice les carriéristes ne cherchent pas des coupables. On en fabrique des coupables bien convenables à la politique des ministres de la Justice sous la présidence d’un gangster. Ce coupable d’actualité fabriqué, c’était moi, le juriste retaillé Dietrich. À propos, combien des hauts magistrats des juridictions au Chili, directement ou par personnes interposées, sont actionnaires des sociétés ou de leurs filiales ayant profité du crime organisé de l’association de malfaiteurs gravitant autour de la Colonie Dignidad, siègent même dans les conseils d’administration ou de surveillance ? Ou encore en Allemagne ? À moins, les députés du Parlement européen, fiers représentants des holdings multinationales, ont la franchise de se vanter publiquement d’avoir présidé ainsi à l’envahissement spoliateur de la Lybie meurtrie. Et si on posait la même question au clan Kennedy au sujet des filiales protégées de l’ancien holding I.G. Farben, Hoechst A.G. actuellement ? Intéressant dans le cadre du recel. Non ?
Mais où ira-t-on dans le domaine de la haute criminalité politique si « nul procureur, nul juge, n’est censé d’ignorer la loi », si les magistrats assermentés appliqueraient la loi pénale en conformité des droits fondamentaux supra-constitutionnels ? Mais où ira-t-on avec les faisans politiques au gouvernement et leurs démagogues resquilleurs au parlement avec l’application égalitaire à leurs criminelles combines devant la feue Haute Cour de justice. Mais où ira-t-on si les principes de la docte jurisprudence commentée dans des répertoires du droit pénal, appliqués à ceux qui se trouvent en prison, des principes appliqués à tort et à travers à ma compagne salvatrice Hélène Panayotou, avec sa fille Carole en bonne santé, le témoin mystérieusement trépassée ensuite ? Avec la même célérité, avec la même rigueur qu’on l’a appliquée à tort et à travers à Madame Hélène Panayotou à Toulouse : la saisie de ses comptes, mis sous séquestre judiciaire sans ménagement de totalité de ses biens… Page 7 des blogs.
Quand la police judiciaire trouve une bague provenant d’un cambriolage sur les doigts d’une amoureuse d’un petit truand, la malheureuse s’en trouve expropriée en receleuse ; quand une pauvre vieille gagne sa pitance par le ménage dans un hôtel de passe, la malheureuse est poursuivie pour complicité au proxénétisme, car le recel et la corruption se cumulent avec cette qualification légale. Bien sûr que cela est politiquement incorrect chez les faisans politiques et leurs démagogues resquilleurs, émargeant ouvertement chez proxénètes mafieux ; encore moins quand des capitaux salles provenant des crimes contre l’humanité, du trafic de drogue et des armes, des escroqueries de haute volée… des flux des capitaux circulant en toute impunité d’une société à l’autre, d’une banque à l’autre, moyennant des fortes commissions… ; des lingots d’ores par tonnes, pillés par les Nazis dans les États occupés, et mis à l’abri chez des Alliées vainqueurs par les filières des banques suisses, suédois, de ceux dans le paradis du prince de Monaco… Black-out, silence radio dans les palais de justice, et hip ! hop ! hop ! Les contestataires éclairés fourrés manu militari dans des « Colonies Dignidad » de cette France, pays des cimetières des droits de l’homme. Soyons politiquement corrects aux palais de justice !
Subtilisé par un fonctionnaire ou un employé résistant à l’oppression criminelle, si jamais un journaliste bénéficiaire à l’audace de faire usage de ces documents ou informations dans des publications mettant en évidence ces escroqueries combinatoires, monumentales, sous protection des forfaitures politisées de la haute société receleuse, alors là, outré de tant de manques de déférence aux notables, la justice tape très, très forte : les procureurs font plonger impitoyablement les malchanceux journalistes. Aux juges est réclamée aux cors et à cris la nullité pour fraude de l’information viciée d’une telle abjecte délation introduite dans la procédure d’un grand mafieux, d’un baron du trafic de drogue. Les coupables de haut niveau s’en sortent toujours blanchis, avec les honneurs, avec une faramineuse indemnisation des préjudices moraux (45 millions d’€ pour Tapie)… avec leurs fortunes recelées et la Légion d’honneur en prime. Sacré Bleu ! «Nul n’est censé d’ignorer la loi !!!» Savez-vous !!!
Si jamais un audacieux contestataire avisé se manifeste : Oust ! Assassinat psychiatrique, Électrochocs, choc d’insuline, camisole de force chimique, bastonnades en mitard en prison (Joseph Couchot), suicide à la mode des gendarmes trop curieux par deux balles dans la tête… Les pratiques dans cette Colonie Dignidad au Chili sont celle d’aujourd’hui impunies, même encouragées, en France. Mais la mésaventure de mon porte-parole empêché, le général ingénieur Sami Albagli, ça n’intéresse personne en France, ni la gamine assassinée par un ex-aumônier militaire paranoïaque, psychopathe fouettard de l’exorcisme de la trisomie dans sa « Colonie Dignidad » à Espelidou (Montpellier), sous la surveillance du professeur psy Dr André Savelli, ni tous ces gamins sodomisés par des sacrés prélats, des pédosatyrisme sacrés intouchables dans les « Colonies Dignidad » bien à eux en France.
Le chef de file de l’Association professionnel des Magistrats, deuxième de la hiérarchie de la Cour de cassation, l’avocat général Alain Terrail préconisent froidement dans une publication subventionnée par les filiales Hoechst A.G., de mettre au four crématoire le substitut de Toulon Albert Levy en raison de son opposition à l’occultation judiciaire des causes de l’assassinat de la députée Yann Piat avec sa liste nominative des sénateurs soudoyés de la Mafia. Yann Piat la naïve détentrice de la liste des hautes personnalités compromises jusqu’aux cous par l’émargement à la Mafia, dont des membres du gouvernement et des parlementaires corrompus bien connus, comptait sans doute de l’exploiter pour une affaire médiatique de propagande politique personnelle. Cette cachotterie puérile est un comportement devenu aussi fatal aux frères barbouzes Fernand et Christian Saincené, assassinés à Draguignan avec les mêmes informations, par les mêmes tueurs des services spéciaux du ministère de la Défense François Léotard, loué pour ça docteur honoris causa par une université des États-Unis. Avec le substitut Jean-Pierre Marchi, (empêché de justesse d’être nommé directeur de la Gendarmerie nationale), je l’ai mis en cause par une constitution de partie civile par voie d’intervention à Draguignan et à Toulon dans le complot criminel contre la sûreté de l’État relevant indivisiblement de la compétence exclusive de la Haute Cour de justice. Je l’avais bien démontré aux magistrats de Toulon dissimulateurs, œuvrant avec mon avocat félon Jacques Verges bien aux faits à la mascarade par le simulacre de de la défense devant les Assises. Encore et encore, tous les liens convergents à Aubervilliers au restaurant Le Piccadilly jouxte à Bobigny, à l’Association professionnel des Magistrats incrusté au Tribunal de Grande instance, à la coterie des avocats félons du maître fripon William Bourdon. « Nul n’est censé d’ignorer la loi en France », pas vrai ?
Cette canaille d’avocat William Bourdon devient l’avocat de la jugette Eva Joly ayant sauvé de la Haute Cour de justice par des forfaitures d’excès des pouvoirs de sa compétence légale en supprimant à Paris le volumineux dossier de mon intervention dans sa procédure d’instruction médiatiquement tripotée des malfrats retrouvés à l’œuvre à Grenoble avec le ministre de la Justice Jacques Toubon, le ministre de l’Intérieur Charles Pasqua, me faisant subir à ce moment-là les astuces de sa « politique des coups de pied dans les couilles ». Là, à Grenoble, la serviable Eva Joly a protégé le détournement massif des fonds par ceux qu’elle a soustraits à Paris de la Haute Cour de justice en supprimant mes actes de procédures. La Joly-Joly est accusée ensuite d’avoir fonctionné à Madagascar comme conseillère juridique de la société multinationale procédant à l’expropriation spoliatrice des terres des autochtones. Et cette Eva Joly aussi à contribuer à mon élimination, m’empêchant de m’emparer des dossiers du Chili avec bien d’autres encore. Tout le monde est d’accord sur un point : les affaires relatives aux crimes contre l’humanité en Chili sont Joly-Joliment truquées même en France.
Et, ce qui est truqué en justice par des manœuvres frauduleuses indivisibles est en France constitutif des escroqueries judiciaires imprescriptibles, rentre dans le cadre d’un complot contre la sûreté de l’État d’une « coalition de fonctionnaires concertant contre les lois et contre l’exécution des lois ». C’est un des plus importants crimes, condition sine qua non des réalisations de la haute trahison de l’armée française , des crimes contre l’humanité qui s’en sont suivis ; crimes d’anéantissement de l’État de droit de la démocratie égalitaire par la « mortification de la branche de notre droit pénal » protégeant la démocratie et l’État de droit, selon les publications de l’éminent professeur pénaliste de l’université de droit Aix-en-Provence Raymond Garcin. Voyons ! Voyons ! Fièrement des criminels de la haute sont émédaillé par la Légion d’honneur et, inamovibles, tiennent en ce moment même dans les mains les leviers de commande de nos institutions. « Nul n’est censé d’ignorer la loi en France », pas vrai ?
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Extrait de la page 1 des blogs, communiqué à l’O.N.U. :
17/12/2011|felixsavet@yahoo.fr | L’omelette norvégienne ou la face cachée d’Eva Joly.
Lu ici de Michel Janva : « La presse française, dans sa très grande majorité et curieusement, n’a jamais vraiment fouillé dans son passé, même récent, comme s’il suffisait d’avoir permis à quelques racailles du CAC 40 d’être jugés et condamnés pour être estampillé au-dessus de tout soupçon et nappé de vertus républicaines. En effet, Eva Joly, alors en disponibilité de l’administration judiciaire française et pour le compte du Norad (organisme public norvégien d’aide au développement), a été, pendant 4 ans, conseillère personnelle du président de Madagascar Marc Ravalomanana pour l’état de droit, la bonne gouvernance et la lutte contre la corruption… On ne rit pas !
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La motivation judiciaire du renvoi dans son confort au Chili du général Augusto Pinochet du Rotary fricoteur a été des intérêts économiques supérieurs des États, dont de la France, essentiellement des contrats de l’industrie d’armement (Lagardère & Magendie ?) qui plus tard a fait d’autres juteuses affaires par l’écrasement du régime de Lybie. Mais, parmi les investisseurs dans cette industrie chilienne se trouvaient majoritairement des capitaux blanchis par le trafic de drogue, de la cocaïne essentiellement, des impressionnants capitaux de cette secte nazie du faux docteur Paul Schaffer et aussi de l’Église Sciento entre autres. Les opérations secrètes du DINA du Chili, à l’instar de son grand homologue directeur, le C.I.A., ont été pour l’essentiel financées par le trafic de drogue. Marchandant dans un vaste réseau des mafieux et des agents secrets avec le trafiquant international Monzer-Al-Kassar, aussi le fils du général Pinochet s’en remplissait pleine les poches, à l’instar en France les fils camés avec les anciens de la French-connexion, du feu Michel Debré, Ancien ministre de la Défense de 1969 – 1973, Premier ministre de 1959-1962. (Un de ces négriers, cooptés à l’Académie française par le trafic d’influence, pour trafiquer l’influence à la privatisation des chaînes de télévision par des gangsters reconnus tels que Bouygues, exultant sans retenu de fabriquer les prochains présidents de la République, dont son avocat Nicolas Sarkozy, maire de sa bonne ville).
Les deux sectes présentent des ressemblances psychosociologiques caractéristiques, telles qu’ils sont théoriquement enseignés dans les universités. La raison académique est totalement inaccessible aux esprits des demeurés. Hitler même le souligne dans son MEIN KAMPF. Seuls les demeurés du même niveau d’imbécillité sont en mesure de se faire imposer par des discours primitifs des idées reçues et lieux communs. Ainsi, enseigne la psychosociologie, un gourou, ‑ un paranoïaque (penser de travers) envoûtant au sens exact du terme ‑, relativement plus intelligent, a besoin des lieutenants demeurés pour être convaincant avec la vulgarisation des délires structurés, passés pour la science exacte avec un sot vocabulaire ésotérique. C’est ainsi s’organise l’essaimage de l’Église scientologique avec la science-fiction d’un romancier dont tous les fusibles ont sauté par l’écriture des élucubrations.
Mais, la colonie allemande « Dignidad » au Chili du faux Docteur Schaffer, avec le Rotary club dans l’arrière-fond, est un microcosme des demeurés subjugués physiquement et psychiquement par l’envoûtement de son discours galvanisant d’un psychopathe dégénéré, paresseux, totalement illettré, ne sachant à peine lire et compter. Sa seule force, (comparable à celle d’Hitler), consistait dans le charisme du magnétisme fascinant de son discours messianique, galvanisant par l’exploitation des superstitions qu’un petit nombre d’adeptes retenus dans sa colonie, des paumés d’Allemagne d’après-guerre violés avec lesquels le pédosatyre notoire a pris la fuite des poursuites judiciaires.
Une autre caractéristique de sa mentalité est son appartenance aux « surhommes » de la Waffen S/S dont il est un spécimen typique de ces dégénérés pervers, exécrés et redoutés déjà par leur philosophe récupérée et détraquée chez Frédérick Nietzsche. Pour pouvoir être admis dans les rangs de S/S, le faux Docteur Schaffer a dû fournir la preuve de la pureté raciale aryenne, pour rentrer dans ce haras des étalons aryens reproducteurs. Là, il n’a pas « choisi » la fonction de brancardier en raison de ses pulsions au sadisme pédosatyre comme le fait publier son Éclair d’esprit non demandé par des journalistes un humoristique expert psychiatre du Chili. Là, il a été affecté à la plus humble fonction de brancardier pour transporter ses camarades, parce qu’il a été tout simplement un invalide borgne. Dans sa minable fonction au plus bas de la hiérarchie, le troufion homosexuel se voyait très limitée pour donner libre cours à des pulsions sadiques des Waffen SS dressés à des actions d’extermination.
C’est la sociopsychologie appliquée de la technique de manipulation mentale par l’association d’idées dans inconscient qui est de domaine professionnel des praticiens du profilage psychologiques, notamment des psychiatres. L’association d’idées a fait les preuves pour épouvanter et éloigner les gens de moi dans les cas cités : l’affaire Chanal avec la tuerie de Mourmelon et l’affaire du massacre du Conseil municipal de Nanterre. Ainsi cette fantaisiste expertise du Chili a été accréditée chez les victimes en France au temps où moi, – ancien sous-officier infirmier de la Légion étrangère, a été éliminé de cette procédure par une autre expertise psychiatrique fantaisiste qui m’endossait le faux diagnostique du faux docteur Schaffer. « Tout est lié dans les manœuvres frauduleuses par intervention des tiers ! »
Les doctes experts psy auraient mieux fait de se pencher de plus près sur les modalités d’installation au Chili de la microsecte esclavagistes, de violation et de prostitution des mineurs. Au départ, la secte ne présentait en rien les caractéristiques d’une colonie nazie de tortures expérimentales et d’extermination, des concepteurs et fabricateurs d’une grande panoplie raffinée de poisons et de toxiques aux effets rapides ou lentes, d’assassinats individuels, collectifs ou de masse. Au départ, aucun des adeptes ou membres disposait de la compétence scientifique ou technique, le faux docteur imposteur Schaffer, le vrai brancardier gribouille encore moins. Cette perversion sadomasochiste du faux docteur Schaffer et de ses principaux comparses pédosatyre a déjà dû crever les yeux à la Justice allemande. Ainsi, de cette communauté des dégénérées sautent immédiatement aux yeux d’un juriste ou d’un policier l’aspect un bordel sadomasochiste en fuite de la Justice de l’Allemagne avec ses petits esclaves sexuels.
Immédiatement, l’installation au Chili fut favorisée par des personnalités pédosatyre haute placés dans le régime. Des « clients » dégénérés, de ce bordel protégé où on fait se prostituer de force, de tout petits blondinets dressés par des bastonnades jouissives, des drogues et des électrochocs. L’étouffement des poursuites judiciaires pour proxénétisme du faux docteur Schaffer, dès son installation au Chili laisse rêveur plus d’un criminologue sur les compromissions dans le régime. Il ressort implicitement des documents rendus publics, cette colonie a dû poursuivre durant toute son existence la fonction proxénète-pédosatyre d’un bordel sadomasochiste même pas tout à fait clandestin ; le poursuit sans doute aujourd’hui encore sous d’autres cieux accueillants : une très puissante arme de corruption, de chantage et de trafic d’influence chez les notables, surtout en France ! « Nul n’est censé d’ignorer la loi en France », pas vrai ?
Selon cette analyse, cette colonie n’a été qu’un petit composant d’une organisation bien plus étendue, bien plus puissante. Il est avéré que le faux docteur, (prétendument en médecine) Schaffer inculte, le comptable fut Albert Schreiber et manager de toutes les affaires interlopes de la Colonie. Ce comptable n’a été un homme de paille d’une firme commerciale, elle-même sans doute une société de façade avec toutes ces misères d’une société de façade. La paralysie de la Justice a permis au comptable Schreiber (gourou en second) de prendre le large en apportant, par le détournement avec la complicité des banques receleuses, des importants capitaux provenant du crime organisé d’une association de malfaiteurs bien tardivement qualifiée en tant que telle par la Justice noyautée. Quant au faux docteur Schaffer, comme si de rien c’était produit dans les palais de justice, détourne les fonds de la Colonie Dignidad via des banques situées au Canada, U.S.A… Les appréciables richesses, des produits du crime organisé dans d’innombrables domaines ont été investis dans l’immobilier, dans des mines des métaux rares et précieux où trimaient des forçats, privés de raison par des harassements spirituels. Des évadés renvoyés à la Colonie par l’ambassade d’Allemagne ou par policier chilienne, des révoltes matées par d’abrutissement des drogues. Les profits estimés faramineux sont inconnus par le fisc chilien… sous l’égide de l’O.N.U. toujours complice comme naguère la Société des Nations.
Sont basées sur des faits historiques précises, des d’exfiltration des criminels de guerre nazie, de leur protection, du recel des capitaux des crimes contre l’humanité du « trésor nazi » avec les fonds duquel la colonie avait été organisée en une sorte de base d’opérations clandestines. Avant même d’opérer en centre de torture et d’extermination pour Pinochet, les agents furtifs joints à la Colonie Dignidad sont dotés des vrais-faux passeports chiliens, évoluent en composant des réseaux du C.I.A. d’espionnage, du trafic de drogue et des armes, des mises au point des armes chimiques et des produits toxiques raffinés, ayant servi aux assassinats des hommes politiques… « Nul n’est censé d’ignorer la loi en France », pas vrai ?
Les techniques des tortures leur avaient été enseignées par les agents du service secret DINA de Pinochet. Ces agents ont été formés par des spécialistes français, et ces agents chiliens ont été soustraits aux poursuites judiciaires par l’asile politique accordé par la France. L’indivisibilité pénale du complot nazi serait bien bétonnée si les historiens, experts et juges osaient d’y regarder sous l’angle de la science de la psychosociologie, associé au profilage psychologique, devenu une arme efficace de toutes les organisations étatiques modernes et des sociétés multinationales. Par l’application de cette science inconnue du grand publique ainsi manipulé, c’est inouï à ce qu’on peut machiner dans la haute société dégénérée avec des petits garçons bien dressés à la soumission pédosatyriques esclavagiste.
Ces deux sectes disposaient au Chili des aérodromes privés, gardés secrets, avec leurs propres appareils, des moyens de télécommunication internationaux ultramodernes, donc des réseaux internationaux d’autres activités que le messianisme associé à la prostitution esclavagiste de petits garçons bien dressés au fouet, à la trique, à la drogue… aux électrochocs d’exorcisme des psychiatres exaltés. La littérature documentaire sur la Colonie allemande « Dignidad » du faux Docteur Schaffer n’en pipe mot de ces relais du trafic de drogue dont les chefs même de la junte militaire se sont notoirement enrichies comme le général Noriega du Panama, pour continuer la contrebande, rapportent d’autres auteurs de la littérature documentaire. En font écran l’accumulation durant des décennies des « tonnes » des rapports inexploitables sur le pédosatyrisme et les tortures, ainsi que les compromissions des juges libidineux, des faisans politiques corrompus, des démagogues resquilleurs.
Or, c’est par les poursuites du trafic de drogue et de la circulation de l’argent sale la justice trouve les vrais moyens de frapper au cœur du système international corrupteur légendaire. Impossible, car les investigations conduiront au sommet du pouvoir mondial occulte de la grande finance, instrumentalisant les sectes et des partis politiques des dangereux paranoïaques, « penser de travers » au sens exacts du terme depuis la haute antiquité grecque : le délire mystique des dangereux gourous envoûtants, se croyant d’être investis d’une mission divine de la régénération de l’humanité, les plaçant au-delà des lois des humains. Hitler en a été un spécimen typique comme le faux Docteur imposteur Paul Schaffer de la Colonie Dignidad au Chili ; comme, entre autres adeptes déjantés, le vrai docteur Otto Dörr, professeur allemand en psychiatrie, ardent défenseur du faux Docteur imposteur, vrai gourou Paul Schaffer, un des plus dangereux détraqués à lier. (Argumentaires complémentaires page 8 des blogs). « Nul n’est censé d’ignorer la loi en France », pas vrai ?
Il est logique de faire un rapprochement avec le psychiatre allemand poursuivi par la justice pour crime contre l’humanité dans l’exercice de la psychiatrie à l’époque où mes recherches furent neutralisées par l’assassinat psychiatrique. En fuite, recherché par l’Interpole, le psy de marque fait reparler de soi par ses crimes contre l’humanité en Amérique centrale dans une autre Colonie Dignidad méconnue. Sont scientifiquement pervertis à l’aide des drogues associées aux manipulations psychologiques, des petits orphelins des opposants assassinés par les dictateurs. Dans la règle de l’art de manipulation psychiatrique, le psy produit des petits assassins dénués de tous scrupules, spécialisés dans l’infiltration pour l’empoissonnement de la nourriture par l’exploitation des sentiments de compassion des victimes. Ce psychiatre criminel est bien du type des monstres des hôtes de marque auquel plus d’une Colonie Dignidad s’offrait en refuge. Le Syndicat des avocats français a beaucoup du pain rassis sur les planches. (Il semble bien avoir été conditionné dans l’hôpital de haute sécurité de Cadillac d’une manière comparable les tueurs du général ER (*****) Jean Favreau, assassiné lors du procès Papon à Bordeaux, proche de cette ville ultrasensible, après avoir cherché de me contacter avec ses dossiers d’affaires criminelles).
Sa folle consœur chilienne de la psychiatrie tortionnaire à la colonie « Dignidad », la vraie doctoresse Gisela Seewald, devant la justice affirmait de n’avoir en aucune sorte manquée à son serment de l’Hippocrate par des traitements d’exorcismes du Diable avec des électrochocs. Non plus, les dingos de la même trempe, les psys français, auquel j’ai échappé de justesse ; non plus le Conseil de l’Ordre des médecins, mon autre débiteur d’une existence anticonstitutionnelle en France, qui s’est acharné sur le « médecin-flic » docteur Olivier Roujansky pour le radier en raison de ses dénonciations bien argumentées. On n’est en présence seulement d’une nuance de la terminologie : le Diable des exorciseurs mystiques, devient le Mal d’une psychopathologie sans fondements scientifique ; des prétendus troubles mentaux des charlatans cupides de la médecine toujours soucieux d’agrandir leur cheptel de patients solvables.
Des militaires tortionnaires en Amérique latine, brandissaient devant les yeux des supplices possédés du Mal la Croix (instrument de torture rédemptrice de Jésus), comme naguère les moines dominicains. Ces officiers catholiques intégristes aux esprits rétrécis dès l’enfance, se croyaient sincèrement de se livrer à un noble acte charitable du purgatoire terrestre pour le salut des âmes de leurs victimes possédées du Malin. L’obsession anticommuniste ne dissimule guère que la folie anti-matérialiste : la menace historique de la déraison mystique des hallucinés par la raison scientifique des savants. Dans la région parisienne, un « abattoir psychiatrique » ultramoderne a été récemment construit pour des « exorcismes » en série continue de la raison des contestataires avisés de la déraison du politiquement correcte de la raison d’État de l’absurde. Des menaçants travaux préparatifs du parlement, signalés aux juridictions nationales et internationales, de la loi scélérate autorisant aux psychiatres de se saisir arbitrairement de n’importe quelle personne, à n’importe quel jour ou heure de la nuit, ont été mis en vigueur le jour de la fête nationale du franc-tireur suisse, au lundi 1er août 2011. « Nul n’est censé d’ignorer la loi en France », pas vrai ?
Le message a été très clair pour tous les initiés de l’enjeu de la bataille nationale et internationale des procédures judiciaires : le juriste d’attaque Dietrich n’a dorénavant intérêt de raser les murs de plus près encore, n’a plus intérêt de manifester son audace congrue dans un palais de justice pour réclamer, en application de la loi rigoureusement appliquée aux petits malfaiteurs, de réclamer des condamnation aux dommages et intérêts incontestablement dus par la confiscation des biens recelés par des malfaiteurs associés, quel que soit leur fonction, rang ou position politique. La France tout entière est depuis ce jour fatidique-là transformée en Colonie Dignidad des docteurs paranoïaques, des partis et sectes nazifiées, des charmes du sadomasochisme pédérastiques, par l’avocaillon de merde Nicolas Sarkozy des spéculateurs enrichis sans entraves tels que, entre autres, son sponsor Bouygues. Par ce tour de passe-passe inconnus des électeurs, a été soustrait de leur responsabilité civile et pénale le président de la République de la haute trahison Sarkozy avec toute sa petite et grande mafia comploteuse contre la sûreté de l’État : des démagogues délirants, vendus ou resquilleurs au parlement… pures produits de la mystification collective de l’utopie de la démocratie des voleurs, des tricheurs, des exaltés fous à lier, des imbéciles prétentieux… « Nul n’est censé d’ignorer la loi en France », pas vrai?
C’est qu’un autre symptôme de la psychopathie délirante de la paranoïa : l’étude médiale de la psychiatrie et de la psychologie pour pratiquer des supplices médicalisées en blouse blanche, pour s’imposer en experts devant la Justice avec des faux diagnostiques médico-légaux décriées, pour faire enfermer les gens bien-portants et laisser sévir les fous en toute liberté, même favoriser leur accès au pouvoir comme le réputé toxicomane extralucide au peyotl, strychnine… le magicien noir Adolf Hitler. De leur établir des expertises de complaisance pour les déclarer séniles, inaccessibles à une sanction pénale, tel qu’Augusto Pinochet, soustrait ainsi aussi à la justice française par une escroquerie judiciaire flagrante. Moi, connu comme le loup blanc dans le milieu politico-judiciaire, suivi à la trace de leurs limiers fonctionnaires ou privés, je l’ai contestée même par des publications en réaction à des articles de la presse nationale et internationale. Et quand ce terrible Dietrich lâche une petit pète, espionnée jusque dans son chiotte, le monde policier entier est à l’écoute.
Voici cet autre chapitre de l’avocat félon William Bourdon encore occulté à la justice et aux victimes par mon élimination combinée à partir du restaurant Le Piccadilly d’Aubervilliers. En effet, il relève de la science-fiction de vouloir faire juger au Chili les crimes du complot contre l’humanité. C’est caricaturalement contraire à la nature du politiquement correct. Une bonne partie de la prospère hiérarchie administrative, judiciaire et politique du Chili, comme en France, est liée à ces réseaux internationaux du trafic d’influence du Rotary fricoteur et lobbyiste. La littérature documentaire, rapportée aux juridictions, démontre leur participation au complot contre l’humanité dans les années 1925 avec l’aristocratie du roi déchu Éduard VIII : la formation de l’Angleterre la plateforme de la conquête du Monde par les Nazis du « cher ami » Adolf Hitler du Roi britannique d’une dynastie originaire de Frankfurt en Allemagne, leur « sale rêve » (Nietzsche) de nous remettre ça au plus grand. Dans ce complot mondial, procédons à une comparaison constructive avec l’intervention militaire internationale, la poursuite du colonel Kadhafi par la Cour pénale internationale de la Haye, et dont la famille martyrisée, calomniée, vilipendée des illuminés pervers, espère toujours de bénéficier d’un utopique jugement équitable dans un délai raisonnable.
(Répétons-le cette comparaison historique s’impose aussi avec les fosses communes taboues en Espagne pour le juge d’instruction espagnol Balthazar Garzon ‑ déstabilisé par une conjuration politique ‑ de l’extermination massive des centaines de milliers républicains sans distinction de l’âge et du sexe de la population hostile à la dictature après le coup d’État de la junte militaire du général Francisco Franco, imitateur de Clovis I, assisté par le corps expéditionnaire nazi « Condor » d’Hitler pour rétablir au pouvoir le régime de la dynastie franque sacrée. Comparaison avec les fosses communes faisant tant de spectacle médiatique du massacre de Katyn en Pologne. Par la police politique de l’Union soviétique (le NKVD), milliers de Polonais catholiques), essentiellement des officiers, mais aussi des étudiants (officiers de réserve) ont été exterminé en réaction du massacre par des catholiques intégristes en Espagne des centaines de milliers des innocents civils. De ma connaissance, aucun historien n’a encore fait ce rapprochement juridiquement intéressant de l’opération fasciste et nazie en Espagne de Hitler portant le même non que celle en Chili, réalisée avec des anciens spécialistes fascistes et nazis de l’opération allemande-italienne de la division « Condor » en Espagne).
Sur des prisonniers, à savoir sur des personnes séquestrées dans la Colonie Dignidad du Chili au profit du régime scélérat Augusto Pinochet et ses commanditaires des États Unis, des vrais docteurs expérimentaient sur des prisonniers et séquestrés, mettaient au point des procédés hypnotiques aliénants de manipulation et subjugation des esprits. En Suisse, des pasteurs méthodistes conditionnaient et instrumentalisait contre moi ma sœur bien aimée Johanna Dietrich, ex-Kurzen, avec sa fille mineure que j’adorais. D’une nature sobre, pieuse et travailleuse, ma sœur Johanna qui m’aimait beaucoup depuis la petite enfance, sous la manipulation mentale de gourous expérimentés finissait de la sombrer en faussaire dans des énormités des escroqueries. En complice de mes tentatives d’assassinat, par ricochet, elle a contribué à la ruine d’innombrables familles française en difficulté judiciaire par le complot contre la sûreté de l’État. En faisant colporter à ma sœur ainsi mentalement dégénérée des calomnies les plus invraisemblables à mon compte pour me vilipender, les pasteurs méthodistes ont ruiné sa famille par un divorce de son sympathique mari Kurt Kurzen, mon ami en non francophone dupé. Ma sœur Johanna devenue folle, dissuadait le reste de ma famille de se porter même moralement à mon secours. Par ces manipulations psychologiques, ma famille devenait un danger duquel j’ai été obligé de me distancier, jusqu’à renoncer à la succession de ma grand-mère autrichien. Mes familles autrichiennes et suisses risquent d’être plongées dans l’opprobre dans leur entourage dès que cette honte devient publique. Ma demi-sœur Ruth Meili avec sa famille, a déjà dû fuir sa ville natale Winterthur en Suisse.
Or, l’Église méthodiste, elle aussi, se trouve en bonne place dans les manœuvres frauduleuses au Chili de la Colonie Dignidad par des mises en scènes trompeuses. Quelles astuces vont nos braves juges français, « ignorant les rudiments du droit », encore inventer pour m’évincer de la procédure, m’empêcher de réclamer aussi à ces fourbes coupables la réparation INTÉGRALE des préjudices morales irréparables à mon âge de 78 ans en 2015, d’un solitaire mis à l’index en paria de la société? À toute compagne de vie qui m’approchera, les sectes feront subir à coup sûr des manipulations d’esprit semblables qu’ils ont fait subir ma sœur Johanna et à sa fille mineure, des procédés étudiés, expérimentés et mis au mis au point sur des séquestrés dans des planques tels que la Colonie Dignidad en Chili. Et de telles planques existent en France, en toute impunité !
Ne cherchons pas la petite bête au Chili. Aussi en France, il suffit de fonder une secte politiquement influente par des paranos passés en saints hommes illuminés du genre Moon (gouv.fr), Opus-Deï, Sciento… pour échapper à la loi tout en bénéficiant de l’État laïque des subventions du contribuable ; avoir des représentants masqués au parlement, même au gouvernement ; dans des emplois fictives des dangereux éléments subversifs dans toutes les administrations. (J’en ai subi leur présence parasitaire durant toute ma carrière). En criminologie, dès que le pénaliste connaît les procédés tordus d’une secte, il en connaît approximativement ceux toutes.
De cette secte allemande Colonie Dignidad exportée complaisamment au Chili, la justice ne s’est saisie de quelques têtes célèbres mises en avant pour calmer les émotions suscitées du scandale. Des auteurs des combines dissimulées derrière la façade de cette micro-secte Colonie Dignidad au Chili, grâce aux capitaux amassés, recelés et non confisqués par la justice, sous l’égide des institutions internationales corrompues, sont plus puissants que jamais. Des caisses noires des partis politiques sont renflouées pour s’assurer des passe-droits des magistrats mis aux leviers de commande de la Justice, nommés par les faisans politique corrompus, cette grimaçante et gesticulante excroissance maligne des démagogues resquilleurs.
Avec leurs capitaux sales recelés par des escroqueries combinatoires, les gourous des sectes, avec des élucubrations mystiques et des exercices spirituels débilitants, des drogues… excitent en Occident des exaltés endoctrinés, suscitent des manifestations hystériques contre l’interruption volontaire de la grossesse… des Blancs, ‑ des parents rendus irresponsables s’exposent avec leurs petits enfants aux gaz lacrymogène de la police anti-émeute pour émouvoir les téléspectateurs en faisant les farauds vus-à-la-télé ‑, saccagent des hôpitaux, vont jusqu’à assassiner des médecins « sacrilèges », de faire massacrer au fusil d’assaut des élèves, séparés des garçons, du sexe féminin seulement d’une école d’ingénieurs par un jeune subitement exalté, mentalement conditionné par des procédés de la technologie de pointe,… par les mêmes qui ont fait leurs preuves dans le massacre du conseil municipal de Nanterre en France, dénoncé à l’O.N.U.
En Afrique, aux Amériques… ces mêmes gourous hallucinants des sectes coalisées œuvrant dans le massacres et tortures : en Argentine, au Chili, dans le génocide rwandais en 1994 en Afrique… avec les esprits de la populace soûlée, harangué, matraquée par les slogans de tribuns fous des médias délirants, téléguidés du fric des spéculateurs dans les confortables coulisses de leurs bureaux d’études. Plane partout la menace sur le Monde l’esprit maléfique de la Nuit de la Sainte Barthelemy déclenchée par les intégristes en 1572 à Paris. La populace barbare, copieusement abreuvé de mauvais alcool et soûle des saintes injonctions, extermine des populations entiers en poussant l’odieux au plus haute degré comme naguère les hordes barbares de Clovis I : éventration jouissive des femmes enceinte, violations des jeunes gens, jusqu’aux bébés, de la façon la plus sadique pour les dépecer ensuite, s’offrant des insolites menu plaisirs bandantes…
Grâce au recel impunis des spoliations et trafiques de drogues, les maléfices de l’histoire recommencement éternellement. En France, la Terre Sainte des hommes-dieux francs, avec leurs énormes fonds recelés, encensées par des médias vénales, ces sectes des dangereux hallucinés mettent au Parlement et au gouvernement leurs créatures les plus insidieusement pervers qu’on a vu à l’œuvre dans les mascarades devant la Haute Cour de justice et plus tard, dans la Cour fantoche de Justice de la République. Un point de convergence important, bien que cela n’ait pas l’air pour les désinformés, a été le Restaurant Le Piccadilly à Aubervilliers du faubourg de Paris.
Or, en matière des crimes du banditisme du droit commun, la premier action des juges d’instruction est de bloquer sans ménagements tous les comptes des malfaiteurs, saisir leurs titres en bourse et autres fruits de leurs actions manifestement criminels en vue de confiscation. Que constatons-nous dans les procédures dans lesquelles je suis intervenu en France ? Au niveau supérieur du crime organisé du grand banditisme politisé, la justice se refuse par des trucages et tripatouillages des escroqueries judiciaires de confisquer les énormes capitaux des complices-receleurs qui dirigent l’opinion publique par leur médias, corrompent les institutions politiques, l’administratives et de la justice du haute en bas, anéantissant en fait le régime démocratique. Les sociétés et filiales du bandit notoire Bouygues avec son acolyte Chalandon (blog p. 3), les deux miraculés de la Haute Cour de justice par mon écrasement dans l’affaire Cogedim à l’audience public du tribunal correctionnel de Paris, détiennent à présent la maîtrise des plus importantes moyens de communication et les mass-médias en France. Les sociétés-écran de l’église Sciento s’y sont aussi mis…
C’est que la qualification légale de l’infraction du recel des produits des sources délictuelles se cumule avec les qualifications légales des infractions relatives aux corruptions. Comme cela s’est étouffé d’une manière grotesque dans les poursuites à Paris du substitut général Jean-Pierre Marchi, corrompus par des malfaiteurs notoires en prison déjà, les valeurs remises pour le corrompre sont des produits des activités criminels. De ce fait, ses poursuites judiciaires auraient dû être aussi basées, selon les exigences du code pénal, sur la qualification cumulative de recel. Par les membres de la Chambre criminelle de la Cour de cassation, ces magistrats complices sont miraculés par le pompage de mes argumentaires « supprimés » d’une annulation de complaisance d’office, annulation d’office parfaitement fondée qu’ils me refusèrent depuis trente ans aussi dans l’affaire Papon à Bordeaux ; aux époux André et Gisèle Néron contre la Notaire-Connexion, représentés par l’avocat félon maître fripon William Bourdon et aux bien d’autres victimes du complot encore.
Les produits du zèle, regretté président Christian Le Gunehec, rien à mon détriment, la masse des crimes de faux en écriture authentiques et publics reste encore à déterminer. La plupart des hommes politiques financés, ‑ils sont innombrables au Parlement et au Gouvernement‑, par des caisses noires sont des heureux receleurs intouchables des valeurs d’origine délictueuses, des proxénètes qualifiés si ces produits sont versés par des proxénètes, comme la commune renommée atteste ces banalités depuis des lustres. « Nul n’est censé d’ignorer la loi en France », pas vrai?
Le putsch au Chili, manigance avec le C.I.A, le Rotary fricoteur et des sectes de toutes les fantasmagories mystiques sur la purification de l’humanité par des individus supérieurs, a été ostensiblement manigancée par Henri Kissinger, secrétaire d’État du gouvernement du Président des États Unis déchu Richard Nixon. On voit mal un juge d’instruction le plus téméraire de se hasarder dans cette vaporeuse stratosphère du crime politiquement organisé. En France, le juge d’instruction français Roger Le Loire a été saisi de l’information de la disparition de cinq citoyens français par le putsch au Chili. Imperturbable au début, renforcé encore par un rapport du C.I.A., rapportant la manifestation verbale de solidarité de Henri Kissinger avec le général Augusto Pinochet et des encouragements aux extrêmes, le magistrat s’enhardissait de remonter dans la vaporeuse stratosphère du crime politiquement organisé.
La chose commence à se gâter sur le plan du droit pénal mortifié avec le dessaisissement du dossier sensible du juge d’instruction Roger Le Loire par un avancement d’opportunité, (d’une typique corruption française des juges), dans le cadre du complot contre la sûreté de l’État rapporté par moi à la Haute Cour de justice dans l’affaire contre le ministre Christian Nucci. La Haut Cour de justice à Versailles a été présidée, en symbole de dérision de mes dirigeants dans l’anonymat, par le rotarien Jacques Limouzy, député-maire de Castres et ami de cœur de la tante milliardaire Fabre de ces Laboratoires, le premier de ma liste justiciable par cette haute juridiction politique. La Cour a été composée des députés de l’Assemblée nationale et du Sénat, choisis par leurs compères initiés de l’enjeu déclenché par moi à Castres : sensiblement les mêmes fantoches de la Commission d’enquête du Parlement sur les activités criminels du S.A.C. Si le grand public ignore mon existence, dans le monde judiciaire et politique, je suis connue comme le pire des loups blancs cauchemardesque avec mes déclinatoires de compétence au profit de cette haute Cour de justice présidée alors du député-maire de Castres Jacques Limouzy, désigné du Parlement à cette auguste fonction pour m’écraser moralement. L’anéantissement de mon intervention à Versailles dans l’affaire Nucci allait de soi. « Nul n’est censé d’ignorer la loi en France », pas vrai?
Dans ce cadre des crimes qualifiables contre l’humanité au Chili, le dessaisissement du juge d’instruction entreprenant Roger Le Loire d’un dossier qui me concerne à plusieurs point de vues légales et légitimes est une forfaiture patente de partialité dans le cadre d’un complot contre la sûreté de l’État. Et ce qui vient ici d’être écrit, concerne aussi les avancements opportunités cités des juges d’instruction par le ministre mafieux de la Justice Jacques Toubon, commanditaire du juge rouge Jacques Bidalou au restaurant Le Piccadilly à Aubervilliers. « Tout est liée » !
Roger Le Loire, ce premier juge d’instruction est remplacé par le juge d’instruction Madame Hélène Château. Ainsi donc, la cérémonie de l’enterrement à la française se poursuit par le dessaisissement à son tour en 2002 de ce juge d’instruction entreprenante par son avancement. Avec la mésaventure qui a fait école du Juge d’instruction Henri Pascal dessaisis d’une manière scandaleuse, de l’humiliation du juge d’instruction Gilbert Thiel par un gangster blanchi par une annulation de complaisance, il valait mieux aux juges d’instruction de rester politiquement corrects.
En même temps des avancements en chaîne des juges d’instruction dans les affaires du général Augusto Pinochet et de la Colonie Dignidad au Chili, la généreuse hiérarchie politiquement correcte m’écrasait par l’entremise de l’avocat félon bien rodé William Bourdon avec mes dossiers sur le complot contre la sûreté de l’État, complicité et recel des crimes contre l’humanité. Sans conteste, le volet judiciaire des nazis au Chili est indivisible avec les volets Papon, Touvier, Barbi et tous ceux relatifs à la French-connexion, de la Notaire-Connexion, des escroqueries de haute volée en tout genre rapportés par moi régulièrement à la Justice. Avec le troisième juge d’instruction désigné d’informer les affaires criminelles Pinochet et de la Colonie Dignidad Chilienne, le dossier a été enterré par le substitut fossoyeur David Peyron, ses tonnes d’actes judiciaires sont restées inexploités. C’est parce que les victimes décavées par leurs avocats félons, les électeurs et le contribuable désinformés, trompés par leurs médias dirigés par des gangsters receleurs, sont immergés dans l’ignorance de la loi.
Avec l’escroquerie judiciaire complexe, trentenaire, de propagande de mystification politique de l’affaire Papon à Bordeaux par des juges prévaricateurs décorés de la Légion d’honneur, usurpateurs de la compétence de la Haute Cour de justice, s’établit le lien de connexité judiciaire avec l’Opération Condor réalisant l’extermination des forces de la gauche en Amérique latine par des dictateurs. Les préparatifs de l’opération ont été connus et protégés par les autorités françaises soustraits de la juridiction pénale de la Haute Cour de justice, plus tard sous l’égide de l’O.N.U., de la Cour européenne des Droits de l’homme, de la Cour pénale de la communauté européenne de Luxembourg. Sous le régime notamment du président de la République Valérie Giscard d’Estaing (Opus Dei), des généraux opposants de l’Amérique latine furent assassinés sur le sol français, « alors que la police sous la hiérarchie des rotariens croisait les bras ». Des officiers m’en ont mis en garde dès les années 1981 à Toulouse, dans ma lancée contre ce complot, étouffé par des assassinats en série, dont de trois ministres, dont la « tuerie d’Auriol »… Je failli d’y passer moi-même à Toulouse avant et après mon évasion.
En Amérique latine, les assassinats par des gangsters français politisés bien connus pour leur adresse s’accumulaient de jour en jour. Les poursuites judiciaires, par l’accumulation massive de crimes, devenaient de jour en jour plus aléatoires par une juridiction indépendante, si l’utopie d’une juridiction indépendante existerait. Le président de la République Valérie Giscard d’Estaing, en bon imposteur politique, n’a pas pu s’empêcher d’exploiter à son profit électoral l’émotion de l’opinion public de l’événement scandaleux des tortures et disparitions des séquestrés de la dictature en Argentine. Son régime des «gangsters d’État », avait tant besoin valoriser des trompeuses images de marque d’humaniste, d’une justice indépendante au-dessus de tout soupçon, noircie en France des assassinats en série de ses propres opposants et des complices de ses incalculables trafics et rapines nationales et internationales. C’est la caricature la plus caractéristique des « gangsters d’État » qui en est chargé d’intercéder en bon simulateur auprès des autorités Argentines : Maurice Papon, le ministre du Budget, à l’époque justiciable, par les deux Hautes Cours de Justice (1944 et 1958) et miraculé par des forfaitures des magistrats de la Chevalerie d’honneur de l’empereur sacré Napoléon Bonaparte.
De l’ancien préfet de Police de Paris Maurice Papon, une de ses initiatives les plus remarquées par l’Histoire a été la formation des « forces supplétives » de la Police recrutés parmi des têtes brûlés, anciens d’Indochine et d’Algérie, des exaltés primaires se remarquant par leur fanatisme et violence. Le nombre des victimes de la répression dans le sang d’une anodine manifestation des Algériens pour l’indépendance et la cessation des assassinats et tortures des spécialiste en Algérie, ne peut être évalué pour le simple fait des disparitions des cadavres. Combien des membres de ces « forces supplétives » du bon apôtre Maurice Papon ont renforcé les rangs des tortionnaires et massacreurs au service des généraux du gabarit Pinochet et compagnie en Amérique latine. Allez savoir avec des procureurs et juges ignorant la loi ! Souvent ne l’ont jamais réellement assimilé dans l’université de droit aux examens truqués des pistonnés.
Il est tout à fait légitime de se demander si Maurice Papon en préfet de Police de Paris n’a pas aussi fait favoriser les actions meurtrières des services secrets du Rotary-club internationale des dictateurs Pinochet et compagnie. Le clou a été enfoncé dans l’indivisibilité judiciaire, lorsque leur séide Maurice Papon, inculpé à Bordeaux pour complicité des crimes contre l’humanité, eut le mauvais goût de solliciter un certificat de bon moralité en raison du simulacre de propagande politique de son action humanitaire en Amérique latine, alors que partout en France les néonazies organisaient un écran judiciaire contre mes interventions argumentés, avec la prolongation à l’infini des procédures nulles d’ordre public. La simple tentative d’escroquerie au jugement est déjà punissable par la loi. Mais cette demande largement médiatisée de la mission humanitaire commandée par Valérie Giscard d’ Estaing à son séide Papon a déjà faussé le jugement des observateurs, notamment des jurés de l’assise dindonnée en continu par journalisme de désinformation dirigé par le Pouvoir.
Si l’avocat félon des victimes chiliennes des massacres et tortures dans la Colonie Dignidad sectaire des nazis du faux docteur Schaeffer imposteur l’avocat William Bourdon ne m’avait pas fait éliminer des conférences au Restaurant Le Piccadilly d’Aubervilliers, si le traître de ses clients n’avait pas occulté mon existence salvatrice auprès l’association de défense des victimes des notaires près de Bourges dans le Cher, j’aurais été en mesure d’apporter par des dissertations détaillées à ce substitut fossoyeur David Peyron, à ce juge d’instruction Roger Le Loire et les suivants noyées, des informations sur l’écofondamentaliste Kissinger (Prix Nobel de la Paix), leur programme d’extermination massive de deux tiers de l’humanité sic, rendant inévitable sa poursuite sous la qualification « crimes contre l’humanité ». Non seulement dans la Colonie Dignidad des foldingues allemands forniquaient, mais encore des armes chimiques et bactériologiques ont été expérimentées au Chili sous le régime Pinochet par des braves docteurs nazis rescapés de la Justice d’Allemagne en compagnie de ceux du C.I.A. C’est parce que les victimes décavées par leurs avocats félons, les électeurs et le contribuable désinformés, trompés par leurs médias dirigés par des gangsters receleurs, sont immergés dans l’ignorance de la loi.
Il reste d’examiner la prétendue installation des membres de la colonie du faux docteur imposteur Paul Schaeffer et des sectes nazifiées comparables dans des antennes coloniales en France pour se livrer au trafic de drogue, les capitaux recelés, blanchie par des investissements dans l’économie en France par des filiales, le droit d’asile politique accordé par la France à des policiers et militaires assassins et tortionnaires de Chili pour les soustraire à la Justice avec leurs butins criminels… Des tabous trop bien protégés, pour l’instant, impénétrables avec mes moyens limités de l’indisponible solitaire télécommandé à 1500 € nets mensuels, ou alors une opération de commando d’action spéciale seulement ajournés par…
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Constitution de partie civile complémentaire pour escroquerie judiciaire propagandiste contre M. Jean-Marie LE PEN et le FRONT NATIONAL dans le cadre du complot contre la sûreté de l’État exposé par des argumentaires précédents ayant acquis l’acquiescement de judiciaire sans réserve des malfaiteurs associés mis en cause.
Déclinatoire de compétence de l’ensemble juridictions de droit commun saisies.
À la Courneuve le 13 novembre 2015.
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À Madame le Juge d’instruction Isabelle Prévost-Desprez – Tribunal de Grande Instance – 179 av F et I Joliot Curie – 92000 NANTERRE.
De Peter DIETRICH – Diplôme des Études approfondies de Droit privé de l’Université Sorbonne-Panthéon de Paris. Certificat des Études universitaires des Sciences pénales et de Criminologie. Adjudant honoraire du Service de Santé des Armées. I.D.E. Médaille militaire, Croix de Valeur militaire, Croix de combattant, demeurant à 80, rue Voltaire, 93120 LA COURNEUVE, https://dietrich13.wordpress.com || http://dietrichp13.wordpress.com || http://dietrich13.blogspot.fr || http://Dietrichpeter.blogspot.fr||. (Blogs sabotés).
Après avoir été informé le 13 octobre 2015 de la revendication de l’avocat Me Jean-Marie Le Pen de deux millions d’Euros au parti politique de l’extrême droite en raison de son élimination opportuniste, j’ai l’honneur d’apporter la justification de mes propres revendications relatives aux préjudices qui m’ont été infligés par des actes de complicité indivisible du Front national dans l’ensemble du complot international contre la sûreté de la France dont je viens compléter l’argumentaire par l’acte de …pages ci-joint adressé le 13 novembre 2015 aux autorités judiciaires précitées, transmis au Centre des droits de l’Homme de l’O.N.U. et diffusé sur ce Google drive texte et à la page 14 de mes blogs.
Résumons très brièvement me griefs déjà exposés en détails. Dans les années 1980, après la fusillade médiatique à Toulouse chez les huissiers de justice refusant la signification d’une requête de renvoi pour suspicion légitime des magistrats ouvertement prévaricateurs, mon secours en conseiller juridiques fut sollicité par l’expert-comptable Jacques Belhomme aux abois judiciaire, me proposant même un contrat de travail. Moi, « commando d’actions spéciales » manœuvré dans les universités de droit par les services spéciaux de l’Armée, les comploteurs au parfum me branchaient en parallèle « le juge rouge » Jacques Bidalou.
Ce « frère insinuant », dissimulant sous sa fausse gentillesse du martyre secourable des victimes du complot ses turpitudes du redoutable manipulateur hypocrite, s’est fait suspendre de la magistrature à deux reprises à l’effet de sabotage judiciaire de mon progression et de récupération au profit de son organisation subversif ma technique et ma science et mes dossiers.
Après avoir été réduit en paria traqué par des tueurs, (alors je m’y suis toujours opposé vigoureusement), l’association de défense des victimes de justice avec mon image de marque du « para justicier » fut récupérée par le Front national aux fins électorales et de propagande à Toulouse. Rendu totalement mytho-mégalo par des manipulations médiatiques du juge de la coterie littéraire « rouge-brune », son président Jacques Belhomme en devient le représentant local suicidaire du Front national pour faire fuir ses derniers soutiens sérieux, éclaboussant par ricochet ma réputation du juriste apolitique, franchement hostile à cette traîtreuse conjuration attentatoire à la sûreté de l’État. C’est que l’avocat Jean-Marie Le Pen, en lieutenant de réserve, s’est débrouillé pour servir quelques temps chez les parachutistes de la Légion étrangère, porter le légendaire béret vert à l’usage de propagande politique des néo-nazis. Ainsi le Front national comptait me placer sur son étendard en le plus brillant symbole de la bravoure militaire, tout en sabotant en douce mes actions télécommandées par des agents des services spéciaux de l’armé.
Depuis l’important succès international d’apparition sur internet de mes blogs, le Front national, sous le masques d’autres associations de défense des victimes de la justice, n’a cessé de tenter récupérer mon image de marque de l’intègre universitaire : légionnaire-parachutiste d’attaque judiciaire, le scandale de son arrestation illégale et la spectaculaire évasion en haute sécurité, suivie avec succès la continuation des études universitaires à Paris.
En même temps, devant la Cours d’assise de Bourges en compagnie du rabatteur « juge rouge » Jacques Bidalou, représentant du Syndicat des justiciables, le médiatique député de l’Assemblée nationale, l’avocat marseillais Gilbert Collard du Front national, sabotait mes travaux salvateurs des nombreuses victimes bernées. Les médias fêtent l’imposteur en héros, après avoir éliminé par des diffamations injurieuses la seule intervention juridiquement exacte : celle occultée de ce juriste avisé Dietrich. Or dans les argumentaires présentés aux juridictions de Bourges, ce Dietrich a aussi référencié l’assassinat de la députée Yann Piat et les fraudes des procédures connexes dans les villes de la Côte Azur Toulon et Draguignan. Pourquoi se gêner ? À Marseille déjà, Gilbert Collard du Front national avait saboté la procédure connexe de «la tuerie d’Auriol » des femmes et enfants, toute la famille de l’inspecteur de police Jacques Massié pour faire disparaître des documents comparables, devenaient un des plus médiatiques des stars attrape-gogos du barreau par une série des coups tordus pareilles.
Professeur d’histoire et de géographie, l’actuel sénateur du Front national Jean-Claude Gaudin, l’ancien député-maire de Marseille, ancien ministre, a échappé des poursuites du complot contre la sûreté de l’État par la Haute Cour de justice, grâce aux crimes de suppression de mes actes de procédures à Toulon en présence de mon ancien avocat félon Jacques Verges, bien rodée dans ce genre des traitreux tripotages judiciaires. Des lourdes présomptions pesaient sur Claude Gaudin et l’ancien ministre de Défense François Léotard, d’avoir organisé l’assassinat de la députée Yann Piat, détentrice des listes nominative des hautes personnalités appointés par la Mafia. Notons : le ministre de Défense François Léotard avait nommé comme directeur de la Gendarmerie nationale le substitut général Jean-Pierre Marchi, appointé avec d’autres magistrats par des truands parisiens. « Tout est liée », s’est écrié le Juge d’instruction Pierre Michel avant de succomber sous les balles de la même mafia marseillaise
Alors que mes affaires en délibéré devant l’O.N.U. risquent de déclencher un big-bang judiciaire internationale, s’ayant fait procurer gratis les copies de mes dossiers par la ruse, le Front national, organisation néo-nazie criminelle y dénoncé, cherche à se dédouaner, sauver son existence pour la fille du chef croulant, l’avocate Marine Le Pen. Le parti du sénile président Jean-Marie Le Pen compte de masquer ses responsabilités par la mise en scène d’un procès de simulation, suscité par l’exclusion alors il a été promu député européen par ses mêmes fervents militants. De longue haleine en coulisse internationale, sourdement et sournoisement, les comploteurs internationaux ont préparé au Front national la prise du pouvoir en 2017 en France en redresseurs des torts du scandale suscité par mes actions judiciaires. Avec ou sans moi, ils se sont faits bien placer sur échiquier pour réussir.
Le 20 octobre 2915, la blonde Marine Le Pen, la nouvelle présidente du Front national, comparaît devant le tribunal correctionnel à Lyon, avec un dossier rétréci, pour «provocation à la discrimination, à la violence ou à la haine envers un groupe de personnes en raison de leur appartenance à une religion ». Il se trouve que parmi les provoqués et fanatisés se trouve mon fidèle camarade parachutiste chuteur, l’adjudant-chef honoraire Julien Kim. J’ai été accueilli dans sa famille en Alsace et lui chez mon défunt père Paul Dietrich à Winterthur et chez ma sœur Johanna ex-Kurzen-Dietrich dans le canton Bern.
En 1980/81, encore en activité au 8° Régiment parachutiste de l’Infanterie marine à Castres, ce balaise sportif des bérets rouges est intervenu à mon secours à l’université de Toulouse contre les attaques des truands proxénètes et trafiquants de drogue de la ville. Les tentatives de mon assassinat et la traque par des tueurs ont empêché que je devienne le parrain à la naissance de sa première fille. Elle est à présent avocate à Moscou, au moment déterminant privé des dossiers et pièces à conviction d’une affaire qui la touche personnellement et sa famille étendue, par l’intimidation de son père avec l’intox des fausses nouvelles. Dès que j’étais branché sur internet, le Front national cherchait de m’intoxiquer moi aussi par intermédiaire de mon fidèle camarade Julien Kim, car privé partiellement de discernement par les débuts de la maladie Alzheimer, les manipulateurs ont eu beau jeu de l’endoctriner par les harcèlements des e-mails propagandistes qu’il m’a retransmis aux fins de ma récupération.
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Dans les années 2012, par l’apparition de mes blogs juridiquement édifiants sur le Web, je me suis fait contacter par le président d’une association de défense des victimes de justice de Paris. Le dénommé René, tantôt Georges Forney, des qualifications culturelles inconnus, est un internaute très actif dans le rabattage politique des justiciables en difficulté avec un impressionnant site sur le Web, diffusant massivement des e-mails de publicité par lesquels il a réussi de s’insinuer dans ma confiance et se faire accréditer par la feinte sur mes blogs (p. 9), derrière lui le Front national. Bien qu’il ait réussi d’obtenir les copies de mes dossiers instructifs, jamais ce justicier effréné ne s’est manifesté contre ma détresse judiciaire produit par les forfaitures grossières du président de la Chambre criminelle de la Cour de cassation Christian Le Gunehec. Lorsque les apologies des crimes contre humanité du chef du Front national Jean-Marie Le Pen, (avant il a aussi fait l’apologie de la Gestapo), sont passées à sa Cour supérieure, le président Christian Le Gunehec s’est désisté car, estimait-il, de ne plus avoir l’impartialité requise de juger en raison d’une certaine familiarité avec le prévenu.
En 2014, le président justicier René, tantôt Georges Forney, de l’association des justiciables en difficulté m’invita de participer une conférence juridique à Paris en présence de l’avocate Madame Marine Le Pen, la nouvelle président du Front national. Lorsque le président justicier internaute fut mis en prison pour quatre mois par un tribunal correctionnel inconnu, pour des motifs inconnus, des militants et personnalités du Front national de partout de la France me harcelaient sur le net pour que j’intervienne publiquement en sa faveur devant la justice, sans me faire connaître le dossier et les qualifications pénales du motif du jugement.
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Mettons que l’acte dommageable, prétendument injurieux et dégradant de l’exclusion de l’avocat Jean-Marie Le Pen ne produit des effets que dans un petit cercle des chers militants en moyen d’une heure par jour. Pour ces quelques heures, en expert, le maître réclame deux millions euros de dédommagement. Moi, par les fautes malignes associés du Front national, j’ai été exclu de la société tout entière de 1981 jusqu’à nos jours. Un vide social a été systématiquement organisé autour de moi ; on a fait littéralement tomber le ciel sur ma tête. Livré sans défense, avec la coactivité pénale du Front national aux assassinats tout courts, aux assassinats fiscaux, aux assassinats judiciaires, aux assassinats journalistiques, aux assassinats politiques et législatifs, aux assassinats psychiatriques, aux assassinats universitaires depuis plus de quarante ans, conspué, diffamée, injuriés, dégradée, vilipendé avec ma science congrue par les acolytes de l’avocat Jean-Marie Le Pen, plus personne de fiable m’adresse la parole, plus personne écoute mes griefs d’importance international, insidieusement caricaturés.
Ça fait combien des mois cauchemardesques indemnisables selon le taux de son magistral raisonnement exposé aux juges aujourd’hui par l’organisation criminelle Front national ? Cela notamment par son Président Le Pen, par sa branche de l’Association Professionnelle des Magistrats qui m’a écrasée à partir du T.G.I. de Bobigny, couvrent le sabotage judiciaire à partir du restaurant Le Piccadilly, l’officine du « juge rouge Bidalou » à d’Aubervilliers, incitent et protègent la subversion des comploteurs, le noyautage politique et la rabattage des avocats félons par des association de défense des victimes de la justice animées ou même présidées par des journalistes politiques tels que Christian Lançon : Bourdon, Cochet, Collard, Guénin Patrice, Verges et collaborateurs… avec d’autres maîtres bonimenteurs des barreaux de cette moule des escrocs militants, des minables constamment vedettisées par les médias attrape-gogos intéressés.
Je suis donc en droit que de revendiquer que soit mis immédiatement un terme à cette escroquerie judiciaire relative de l’exclusion du Front national de son vieux président usé et dont les joutes oratoires nazi de l’apologie des crimes contre l’humanité ont constamment été applaudies et scénarisés en sketchs grand spectacles par leur humoriste antisioniste et antisémite engagé Dieudonne, grand ami personnel de la famille Le Pen. Je suis en droit de revendiquer de mis sous séquestre judiciaire des fonds qui garantissent mes indemnisation évalués par les parties adverses à un million dollars/heures depuis mon engagement contre ce complot contre la sûreté de l’État, engagement interrompant toutes les délais de prescription, répétons-le.
Parmi ces fonds garantissant mon indemnisation se trouve la captation d’héritage de la fortune considérable de son militant Lafarge noyé à point dans l’alcool. Ceci a permis l’avocat Jean-Marie Le Pen d’acquérir une notoriété politique par la création de l’organisation criminelle Front national avec le credo « de l’histoire de France depuis le baptême de Clovis »: « détruire tout ce qui est de noble sur terre » (Nietzsche) ; la réduction du peuple gaulois crétinisé à l’esclave, sous le joug et les fouettes les surhommes francs colonisateurs, de la philosophie de Charles Maurras. L’acte d’accusation édifiant, rapporté et occulté depuis des lustres aux juridictions nationales et internationales, est rédigé depuis 1987 par Jean Catin : « Les affaires de M. Le Pen », éditions Messidor Document.
Je suis donc en droit réclamer pour garantir l’indemnisation de me préjudices matériels et morale la mise sous séquestre judiciaire les produits de cette succession, dans quelques mains elles se trouvent. Selon l’ancienne épouse de l’avocat « patriote » Jean-Marie Le Pen, les produits de cette phénoménale succession aurait été transmis clandestinement en contrebande « par valises bourrés de billets » à des banques situées dans le canton Fribourg en Suisse et que sa fille Marine serait encore une fanatique plus dangereuse que son père.
Et c’est seulement après leur fantastique succès aux élections régionales le mois décembre 2015, le Fisc et la Commission de contrôle constatant leur financements électorales par des sources occultées, mafieuses de l’étranger, leurs fraudes fiscales monumentales, fausses déclarations d’impôts et des tas de lingots d’or planqués à l’étranger, alors c’est un état de choses patente, qui a été déjà décrite, publié tant de fois, son ex-épouse l’a crié sur les toits et rapporté par moi au Centre des droits de l’Homme de l’ONU qui ne veut toujours rien entendre. Jusqu’où remontent les protections, avec qui Sarkozy, par quels moyens les ont-ils marchandés… Combien d’autres miracles de ce genre d’impunité et de passe-droits la coterie des illuminés pervers de l’avocat Gilbert Collard et les sectes ont réalisés en ruinant mon existence du juriste aux faits, et, par-là, celle d’innombrables gens dans le monde entier ?
Signé Peter DIETRICH
Lundi 13 août 2013. CONFÉRENCE SUR LA SECONDE GUERRE MONDIALE. Amphithéâtre Farabeuf. Campus des Cordeliers. Université Paris VI.15, rue de l’École de Médecine. Paris 6°.
De grâce ! Assez des demi-vérités tendancieuses !
De Peter DIETRICH, DEA de droit privé, Criminologie, Sciences pénales. Adjudant honoraire du Service de Santé des Armées (I.D.E.). Médaille militaire, Croix de Valeur militaire. Croix de combattant.
Http : // dietrichpeter.blogspot.fr. Rédacteur analyste et « rapporteur » le plus consulté dans le Monde, copié et recopié par des dizaines de milliers d’internautes avertis, du pôle le Sud au pôle Nord.
Révélations incontestées, concrètes, sériés, étayées et documentées des tabous des secrets des États sur les hautes trahissions de l’Armée française par la haute sphère politique et militaire, ‑ informations étouffées, trucidées par la justice à Alger et aux USA depuis 1943 ‑, dont le roi déchu Éduard VIII, le Duc camé Éduard de Windsor, de son état-major en France (A. Allen, ≤ héritiers des mémoires tenus secrets par I. Fleming…) et de son Right-club secret, du Rotary… (J. Costello). Des hécatombes engendrées par la Haute Finance, (Joseph Kennedy et consorts de Wall Street), par pure spéculation sur des bénéfices astronomiques tirés du double-jeu au-dessus des têtes des combattants, avec le massif financement politique en sous-main du parti marginale des gourous toxicos « irresponsables » de la magie noire (Hitler, Hess…) et de leurs adeptes hallucinés de la secte « THULE » des surhommes aryens de race « extraterrestre ». Leur credo : l’extermination radicale par l’apocalypse wagnérienne de la « guerre totale » des sous-hommes de race bassement terrestre et les bêtes « humanoïdes » de couleur. (Sur les blogs, traductions de l’allemand des extraits d’ER. Carmin, N. Goodrick-Clarke etc.)
Continuation des occultations par des suppressions criminelles en France de la documentation édifiante avec son « rapporteur » (mascarades judiciaires 1982‑2002 ↔ ?? des affaires gestapiste Barbi, collabos Papon, Touvier, Bousquet↓, SS macchab Brunner…) à l’aide des assassinats en série, perpétrées en crime organisé du grand banditisme financier, judiciaire et politique à l’instar des années fatidique succédant 1922. C’est de l’histoire certaine, « l’holocauste juif n’a été qu’une question de détail de la Deuxième Guerre mondiale ». A déjà été programmée, confirmée par Himmler sans ambages dans ses discours aux chefs SS : ‑« Après les Juifs, le peuple français est notre pire ennemi ; il l’est depuis des siècles‑, rapporte Sven Hassel, l’extermination méthodique des « exécrables sous-hommes gaulois», même de la souche sublimisée de la chevelure eau-oxygénée Le Pen, « la destruction de fond à comble » de la France, à l’instar du sacré ancêtre et idolâtré Clovis I, a été jurées à son Cher Ami Hitler par le Duc E. de Windsor. Voilà sur quoi portait précisément le complot, les trahisons, la Collaboration, les complicités, ce tout camouflé aux plaignants par nos parjures procureurs et juges.
« La prescription ne court pas contre ceux qui ont été placés dans l’impossibilité d’agir par le juge d’instruction ». Crim. 25 nov. 1954, B. 352. A fortiori : par les cours de justice internationaux au complets. « La prescription en matière de presse (désinformation combinatoire) est interrompue par des (ces) obstacles de droit ». Crim 12 oct. 1993, B. 289.
« Dans une escroquerie (aux jugements) complexe, comportant des manœuvres frauduleuses, multiples et répétés (faux en écritures, mises en scènes, artifices, trucages…) qui se poursuivent sur une longue période, formant entre elles un tout indivisible (crimes et recel des crimes contre l’humanité) et provoquant des remises successives (jugements à décharge, exonérations, occultations), la prescription ne commence à courir qu’à partir de la dernière remise ( d’une décision truquée, prolongeant interruption jusqu’à nos jours, depuis la mascarade de l’affaire Papon à Bordeaux, passant par la Cour de cassation et le Conseil d’État aux deux Cours européennes à Strasbourg et pénal à Luxembourg), alors qu’il s’agit des actes distinctes sans rapport entre eux (1945 : sosies de Hess présenté au procès de Nuremberg), si ce n’est que l’identité des parties (conjurations sectaires mythico-mystico-politiques contre l’humanité, sociétés et cartels de haute finance aux actions criminelles secrètes conjuguées…) ». Crim 9 mai 1972, (à simili), D. 72. Somm.73. In Traité du droit pénal des affaires de DUPONT-DELESTRAINT. || Cour d’appel de Paris 13 fév. 1990, Gaz. Pal. 13 mai 1990, Chronique du droit pénal par le professeur Doucet, p. 16.
« La loi doit être la même pour tous… Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires doivent être punis… » (Et non récompenser des forfaitures et prévarications l’insidieux Ennemi maniéré de l’Intérieur par des pendeloques de la Légion d’honneur). Droits fondamentaux de la République garantis par les articles 6 et 7 de la Déclaration des droits de l’homme et du Citoyen de 1789, Préambule de la Constitution de 1958.
Code de procédure pénale, article 203 : Les infractions sont connexes soit lorsqu’elles ont été commises en même temps par plusieurs personnes réunies, soit lorsqu’elles ont été commises par différentes personnes, même en différents temps et en divers, lieux mais par un concert formé à l’avance entre elles, soit lorsque les coupables ont commis les unes pour se procurer les moyens de commettre les autres, pour en faciliter, pour en consommer l’exécution, ou pour en assurer l’impunité, soit lorsque les choses enlevées, détournées ou obtenues à l’aide de crime ou d’un délit ont été, en tout ou en partie, recelées.
Avec mon ravissant étoile d’opéra Ana Netrebko,
Elïna Garanča13, ma sublime déesse enchanteresse du bel canto.
Partout l’incantation vibrante de ta douce voix, la grâce émouvante de tes gestes, de l’exquise séduction amène de ton visage si rayonnant, conserveront ton charme céleste de la féerique splendeur, Elïna Garanča, ma sublime déesse enchanteresse du bel canto.
Ô magie, ma douce et tendre Rossignol nimbée de ta corolle des fines pailles d’or. Ô magie, de ton regard captivant de la pureté du saphir d’un bleu céleste, du sommet radieux de la sphère du génie de l’auguste art musical.
Ma douce et tendre Rossignol, Elïna, ma sublime déesse enchanteresse, pénètre mon âme meurtrie du rayonnement de ta sublime magie vocale, réchauffe mon âme meurtrie immergée dans un vil abîme de dissonance hypocrite.
Trille tendre Rossignol ! Trille tendre Rossignol en crescendo du sommet radieux de la sphère du génie de l’art musical. Laisse résonner la magnificence des doux timbres de l’incomparable magie de ta vocalisation du ravissement musical. Du lutteur solitaire, remue en vibrato son cœur meurtri dans sa gangue d’acier, Elïna, ma sublime déesse enchanteresse.
Brille tendre Rossignol nimbée de ta corolle des fines pailles d’or ! Brille à l’Opéra tendre Rossignol, oh ! oh ! surprise, ravie en sublime Compagne virtuelle de charme dans le cheminement de mon escapade dans l’Histoire de l’Humanité à la recherche éperdue de Grands Hommes.
Laisse briller le suprême l’éclat du Bel Canto, sur ce solitaire finaud de Voleur aux anges, quelques rayons de ton céleste halo. Brille tendre Rossignol nimbée de ta corolle des fines pailles d’or ! Brille, Elïna, ma sublime déesse enchanteresse, cède de bon cœur au lutteur solitaire de toutes les audaces un peu d’éclats de ta brillance céleste dans les ténèbres de son vil abîme de dissonance hypocrite. Peter DIETRICH, ton « Cavalier de Prose » enchanté .
Elïna Garanča vient d’une famille de musiciens. Elle étudia à l’Académie de Musique de sa ville natale Riga en Litanie. Sa carrière mezzo-soprano a commencé le 13 février 1999 à l’opéra de Meiningen en Allemagne et se poursuivra à Francfort et Vienne et sur les scènes du monde. À la percée internationale au Festival de Salzbourg de 2003, Elïna Garanča a été honorée avec plusieurs prix et en 2013 est officiellement agréé cantatrice d’opéra autrichienne. Parmi ses rôles les plus célèbres aux côtés de rôles mozartiens se trouve aussi Carmen de Georges Bizet.
En France « Tout finit par des chansons » ! (Beaumarchais).
Le concert de Paris, 14 juillet 2014, avec mon ravissant étoile d’opéra Ana Netrebko, Elïna Garanča, ma sublime déesse enchanteresse du bel canto.
Elïna Garanča, – La Grande-Duchesse de Gérolstein « Ah, que j’aime les militaires ». Jacques Offenbach.


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Page 11 des blogs : « Manigances subornatrices des juges, victimes, témoins, électeurs ». 14 novembre 2013 : Émail réplique de Dietrich au noyautage avocassier par la publicité mensongère. De quel parti politique, de quelle secte ?
Bonjour la compagnie.
Je vous répète, mes e-mails ont été que des messages d’information des arnaques politiques, judiciaires, avocassiers… aux universitaires, aux magistrats, à une certaine presse et aux victimes potentielles. Je ne me suis jamais livré à des recommandations d’avocats dont j’ignore la qualité, je n’ai jamais demandé l’assistance d’un avocat. Bien au contraire, dans mes e-mails et blogs est clairement précisé que je compte, conformément aux dispositions supra-légales du Pacte international relatif aux droits civils et politiques de l’ONU « de me défendre moi-même », en « tout égalité » avec les autres parties, dont le ministère public. Ce message ci-dessous constitue en toute partie une publicité mensongère d’une organisation fiduciaire d’avocats pour lesquels je ne me porterais point garant.
« Peter Dietrich,
« Suite à votre demande de l’aide par courriel au sujet des problèmes que vous avez rencontrés nous vous dirigeons vers l’avocat qui peut vous conseiller (plus de 30 ans d’expérience).
Ne restez pas sans aide et prenez un rendez-vous par téléphone ou via formulaire de contact. – http://www.avocat-xxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
Aucune consultation ne sera donnée par téléphone.
Si vous avez des difficultés financières, vous pouvez bénéficier de l’aide juridictionnelle ».]
Avocat à conseiller – suite à la demande de Peter Dietrich
Reçu le 14 novembre 2013 à 18 h 52|| 12 Ko || De : xxxxxxxxxxxxxxxxxxAjouter aux contacts
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Code de conduite pour les responsables de l’application des lois
Adopté par l’Assemblée générale des Nations Unies le 17 décembre 1979 (résolution 34/169)
Article premier. Les responsables de l’application des lois doivent s’acquitter en tout temps du devoir que leur impose la loi en servant la collectivité et en protégeant toutes les personnes contre les actes illégaux, conformément au haut degré de responsabilité qu’exige leur profession.
Article 2. Dans l’accomplissement de leur devoir, les responsables de l’application des lois doivent respecter et protéger la dignité humaine et défendre et protéger les droits fondamentaux de toute personne.
Article 3. Les responsables de l’application des lois peuvent recourir à la force seulement lorsque cela est strictement nécessaire et dans la mesure exigée par l’accomplissement de leurs fonctions.
Article 4. Les renseignements de caractère confidentiel qui sont en la possession des responsables de l’application des lois doivent être tenus secrets, à moins que l’accomplissement de leurs fonctions ou les besoins de la justice n’exigent absolument le contraire.
Article 5. Aucun responsable de l’application des lois ne peut infliger, susciter ou tolérer un acte de torture ou quelque autre peine ou traitement cruel, inhumain ou dégradant, ni ne peut invoquer un ordre de ses supérieurs ou des circonstances exceptionnelles telles qu’un état de guerre ou une menace de guerre, une menace contre la sécurité nationale, l’instabilité politique intérieure ou tout autre état d’exception pour justifier la torture ou d’autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.
Article 6. Les responsables de l’application des lois doivent veiller à ce que la santé des personnes dont ils ont la garde soit pleinement protégée et, en particulier, prendre immédiatement des mesures pour que des soins médicaux leur soient dispensés chaque fois que cela s’impose.
Article 7. Les responsables de l’application des lois ne doivent commettre aucun acte de corruption. Ils doivent aussi s’opposer vigoureusement à tous actes de ce genre et les combattre.
Article 8. Les responsables de l’application des lois doivent respecter la loi et le présent Code. De même, ils doivent empêcher toute violation de la loi ou du présent Code et s’y opposer vigoureusement au mieux de leurs capacités.
Les responsables de l’application des lois qui ont des raisons de penser qu’une violation du présent Code s’est produite ou est sur le point de se produire signalent le cas à leurs supérieurs et, au besoin, à d’autres autorités ou instances de contrôle ou de recours compétentes.
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Le 28 janvier 2016. Exposé ampliatif sur les effets judiciaires et juridiques de l’assassinat psychiatrique combiné avec des extorsions fiscales de 2002 jusqu’en 2015.
1° À Monsieur le Premier Président du Tribunal de Grande instance de Bobigny. 173, Avenue Paul Vaillant Couturier. 93008 BOBIGNY Cedex. (Complément au référé avec requête de renvoi pour suspicion légitime des magistrats du 22 novembre 2014).
2° À Madame le Juge d’instruction Isabelle Prévost-Desprez – Tribunal de Grande Instance – 179 av. F et I Joliot Curie – 92000 NANTERRE.
Destinataires pour information :
Madame Chantal Arens, Première Président de la Cour d’appel de Paris.
Madame Catherine Champrenault, Procureur général de la Cour d’appel de Paris.
Madame Jeanne-Marie VERMEULIN, Procureur général de la Cour d’appel de Bouges (18014).
DEMANDEUR au civil et « ACCUSÉ d’infractions justifiées de légitime défense », PLAIGNANT au pénal : M. Peter DIETRICH, Diplôme des Études approfondies de Droit privé de l’Université Sorbonne Panthéon de Paris. Certificat des Études universitaires des Sciences pénales et de Criminologie. Adjudant honoraire du Service de Santé des Armées. I.D.E. Médaille militaire, Croix de Valeur militaire, Croix de combattant. 80, rue Voltaire, 93120 LA COURNEUVE, Blogs https://dietrich13.wordpress.com || http://dietrichp13.wordpress.com || http://dietrich13.blogspot.fr || http://Dietrichpeter.blogspot.fr; (blogs sabotés), a l’honneur d’apporter des précisions complémentaires sous ce titre des publications au sujet des questions préalables et/ou préjudicielles indispensables au rétablissement de la légalité républicaine de la démocratie égalitaire, à la sécurité morale et physique des justiciables :
(Répétition). Aujourd’hui, après avoir réprimé mes interventions judiciaires contre le complot contre la sûreté de l’État, on entend déjà clamer dans la presse des magistrats leur invraisemblable bonne foi. Après les acquiescements judiciaires sans réserves explicites, totalement irrecevable aujourd’hui : vaut aveu non rétractable ce mutisme doublé des trucages, falsifications, mascarades, des violences physiques et morales poussés jusqu’à l’assassinat de série.
Répétons-le, à la Libération en 44/45, la Constitution de la IV° République a instauré comme Préambule la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, complétée et expliquée par deux autres déclarations successives. Le général Napoléon Bonaparte les a abrogés en créant un régime judiciaire et admiratif impérial plus arbitraire et despotique que l’Ancien régime royal.
La dissimulation de la haute trahison de la France, sous l’influence de l’ancien roi d’Angleterre Édouard VIII, le Duc Édouard de Windsor, avec le haut état-major de l’Armée française, la tentative de participation de la marine française dans l’opération navale combinée avec la Kriegsmarine des Nazis « Lion de Mer », a remis au Pouvoir en France, les pires des traîtres et collaborateurs nazis, dont le général Charles de Gaule lui-même, avec toute sa clique des « Compagnons de la Libération ». Le Service d’Action civique, une organisation de police parallèle par le grand banditisme, l’a hissé au pouvoir avec tous ses « gangsters d’État » par des fonds sales et des détournements massifs des fonds publics.
L’omission 44/45 de mettre la législation et la pratique judiciaire en harmonie avec ce Préambule de la Constitution, a transformé la Magistrature judiciaire et administrative en authentique « association de malfaiteurs », a rendu la législation qui s’est ensuivie à la Libération aussi « politiquement illégitime et constitutionnellement illégale » que l’était celle du régime du maréchal Philippe Pétain. La quasi-totalité des procédures judiciaires qui ont suivi la Libération sont nulles d’une nullité d’ordre public et perpétuel, la Constitution de 1958 peut être sans complexes qualifiée au plus haut point frauduleuse et aussi « politiquement illégitime et constitutionnellement illégale » que la législation du régime de Vichy, dont les partisans se sont retrouvés dans ses gouvernements et aux leviers de commande des hautes institutions.
Par des anonymes étoilés des services spéciaux de l’Armée, j’ai été préparé de longue date, à mon insu, au fonctionnement d’un commando d’action spéciale de démolition académique. Aujourd’hui, avec l’examen rétrospectif du déroulement inimaginable de ma vie, je me demande même s’ils ne m’ont pas récupéré déjà en Suisse en 1956 à dix-huit ans, en me filant, écœuré de mon apprentissage où on ne m’apprenait rien, le mode d’emploi d’engagement : une séduisante brochure illustrée du tourisme exotique à l’œil, intitulée « Hüte dich von der Fremdenlegion », (Garde-toi de la Légion étrangère), pour ne plus jamais finir de me « garder ».
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Toutes mes procédures d’attaque contre complot contre la sûreté d’État ont été irrémédiables paralysées par le comploteur usurpateur, tenant dans la main tous les leviers de commande des institutions administratives et judiciaires. Alors, titulaire de la Carte du Croix de Combattant, mes faibles revenus de la pension militaire ont été exonérés des impôts. Alors que les membres du gouvernement fraudaient le fisc à tour de bras, détournement massivement des fonds publics et privés, trafiquaient des drogues et tout ce qui se laissait trafiquer jusqu’aujourd’hui avec Sarkozy en tête, m’ont asséné le coup de grâce : la saisie de la totalité de mon crédit sur le compte bancaire Crédit Lyonnais, réduction de ma pension à la portion congrue, non saisissables.
À partir 2003, j’étais plongé par le fisc durant des années dans une misère noire, ne parvenant à peine m’alimenter correctement. Plus des moyens pour remplacer mon ordinateur détruit jusqu’à ce que le fisc ait recouvert sur mon compte bancaire la totalité des sommes lui indues. Je ne disposais plus des moyens financiers pour me défendre contre des agressions morales et physiques qui en ont précédé et s’en sont poursuivis sans relâche. Son amant, le ministre Patrick Ollier du Rotary, et les autres alliés ont été mis en sécurité de mes interventions dans les procédures judiciaires en cours de leurs fraudes criminelles monumentales sous l’égide du trafic d’influence de l’avocate, docteur en droit Michèle Alliot-Marie, la ministresse passée de la Défense à la Justice.
Son amant, le député et ancien ministre Patrick Ollier est le fondateur en 2003 du groupe d’amitié France-Libye qu’il préside jusqu’en 2010. Il est compromis avec le maçon GLNF Claude Guénant et le député européen, le professeur Brice Hortefeux, 2009-2011 ministre de l’intérieur de Sarkozy, (autre allié de Michèle Alliot-Marie connu pour ses injures et diffamations raciales dédouanés), dans le financement occulte de la campagne électorale de 2007 de Nicolas Sarkozy par vingt millions d’Euros par le colonel Mouammar Kadhafi.
Pour étouffer le scandale touchant encore d’autres gouvernements, les Alliés ont monté contre les maîtres chanteurs de la Lybie, déstabilisée de la subversion médiatique et du terroriste et pétroliers et des marchands d’armes propriétaires des médias, une razzia militaire spoliatrice avec l’aviation française envoyée par le ministre néonazi Gérard Longuet. L’escroc de haute volée, financé aussi par des sociétés de l’étranger, est impliqué en grand dans toutes les escroqueries astronomiques. Des mercenaires exercés au Chili avec le général Augusto Pinochet ont capturé Kadhafi blessé, l’ont émasculé, fait sodomiser par des baïonnettes, disparaître son cadavre pour le soustraire aux expertises médico-légales.
Les richesses de la Lybie réalisées par Kadhafi sont bradées aux sociétés multinationales qui ont fiancé la subversion et la guerre civile par terroristes étrangers, notamment les adductions de l’eau potable au holding Vivendi, grand propriétaire des médias, sponsors des élections de l’avocat Nicolas Sarkozy et de ses mafieux sordidement enrichis par des meurtres de masse des civils.
Les dossiers volés à mon domicile par les limiers du ministre de l’Intérieur Sarkozy ont été celles chargeant des escroqueries monumentales à Grenoble ses clients d’avocat, relevant de la compétence exclusive de la Haute Cour de justice : du holding Vivendi associé au holding Bouygues (grand propriétaire des médias) et toute la Mafia de la Côte qui ont fait main basse sur les richesses de la Libye. Dans ce complot international, tout est lié depuis les rapines de Napoléon, passant par la déstabilisation du gouvernement Weimar d’Allemagne par les Nazis d’Hitler, jusqu’à nos jours où on tente de nous rejouer en 2007 le coup de Pinochet, des Nuits de Saint Barthélemy, des fosses communes à la Franco d’Espagne pour lequel l’opinion des membres de l’Armée et de la Police est déjà bien cuisinée par le Front national.
Pour enrailler mes interventions dans les procédures judiciaires qualifiables « complot contre la sûreté de l’État » des membres du gouvernement et de leurs complices de la magistrature jusqu’aux truands et proxénètes du bas-fond qui les ont arrosés, je me suis fait attaquer par des armes électroniques en travaillant derrière l’écran catalytique de mon ancien ordinateur procédant l’évolution rapide d’une cataracte. (La voisine dans son bureau en dessous, une informaticienne à laquelle je faisais part d’une activité électronique anormale dans mon appartement, a développé à cette époque un cancer de la thyroïde). Les agresseurs, rassurés de l’impunité par les magistrats du TGI de Bobigny, du Préfet et du Commissaire de Police, m’ont convaincu de la réalité de mes soupçons par l’application de l’irradiation à pleine puissance pour ne plus me laisser approcher à mon ordinateur. Les giclées de rayonnement, m’infligeant des douleurs atroces comparables d’un l’éclatement de la tête mis dans un four à micro-ondes, me forçaient de dégager par un plongeon de ma chaise au sol.
Déjà dans les nuages visuels, je me suis rendu à la clinique Roseraie de mon médecin traitant à Aubervilliers pour prendre un rendez-vous chez mon ophtalmo. Les « rebelles » du juge rouge Bidalou m’ont agressée verbalement et gestuellement dans l’enceinte de la clinique pour me faire fuir.
La cataracte a si vite évolué que je n’arrivais encore qu’à peine me tâtonner dans le brouillard à travers Paris vers l’hôpital militaire Val-de-Grace pour prendre un rendez-vous dans le service ophtalmo. Malheureusement, en pénétrant dans l’enceinte de l’hôpital, les ordinateurs sont tombés en panne. La secrétaire a été placée dans l’impossibilité de me fixer un rendez-vous, selon ses dires.
Comme les magistrats, il faillait à un galonné militaire tenir compte de la présence au ministre de Défense du président de la République Jacques Chirac de l’époque, miraculé des poursuites de la Haute Cour de justice, de la jolie mafieuse à toute main, l’avocate, docteur en droit Michèle Alliot-Marie. Avec son livre « Le totalitarisme de la gauche », la doctrinaire laudatrice ne l’aurait pas pardonné, non plus ses alliés corrompus du Rotary fricoteur et les maçons « affairistes » de la Grande Loge nationale de France. Leur avocate rouée devient Ministresse de l’intérieur en 2007-2009, et est choisie par le maçon Claude Guénant comme ministresse d’État de la Justice du nouveau président usurpateur Nicolas Sarkozy. En appliquant le régime de la démocratie égalitaire de la Constitution, est-ce que des magistrats vont penser eux-mêmes à bloquer ses comptes en banque et mettre sous séquestre judiciaire ses biens saisissables pour enrayer la nuisance à l’ordre et sécurité publique et indemniser mes préjudices et celles de ses autres victimes ?
On ne m’a pas laissé le temps de revenir chez mes chers camarades de l’hôpital militaire. En rentrant chez moi avec mes emplettes dans la main, un commando de flics, dissimulé dans l’appartement au-dessus, m’est tombé à l’improviste sur le râble, m’a mis les menottes, est rentré dans l’appartement pour le mettre à sac, encadré par une élégante magistrate du procureur de Bobigny sans doute, mais sans être mandaté par un juge d’instruction. Je l’ai réexpliqué en clair au premier président du T.G.I de Bobigny dès que j’avais retrouvé ma vue et pouvais m’approcher de mon ordinateur encore en état de marche. J’attends toujours sa réponse.
Les flics ont laissé la porte blindée entrebâillée pour que d’autres limiers puissent tranquillement fouiller mes dossiers et me voler les documents concernant les clients de l’avocat Nicolas Sarkozy, ministre de l’Intérieur de 2002 à 2004, dirigé par le maçon de la G.L.N.F. Claude Guénant. Mais, leurs limiers n’ont pas remarqué la copie sur le disque dur de l’ordinateur de la copie du tampon de réception du greffier de Grenoble.
Lorsque je suis redevenu financièrement et moralement opérationnel sur le plan juridique avec un nouvel ordinateur relié à l’internet, en 2010 le maçon GLNF Claude Guénant, (qui a déjà tiré les ficelles de la « politique de coups de pied dans mes couilles » du ministre de l’Intérieur Charles Pasqua), en secrétaire général, par le président de la République Nicolas Sarkozy, fait nommer l’avocat, docteur en droit, Michèle Alliot-Marie Ministre d’État, ministre des Affaires étrangers et européens. En cette qualité, elle fait placer auprès de l’ONU et de la Cour européenne des droits de l’homme ses créatures corrompues pour, par le trafic d’influence et chantage, saboter la reprise de mes procédures internationales. (On me signale sur internet le suicide du « juge rouge » Jacques Bidalou auquel je venais par les publications sur Web arracher le masque, et du décès prématuré du président faussaire de la Chambre criminelle de la Cour de cassation Christian Le Gunehec).
En 2002, en garde à vue avec le trucage du premier l’interrogatoire tourné en vinaigre, l’interrogateur ridiculisé, les flics se sont mis à la recherche d’un psychiatre complaisant. Mais les premiers consultés ont tenu compte de mes protestations, ont refusé de leur prêter assistance, si bien que la durée légale de garde à vue a été dépassée. On refusait de me remettre en liberté comme de droit, ne tenait pas compte de mes cris sans cesse, ébranlant tout le commissariat dans la nuit, de revendication de l’assistance d’un avocat. Me traînant dans tous les secteurs hospitaliers du département, les flics finissaient au lever du jour de trouver deux salopards de la psychiatrie pour le rendre service. (De ces spécimens dangereux pour la sécurité publique et des particuliers, je revendique aussi le blocage de leurs comptes et la mise sous séquestre judiciaire de leurs biens saisissables). De sang-froid, connaissant les fraudes, la fripouille procédait à l’empoisonnement médicamenteux pour me faire taire, me transférait à l’hôpital psychiatrique de la Ville Évrard 93140. J’y fus mis en isolation du 31 octobre au 2 décembre sans qu’il soit tenu compte de mes protestations et de la revendication d’un avocat.
Il a dû avoir des interventions occultes pour empêcher mon assassinat psychiatrique définitif dans un établissement de haute sécurité comme plus tard mon porte-parole, l’ingénieur général (***) Samy Albagli. Ensuite, je fus donc transféré au Centre Médico-Psychologique (CMP) 93200, drogué par des médicaments psychologiquement incapacitants. La cataracte s’est développée d’une telle rapidité que j’étais devenu quasiment aveugle. À quelques pas de l’établissement psychiatrique s’est trouvé l’hôpital Delafontaine 93200. J’ai demandé en vain qu’on m’y prenne un rendez-vous chez l’ophtalmo pour l’opération de la cataracte. On ne m’a seulement autorisé de me rendre drogué à l’hôpital Avicenne, à plusieurs kilomètres éloignés.
Assurée à cent pour cent, j’aurais eu droit au transport d’une ambulance et de l’accompagnement d’une assistante. Mais non, on me forçait de m’y rendre seul à pieds, alors je n’étais même plus en mesure de voir des ombres deux mètres devant moi, plus en mesure de prendre de tram. Je risquais de me faire écraser par des voitures à chaque carrefour dangereux. Arrivé à l’hôpital Avicenne avec l’aide des passants, je n’étais plus en mesure de lire les papiers qu’on me remettait pour effectuer l’examen biologique préparatoire à l’opération. Heureusement il y a eu là un personnel compréhensif pour m’opérer tout de même, sans doute encore à la suite des interventions occultes de sauvetage.
Ensuite, on me mettait en liberté surveillée par le Centre Médico Psychologique de la Courneuve 93120 sous traitement médicamenteux forcée, mentalement incapacitants. Rassuré par mes reprises extrajudiciaires, doté de nouveau d’un ordinateur, je finissais de refuser de suivre traitement dégradant, humiliant en compagnie des paumés drogués, d’un grand délirant furieux harcelant mon voisinage, et des personnes handicapées dans la dèche. Je mettais en garde les psychiatres de me faire capturer par des documents judiciaires justificatifs qu’ils avaient sans doute communiqués au préfet du département et au procureur de la République pour se mettre à l’abri, et par là, au gouvernement.
D’ailleurs, en 2016, je suis toujours placée sous ce régime administratif maintenu par le Préfet, ami de Sarko, tandis que le Premier Président du Tribunal de Grande instance de Bobigny et le Procureur de la République refusent d’en tenir compte pour qu’aujourd’hui leurs collègues magistrats prévaricateurs puissent clamer devant la presse complaisant leur rocambolesque innocence. La loi 1er août 2011, – date symbolique de la fête nationale du franc-tireur et justicier suisse Guillaume Tell —, sur des internements et « soins » psychiatriques forcés, me met en danger permanent d’une arrestation arbitraire à n’importe quelle heure du jour et de la nuit à mon domicile ou dans la rue.
Je ne peux pas être entendu légalement par la justice tant que la situation légale, avec le rétablissement de la législation « saccagée », n’est pas rétablie. Et dès que les conditions seront rétablies, les heureux miraculés de la justice par mes assassinats fiscaux et psychiatriques, chercheront d’influencer l’opinion publique par leurs ruses des effets de manche et des artifices oratoires calomnieux rien que pour la gallérie, les faire colporter par une presse soudoyée des holdings Vivendi, Bouygues, Lagardère… Les médias font plus peur aux magistrats que des poursuites de leurs forfaitures écrit « Casamayor », et assure aux avocats une imposante publicité gratuite par leurs clowneries vues au procès Papon, devient ensuite des starisés de l’avocasserie : des photos dans la presse mondaine en compagnie des jolies starlettes…
Encore un autre argument du traitement des affaires du complot en justice en huis clos, de l’interruption des délais de prescription, de l’irrecevabilité des contestations tardives après des tentatives d’assassinats du dénonciateur, des assassinats en série des informateurs, de mon indemnisation à un million dollars/heure, et, multiplié par dix, des 45 millions d’Euros des préjudices morales accordés à l’affairiste interlope Bernard Tapie en sus du détournement des fonds publics, favorisés par Sarkozy, approuvés par les ministres de Finances Dominique Strauss-Kahn et Christine Lagarde, pour faire saboter aux États Unis de mon Blog WordPress par une société informatique des jeux truqués de la Mafia renflouée, après la mise en faillite par la justice locale.
La saine logique de l’enchaînement du crime organisé nous conduit ainsi au couplage des attentats meurtriers du 13 avec ma bombe annoncée et présentée avec retardement ce vendredi 13, considéré comme magique par les mystiques, est exploitée par ceux qui me télécommandent. J’ai eu déjà démontré les liens des nazis avec le terrorisme musulman par mon exposé du 13 novembre 2013 à Monsieur le Procureur général Éric de Montgolfier au sujet du maquillage par des faux médico-légales des mobiles de l’empoisonnement du leader de l’O.L.P. Yasser Arafat dans un hôpital militaire en France. (Copie sur les Blogs et mondialement diffusé Google drive texte sans moindres contredits à l’ONU.).
https://docs.google.com/document/d/1eWgLd95kC3IUcpehtqNd1n6VwlJGeBsXhApGz8mAQIw/edit
En plus, j’ai publié sur le Web, ‑communiqué à un avocat français à Moscou lors du crash de l’avion‑, mon avis juridique du sport international des compagnies pétrolier achetant du pétrole aux organisations terroristes comme actuellement par le versement d’un million de dollars à l’État islamique :
‑Primo : il y recel des spoliations des puits de pétrole appartenant à un État souverain reconnue par l’ONU.
‑ Secondo : il y a complicité par « aide et assistance, fourniture des moyens » aux destructions, aux assassinats allant jusqu’aux génocides, c’est-à-dire crimes contre l’humanité. J’ai établi la comparaison avec le régime judiciaire des criminels de droit commun : blocage immédiat des comptes par un juge d’instruction pour stopper la criminalité, ou au moins pour en réduire les effets comme l’exigent les dispositions du Code pénal.
En cas du refus par la Justice, extension de la complicité dont l’ONU et même sur les pouvoirs publics français s’il continue de tergiverser de façon inadmissible. Cependant la responsabilité indéniable s’étend au régime de l’ancien président de République Nicolas Sarkozy, baladin de comédie de Claude Guéant, maçon de la Grande Loge nationale de France et à ses acolytes de la même conjuration contre le régime constitutionnel de la démocratie égalitaire.
Comme il n’est pas possible de dénier la combinaison des attentats islamiques avec mes attaques académiques des compagnies pétrolières cherchent, pour se débiner, de manipuler l’opinion publique favorable à un coup d’État du Front national en 2017 à la Pinochet, Nuits de Barthélemy, fosses communes à la Franco d’Espagne, je suis impliqué dans cette affaire en victime directe et par ricochet, partie civile plaignante incontestable à un million dollars/heure.
____________________________________________________________
Monsieur le Président Tribunal de Grand Instance Bobigny.

Le 22 novembre 2002, rectifié le 25 mars 2003.
Demande de mise en liberté de l’internement psychiatrique d’office, motivée par la fraude de la procédure d’information pénale, des droits de la défense en présence d’un avocat lors de la garde à vue.
L’acte illisible est refait sur ordinateur après l’opération chirurgicale des yeux le 21 mars 2003. )
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Monsieur Peter DIETRICH, Adjudant honoraire, décoré de la Médaille militaire, cité, blessé, D.E.A. du Droit privé de l’Université Panthéon Sorbonne de Paris, Certificat d’études universitaires de criminologie et sciences pénales, partie civile et prévenu, « accusé » se justifiant par la légitime défense pour soi-même et pour autrui dans la présente et d’autres procédures pénales et civiles.
Interné psychiatrique d’office en permission, (et ensuite laissé en liberté sous ce régime,) demeurant au 80, rue Voltaire, 93120 LA COURNEUVE,
A l’honneur d’exposer très succinctement : (Rendu presque aveugle, j’écrivais en aveugle au grand feutre la première requête.)
À l’époque où Sarkozy a placé au Commissariat de Police de La Courneuve et à la Préfecture du département 93 ses séides de choc, le mois d’octobre 2002, je rentrerais paisiblement à la maison avec mes commissions à la main, mes aliments. Embusqué dans l’escalier, six policiers environ me sautaient dessus, m’enchaînaient par des menottes pour me soumettre à la fouille corporelle. Ensuite, ils pénétraient dans mon appartement, le mettaient dessus dessous avec les dépendances. Manifestement, les limiers cherchaient de faire d’abord un flagrant délit de porte arme, et ensuite de la détention des armes dans mon appartement.
Immédiatement, j’exigeais de l’inspecteur en civil la présentation d’un mandat d’arrêt et de perquisition d’un juge d’instruction. Les enquêteurs n’avaient pas le moindre bout de papier justifiant leur intervention à mon domicile.
Ce qu’ils cherchaient manifestement, c’étaient des armes détenues chez moi, comme cela quelques-uns présumaient pour éviter le contacte du corps à corps dans mon domicile duquel j’ai été menacé verbalement par des imprécateurs insolents. J’ai eu l’ordre de me laisser plutôt abattre, que de m’armer par les offres amicales.
Les policiers se prenaient dans l’immeuble de mon domicile à un citoyen irréprochable, le fouillaient de fond à comble. Ils serraient excessivement les menottes, me jetaient dans leur voiture. Les mains sur le dos, je hurlais de douleur à l’amusement des assaillants informés, eux, armés avec des armes de première catégorie C’est leur manière d’encourager le voisinage. Elle a cessé de m’agresser verbalement sur tous mes déplacements avec des centaines de militants, sans relâche depuis des mois. Des voies de fait et violences morales contre un justiciable en raison de ses dépositions à la justice nationale et internationale. Il y a notamment mon intervention volontaire au tribunal de Bobigny contre « les rebelles » du restaurant Le Piccadilly muré, le quartier général de celui qui se fait appeler « le juge rouge. »
Pour réparer la bavure au commissariat, les policiers bredouilles d’un flagrant délit de porte arme motivaient mon arrestation par une vieille plainte d’un de mes agresseurs contre lequel je ripostais avec un cocktail de Molotov, il y avait vingt jours au moins. Je m’attendais avec impatience à l’ouverture d’une information judiciaire contre ce crime d’opérette provoqué et parfaitement justifié par la légitime défense.
En garde à vue, pour faire face au refus obstiné des policiers, je criais à répétition : « Je veux être interrogé en présence d’un avocat. »
« Tu vas voir les hors-la-loi, » s’en narguaient-ils en continuant le matraquage verbal de mes assaillants civils : « Vieille pute ! On va avoir ta vie et ton pognon. » Ils faisaient allusion à l’indemnité par la justice internationale d’un précédent du même genre fomenté naguère par le « juge rouge » Jacques Bidalou installé avec ses « rebelles » à Aubervilliers dans l’ex-restaurant muré et fermé « Le Piccadilly. »
Maintenant, les policiers me présentaient à un premier psychiatre en faisant fi de ma revendication d’être attendu en présence d’un avocat. Le matraquage vocal devait me mettre en état de surexcitation : « Vieux pédé, on va te retailler ! »
Ce psychiatre se désistait. Je n’arrêtais pas ma revendication d’être interrogé en présence d’un avocat, tandis que les policiers faisaient quête chez d’autres psychiatres.
Pour apaiser mes cris, un enquêteur procédait au simulacre de mon interrogation saris la présence obligatoire d’un avocat. D’autorité, l’enquêteur cherchait d’enregistrer ses propres suggestions au lieu et à la place de mes déclarations sur la nullité générale et d’ordre public de leurs procédés de fripouilles.
En vain. Alors il retirait la feuille du dossier qu’il avait cherché de me faire signer, se refusant d’enregistrer mes propres déclarations sur son ordinateur. Le crime de faux en écriture est patent, car ses déclarations qu’il avait enregistrées sont une altération de la vérité par commission et par omission. « Vieille sale pute, » m’insulta-t-il, en me remettant dans la cage.
Le délai de vingt-quatre heures est sans doute dépassé sans autorisation de prolongation.
Vers trois heures du matin, les policiers me conduisent chez deux psychiatres qui m’envoyaient chez les fous.
Pour la première requête, j’étais en permission de sortie jusqu’à lundi où je devais rejoindre l’hôpital Romain Rolando à La Courneuve. Ce régime d’internement d’office en liberté est renouvelé à chaque lundi.
(Durant mon « hospitalisation, » mon appartement fut pillé par des cambrioleurs disposant des clefs de ma porte blindée.)
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Selon la volumineuse documentation incontestée, produits dans d’autres procédures, nous sommes en présence d’une conjuration « rouge-brune » qui emploi le juge défroque comme rabatteur et comme saboteur de la justice. » Anime des associations de défense des victimes de la justice capables de mettre en état d’insurrection des spectateurs d’une audience. J’ai présenté à ce sujet une documentation édifiant à la Cour de communauté européenne de Luxembourg. En autres facéties, leur projet publié et rapporté dans le journal Le Monde, consiste à faire défiler sur les Champs Élysée côte à côte les chars de l’Armée rouge et celle de la Waffen S/S. Le feu gourou de cette conjuration, Hallier se targue d’être l’écrivain le plus condamné de la France pour apologie aux crimes, injures et diffamations.
Les militants exécutent aveuglément les directives du comité de coordination qu’ils appellent « L’Organisation. » L’Organisation est une conjuration « rouge-brune » internationale, cherchant ouvertement d’abolir la démocratie. Ce complot contre la sûreté de l’État en France se présente dans les mêmes termes de la haute trahison partout en Europe. La qualification légale « Haut trahison » s’impose à tous les comploteurs de la fonction publique, ainsi aux « intellos organiques, » comme ils aiment se définir, avec tous leurs financiers milliardaires. « On flinguera Chirac avec (l’affaire Dietrich), m’annonçaient sous ma fenêtre les petits chefs contre lesquels je me suis défendu en leur incendiant une voiture bourrée d’électronique d’une égérie d’un niveau universitaire éblouissant, cherchant de débusquer les traîtres. Pardon …
État de la documentation jointe. (Non à cet exposé de rappel de 2016).
- Première page de mon intervention volontaire et six documents dans le contentieux sur le murage du restaurant Le Piccadilly, quartier général des rebelles qui comptent de refaire le monde sous l’influence du juge défroque Bidalou. Une volumineuse documentation commentée avait été présentée contradictoirement et sans contestation. Le dossier complet est au greffe civil.
- Communication de la constitution de partie civile par voie d’intervention le 5 février 2001 dans l’affaire Aloïs Brunner poursuivie pour crimes contre l’humanité par une juridiction légalement incompétente, usurpant la compétence exclusive des juridictions militaires. 6 Pages.
- Quatre documents des références de la Médaille militaire.
Peter DIETRICH
Diplôme des Études approfondies de Droit privé
de l’Université Sorbonne Panthéon de Paris.
Certificat des Études universitaires des Sciences pénales et de Criminologie.
Adjudant honoraire du Service de Santé des Armées. I.D.E.
Médaille militaire, Croix de Valeur militaire, Croix de combattant.
Dietrich13.wordpress.com
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{http://www.alternatives-economiques.fr/fic_bdd/article_pdf_fichier/1274372604_cac40_3.swf,
< Propriétaires des principaux médias = de l’opinion publique qu’ils dirigent.
Le recouvrement judiciaire des milliards et milliards se joue à l’ONU avec des avocats payés à un million dollars/heures pour m’anéantir avec ma science par la corruption, le trafic d’influence, l’assassinat ou la lobotomie}.



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« Les idées folles se prennent comme les maladies et celui qui en attrape une, les attrape généralement toutes. » Nietzsche.
Doctrine Nazie illégalement dissimulée dans les procès relatifs aux crimes contre l’humanité avec l’Académie française.
Ridiculisés à jamais : Universitaires, juges, procureurs, avocats, littéraires, politiques < NU. Mis à quia devant l’ONU, les comploteurs de la haute finance organisent les attentats terroristes électoraux qu’ils financent à la manipulation de l’opinion.
Réplique à Mediapart 2 avril 2016 : une soirée pour « Penser ce qui nous arrive ».
« Pour penser de ce qui nous est arrivé, qui nous arrive et nous arrivera, la condition première est de se débarrasser des œillères culturelles, connaître les vérités de l’Histoire qui selon Nietzsche se répètent continuellement et avais déjà pensé que l’Église nous remettra ça, « son sale rêve » de l’anéantissement « de tout ce qui est noble sur terre » par des barbares stupides du genre des Francs du sacré Clovis I, l’idole d’Hitler et ses nazis, des cathos intégristes, le Leitmotif des opéras de Wagner de la conflagration apocalyptique de la guerre totale. Or, un roi de France (?) a fait détruire dans la bibliothèque royale tous les œuvres historiques, philosophiques et fait réécrire l’histoire par le clergé conforme au mythe de la chevalerie chrétienne, en réalité destructeur de la civilisation gréco-romaine des chrétiens primitifs et eux, exterminés avec. »
Et aujourd’hui encore dans l’école publique et privée, dans les universités même, ces mythes sont enseignés comme vérités historiques… Si on n’ignore le plus important crime contre l’humanité de l’Histoire « que le Soleil ait vu sur cette Terre » (Nietzsche) par le baptême et le sacré de Clovis I, on ne comprendra jamais rien à l’œuvre maîtresse de Nietzsche « Ainsi parlait Zarathoustra », travesti par les Nazis ironisés, pour en faire leur philosophie politique des surhommes ariens dénués de tous scrupules humanistes à l’égard du sous-homme dont il faut purifier la terre par l’extermination en commençant par les juifs, les Gaulois en priorité ensuite pour le repeuplement (Himmler) par la race germanique.
Nietzsche fait parler ainsi Zarathoustra pour ironiser l’Histoire des « hommes-dieux fabriqués par le sacré des barbares mérovingiens du roi Franc Clovis I, accuse Richard Wagner d’avoir plagié pour en faire une sorte de musique religieuse caricaturale des Nazis.
« Par le séisme sont révélées des sources neuves. Du séisme des vieux peuples surgissent des sources neuves. […] Ô mes frères ! Pour tout avenir humain où est donc le plus grand péril ? N’est-ce pas chez les gens de bien et chez les justes ? [..] Et quelques dommages que fassent les méchants, le dommage que font les gens du bien est le plus dommageable des dommages. […] Leur bonne conscience tient captif leur esprit. D’une insondable prudence est la sottise des gens du bien. […]Devenez dur ! […] ô mes hommes supérieurs, avec vous je veux parler à l’allemand et sans ambages : ce n’est vous que j’attendais dans la montagne. (Caricature de l’évêque hérétique de Reims « Remi » qui a fait appel à lui pour exterminer les chrétiens primitifs en 496 ? […] Mais qui m’appartient ne peut avoir des os robustes et également des pieds légers ‑ être d’attaque pour guerroyer et festoyer… […] Dieu est une pensée qui rend tordu tout ce qui est droit et fait tourner tout ce qui debout se tient. […] les lois de Terre ne présentent aucune valeur : Massacrez et torturez, n’épargnez point. […] Aimez la paix comme moyen pour des nouvelles guerres […] la guerre et le courage ont plus fait de grandes choses que l’amour du prochain. […] J’aime les vaillants, mais il ne suffit d’être sabreur, – il faut savoir aussi qui sabrer ! […]Brisez, me brisez donc les gens du bien et les justes. […] Rébellion ‑ c’est la distinction des esclaves. Que votre distinction soit d’obéir ! Que votre commandement lui-même soit obéissance ».
Nietzsche Friedrich. « Wagner répète la même chose tant de fois que l’on n’en peut plus, que l’on finit par y croire. Ps 21-22. La scène Wagnérienne n’a besoin qu’une chose : des Teutons… ! Définition du Teuton : de l’obéissance et des bonnes jambes. P. 44. C’est le plus sombre obscurantisme qu’il cache dans les voiles lumineux de l’Idéal, Il flatte tous les instincts nihilistes ( bouddhistes) et les travestis en musique, il flatte toute forme de christianisme, toute forme religieuse qui exprime la décadence […] la grande imposture de la transcendance et de l’au-delà, a trouvé dans l’art de Wagner son plus sublime avocat […] en s’adressant à la sensualité, qui a son tour, épuise et brise l’esprit… ». Post-scriptum p. 47. Le Cas Wagner, traduction par Jean-Claude Hémery. Œuvres philosophiques complètes. Éditions Gallimard Paris 1974, tome VIII, volume I.
(Les opéras de Wagner, une musique socialement pathologique qui ont rendu fou Hitler à 16 ans par la mise en musique géniale, accumulent les pires sottises de toutes les superstitions les plus abêtissantes de la sorcellerie, de la magie blanche contre la magie noire, des hérésies chrétiennes du Moyen-Âge, des fables stupides des Nibelungen associés aux Chevaliers du Graal, à la lance magique qui a achevé Jésus sur la croix, des sirènes maléfiques combattus par les preux chevaliers germains pour le salut d’une pure princesse, finissant dans l’apocalypse guerrière du dieu Wotan avec l’au-delà avec les Walkyries. De la mise en musique d’un envoûtant raffinement de Wagner de la mythologie germanique, la secte Thulé en a fabriqué son credo religieux combiné à la dénaturation de la philosophie de Nietzsche caricaturant le « Surhomme » germanique et l’Église dans œuvre « Ainsi parlait Zarathoustra », sans tenir compte des autres œuvres définissant comme vrais surhommes les pharisiens juifs ayant assuré la cohérence du peuple, et les Arabes en « race de maîtres » pour avoir sauvé de la folie chrétienne destructrice la culture gréco-romaine).
Étant donné qu’en matière pénale, sous peine de nullité pour fraude de la procédure, est obligatoire l’enquête sociale pour la présentation les motivations morales et politiques des criminels aux juges dans l’audience publique. Or, de ma connaissance, dans aucun procès relatif aux crimes contre l’humanité, la doctrine des Nazis ci-dessus résumé n’a été évoquée comme de droit ; car cela aurait mis en évidence la responsabilité du grand capital et de l’Église, eux parfaitement informés avant le déclenchement de la Guerre mondiale avec leur vraie complicité pénale des instigateurs. Échappé de plusieurs assassinats, comptant de la présenter notamment dans l’affaire Papon à Bordeaux et Touvier à Versailles, le régime scélérat a failli de me faire lobotomiser, a même fait voter par le parlement une loi pour la faciliter sans autre forme de procès avec une capture psychiatrique.
Poursuite des forfaitures des comploteurs ridiculisés à jamais : Universitaires, juges, procureurs, avocats, littéraires, politiques spéculant sur les issues catastrophiques des élections aux États Unis par l’humanité < En sommeil prolongé devant le NU.
https://docs.google.com/document/d/1dDsL7fWU3ZCDRlgZUqaPeBIe3TGSzo05ywvZGGLXo3I/edit
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Vol des électrons par l’appropriation subreptice du blog Dietrich13. Kazeo.com, pour la propagande subreptice d’antisioniste. < En sommeil prolongé devant le NU.
https://docs.google.com/document/d/1SVPJ9QlN4I_WHEEgeo5hO2k94lWZLpl0w-IzEACYTLA/edit