Attentat subversif contre le Président du Conseil constitutionnel Laurent Fabius.
Attentat subversif contre le Président du Conseil constitutionnel Laurent Fabius par la continuation des escroqueries combinatoires, judiciaires, journalistiques et parlementaires mafieuses aux fins du sabotage des procédures en instance contre le complot historique contre la sûreté de l’État.
15 octobre 2017.
Dénonciation publiée https://www.facebook.com/dietrich13peter.
Au Juge d’instruction de l’affaire « Cimenterie Lafarge S.A. » du T.G.I. de Paris, à Monsieur le Premier Président de la Cour de Cassation et du Conseil supérieur de la magistrature Bertrand Louvel, le Haut Commissariat des Droits de l’Homme de l’ONU, la Cour de Justice de l’Union européenne et autres autorités judiciaires nationales et internationales légalement compétentes.
De M. Peter DIETRICH. Diplôme des Études approfondies de Droit privé de l’Université Sorbonne-Panthéon de Paris. Certificat des Études universitaires des Sciences pénales et de Criminologie. Adjudant honoraire du Service de Santé des Armées. I.D.E. Médaille militaire, Croix de Valeur militaire, Croix de combattant. Demeurant au 80 rue Voltaire, 93120 La Courneuve.
Référence mes dénonciations sur le même sujet :
>Du 16/01/2017 : Demande de communication d’office de l’arrêt dissimulé, rendu à ma demande par la Commission d’indemnisation des détentions abusives. La demande est jointe des copies des principaux exposés présentés aux juridictions nationales et internationales.
>Du 13 octobre 2017. Sur la continuation des escroqueries combinatoires, judiciaires, journalistique et parlementaires contre la sûreté de l’État par Me William Bourdon et autres. Transmis par e-mail et publié sur : https://www.facebook.com/dietrich13peter.
Répétons brièvement, la « Confédération nationale des associations de défense des victimes de la Justice » a été créée par moi. J’ai été appelé au secours contre les tripotages judiciaires par l’expert-comptable Jacques Belhomme de Toulouse, manipulé par le « juge rouge » Jacques Bidalou. L’ancien capitaine parachutiste du 1er Choc, M. Jacques Belhomme a fait ma connaissance à travers le scandale national après ma fusillade mémorable dans l’étude des huissiers de justice refusant illégalement procéder à la signification d’une requête de renvoi en suspicion légitime, et, après la confirmation en audience publique de l’exactitude de mes constructions juridiques avisées .À cette époque, j’ignorais mon marquage au fer rouge par l’astrologie des sciences occultes des sociétés secrètes et sectes, dont des Nazis, en raison de la date de naissance de mon père (12/13) et le mien, le 12 aout, selon leurs élucubrations, dates qui procéderont au changement de l’Histoire. Bien que j’aie déjà subi pleinement les effets délétères de la concertation des traitements dégradants, j’ignorais encore le « Nouveau Testament de Satan » du chanoine jésuite Adam Weisshaupt des Illuminatis pervers. Aux préceptes rentrés dans la science politique, s’y réfèrent constamment les belligérants de l’ombre de « l’Échiquier du Diable » : « Il faut combattre les fortes personnalités qui sont le plus grand danger. Si elles font preuve d’un esprit créatif, elles ont plus d’impact que des milliers d’hommes laissés dans l’ignorance. […] Il est une espèce de bonnes gens qu’on appellerait bêtes, mais à qui il ne faut pas le dire, parce qu’on peut tirer quelque avantage de leur sottise ». C’est en quelque sorte le Leitmotiv de mon cauchemar judiciaire. Lorsque les organisations mafieuses ont réalisé que par ma direction des services secrets, je m’apprêtais de faire fonctionner la Haute Cour de justice contre le complot contre la sûreté de l’État, a été produit des assassinats en séries des ministres, députés et magistrat, plaignants et témoins. L’avocat félon Me Gilbert Collard, (député du Front national), accrédité par les médias rabatteurs, a joué un rôle prépondérant dans le sabotage de la saisine de la Haute Cour de justice par la trahison de ses clients fourvoyés dans son traquenard par la pub des médias. Je finissais d’être manipulé, doublé puis éliminé des associations de défense des victimes, par une machination combinatoire montée par des magistrats, mes avocats félons et leur « frère insinuant[1] […] (qui doivent être tantôt les plus imbéciles et tantôt les plus ingénieux des frères) » : par le magistrat simulateur suspendu Jacques Bidalou, accrédité par la presse en « juge rouge » incorruptible, martyre de la lutte contre la criminalité politique, alors qu’il a été la taupe appointée par les criminels.
[1] Terme du Nouveau Testament de Satan du chanoine jésuite Adam Weisshaupt, professeur allemand en droit. Plus de détails sur la page 1 des blogs.
Par la proposition d’un contrat d’embauche en conseiller juridique de son cabinet, rémunéré à dix-mil francs mensuel, il a été convenu entre moi et l’expert-comptable Jacques Belhomme en président de l’association, que tous les dossiers relatifs au complot contre la sûreté de l’État seront concentrés dans l’association nationale et me soient confiés pour parfaire mon action judiciaire, connue comme étant dirigée par des stratèges des services secrets de l’armée.
L’énormité du scandale du réquisitoire de l’adjoint du procureur de la République de Toulouse M. Rabastens est largement rapportée par la presse nationale. « Car si la justice française est équipée pour lutter contre la petite délinquance, elle est bien moins armée en ce qui concerne les grandes affaires dans laquelle Dietrich est victime… Il faut le dire tant que le ministère public peut parler librement ». (Jacques Bertrand. La Dépêche du Midi des 9 octobre 1980 et 13 janvier 1980). La procédure d’appel contre la violation de la compétence légale du tribunal correctionnel de Toulouse est suspendue en raison de l’arrestation illégale qui s’en est suivie pour me faire taire à jamais. Je suis toujours privé de mon permis de conduire illégalement retenue par des magistrats hors-la-loi.
Les équipes des avocats félons William Bourdon, Gilbert Collard et Jacques Vergès…, accrédités par les médias intéressés, se sont appliqués en toute impunité aux trahisons de leurs clients pour saboter le fonctionnement de la Justice. Souvent dans leurs cabinets, a été cumulée la représentation des victimes et la défense des malfaiteurs. Dès mon départ, je suis tombé dans leur panneau des maîtres félon à Castres. Violations de la déontologie avec les bâtonniers complaisants, ou même exigeants la trahison. La concertation frauduleuse s’est produite avec le bâtonnier Me Souquier par mon avocat félon Me René Second à l’audience public dans mon procès en correctionnel à Toulouse : « après avoir réduit au silence son avocat, ‑ qui a demandé le renvoi à Saint Glinglin la procédure dérangeant ‑, « Dietrich fait une démonstration magistrale de l’incompétence légale tribunal correctionnel, a plaidé lui-même la légitime défense », rapporte dans Libération du 16 janvier 1981 Jean-Baptiste Harang sous le titre « Du code civil au fusil anti-gang ».
Quelques années plus tard, ce même journal m’a discrédité à jamais auprès des associations de défense des victimes par des injures calomnieuses sur mes observations avisées à l’audience publique au tribunal correctionnel à Paris, tout en accréditant, en flattant, en noircissant des pages et des pages des cracks des manœuvres de sabotage et subversion des parties adverses, dont ceux du « juge rouge » Jacques Bidalou et de son conjuré… l’intouchable avocat William Bourdon.
À mon insu, Bidalou, ses avocats, dont Bourdon, et ses présidents des associations de défense des victimes opéraient leurs criminelles actions de rabattage, de subversion politique et sabotages judiciaires à partir du restaurant Le Piccadilly d’Aubervilliers (93) sous la protection du syndicat des nazis de la magistrature A.P.M., placés par le régime mafieux aux leviers de commande du tribunal de grande instance de Bobigny (93). À partir du restaurant Le Piccadilly d’Aubervilliers 93, les dossiers sensibles ont été concentrés dans les association subversives, animées sur le plan national par le « syndicat des justiciables », crée par Bidalou, ces dossiers joués dans les mains des avocats naufrageurs et saboteurs aux fins de chantage et subornation par l’exploitation de ma science. Par mon exclusion, Maître William Bourdon a été un des perfides galvaudeurs, sabotant des affaires sensibles jusqu’à l’affaire des victimes du général Augusto Pinochet de Chili.
L’Association nationale de Défense des Victimes des Notaires à Bourges a été un des clients trompés qui m’ont appelé au secours contre ses turpitudes. Le patron du restaurant Le Piccadilly Guy Peynet, en était un autre parmi d’autres. Moi, réduit au silence en paria, en leurrant de leur secours, les associations m’ont subtilisé des conseils juridiques à mes frais exclusives, sans jamais citer mon nom. ‑ La recherche du général (*****) parachutiste Jean Favreau par téléphone auprès d’une association cachotière de mon adresse pour me confier ses dossiers, a produit son l’assassinat, l’incendie de sa voiture avec ses dossiers ‑. À mes partis adverses, les saboteurs ont fait appliquer avec succès mes constructions juridiques pour déstabiliser des juges d’instructions irréprochables, obtiennent l’annulation de complaisance de mainte information parfaitement régulière sur plus dangereux malfaiteurs du grand banditisme du crime organisé.
Leurs victimes ont été privées du secours avisé de mes conseils bénévoles, poussées par leurs félons d’avocats à la désintégrations morale avec des ruineuses procédures les plus insensées, à la destruction de leurs familles, internements psychiatriques, tueries, suicides… Par milliers, en en croire le tract insinuant adressé au président de la République François Mitterrand par le VRC Henri Cariot. De l’escrocs enrichis par le détournement des fonds des associations de défense des victimes trahies, c’était bien trop tard qu’on m’a fait découvrir sa fonction de rabatteur de l’Église scientologique et de leurs avocats félons. Sous la protection de juges comploteurs du Mans, ‑ et aussi ceux de Bobigny ‑, avec l’Église scientologique a été concerté un coup d’état judiciaire et journalistique, poussait au suicide l’ancien Premier ministre Pierre Bérégovoy par leur VRC Henri Cariot copinant avec des juges subversifs au Mans : Jean-Pierre Thierry et autres, des alliés du « juge rouge » Jacques Bidalou et de son cercle des Illuminatis pervers, dont Me William Bourdon.
Avec mes dossiers et ma science, l’Église scientologique a marchandé l’impunité de leurs leaders nationale poursuivie pour escroquerie. L’avocat incompétent de Henri Cariot, le plus minable et tordu des avocaillons suspendu du barreau par la Cour d’appel de Bourges, Me Daniel Cochet après sa réintégration par la Cour de cassation à Paris, n’a pas hésité d’attirer dans son traquenard des victimes avec la décoration de sa carte de visite avec toutes mes qualifications académiques appris cou-ci cou-ça dans les dossiers qu’il m’a escroqués avec la promesse de ma défense dans les affaires à Bourges. L’épate évolutive des références de Me Cochet est publiée dans mes blogs.
Répétons donc, selon la jurisprudence, l’omission malicieuses dans une procédure judiciaire d’une intervention importante d’un avocat engage la responsabilité civile de la presse. (Tous sont égaux devant les Cours de justice. P.I.R.D.C.P. ONU). De même, l’omission malicieuse du nom de l’auteur d’une dissertation littéraire importante engage la responsabilité des littéraires appointés qui attribuent la gloire aux partis adverses. Dans ma situation du combattant contre le complot contre la sûreté de l’État, est pleinement engagée la responsabilité pénale des instigateurs, propriétaires milliardaires des médias, tous profiteurs de la guerre au Moyen Orient : Bouygues, Lagardère, Vivendi, compagnies pétroliers…, Bernard Tapie, Laboratoire Fabre de Castres….
Éliminé en 1981 par l’arrestation illégale et l’assassinat psychiatrique par des faux médicaux légaux patents, produisant toujours leurs menaces administratives et judiciaires, je suis réduit à l’impuissance judiciaire dans la lutte contre la conjuration mafieuse et sectaire coalisée contre le régime démocratique de la république, des attentats criminels contre le régime de la Déclaration des droits de l’homme et du Citoyen de 1789, qu’ils comptent détruire par l’extrême droite. En torpillant avec mes ordinateurs sur le Web jour et nuit les manigances perfides et la propagande électorale calomnieuse, j’ai déjoué la prise au premier tour électoral de la présidence de la République en 2017 par Marine Le Pen du Front national. Les attentats terroristes, notamment du 13 novembre 2016, l’élimination assassine à mes côtés de la captivante cantatrice Elïna Garança (č = ç), le matraquage de l’opinion par des clips hallucinatoires sur les délires des émeutiers surexcités par la médiatisation complaisante… Tout a été savamment combiné par les forces noires sur l’Échiquier du Diable pour manipuler l’électorat à apporter massivement leurs voix à l’extrême droite, déjà assurée de la victoire pronostiquée.
Et dans mes opérations « télécommandées » pour la sauvegarde des droits de l’homme, j’ai été soutenue d’une manière significative par l’association avec merveilleuse cantatrice de renommée internationale, de la gracieuse Elïna Garanča. Le rétablissement de mon crédit et mon honneur par l’apport du rayonnement de son aura féminin a conféré une force morale inestimable à mes dénonciations savantes auprès des internautes des impostures des machinations de la propagande électorale. Pour que je puisse mener à bon fin ma « mission militarisée d’un commando secrètement entraîné aux actions très spéciales », l’ancien président de la République François Holland a fait empêcher l’assassinat d’Elïna Garança dans un massacre au superlative dans l’opéra nationale de Paris. Ses services secrets se sont arrangés à ce que la cargaison des fusils d’assaut, grenades à main et explosifs soit interceptée par la police à Muniche en Allemagne pour soustraire la poursuite de l’affaire aux tripotages partisans de la magistrature française aux abois. Le mois octobre 2017, attendue par de nombreux fans admiratifs de son courage, la présentation de la très belle et captivante diva lettonne Elïna Garanča à l’opéra nationale de Paris apportera des fâcheux contrecoups à la propagande politique de l’extrême droite et de leurs mafieux alliés dans la magistrature. Si ces faits filtrent dans l’opinion public, il ne restera au nouveau président de la République Manuel Macron que de démissionner. En tout manière, il n’aura jamais été élu si ces faits auraient été divulguées par les médias à l’électorat couillonné.
C’est démontré en justice sans conteste depuis des années, l’avocat William Bourdon a toujours été une taupe arnaqueur au service des mafias de mes parties adverses, dont de leurs ministres de Justice, a servi aussi la cause de Jean-Marie Le Pen et à présent sa société anonyme Lafarge. Avocaillon alors, Me Jean-Marie Le Pen est devenu un des plus importants actionnaires par la captation d’héritage suspecté de meurtre d’un Lafarge ; la dissimulation d’une partie du butin dans une banque du Canton Freiburg en Suisse. L’ex-épouse de Jean-Marie Le Pen l’accuse en fournissant des preuves dont la justice complaisante ne veut rien entendre. Dans l’intérêt de la sûreté de l’État et pour garantir l’indemnisation des victimes, bien avant les événements de la Syrie, j’ai sollicité à la justice la mise sous séquestre judiciaire de tous les bien disponibles et le blocage des comptes en banques de ce malfaiteur patent en campagne pour perpétrer des crimes contre l’humanité.
C’est évidement sur l’instigation de la direction de cette société dominée par Jean-Marie Le Pen, leur taupe Bourdon a créé avec les salariés amadoués de Lafarge « l’ONG française Sherpa de défense des victimes des crimes économiques ». Et juste au moment où la captivante présentation du bel canto d’Elïna Garança à Paris risque de produire des vagues dans l’opinion, les médias soudoyés lancent avec la taupe Bourdon un gros pétard dans les informations pour produire un écran de fumée dans le paysage judiciaire et politique par l’attentat contre le président du Conseil constitutionnel Laurent Fabius. Sans doute, espèrent les conjurés menacés que son éventuelle démission spectaculaire retardera encore le dénouement judiciaire. Ce n’est rien d’autre qu’un attentat judiciaire, journalistique et politique combiné aussi contre moi et ma science, contre l’impuissant paria immobilisé. Et aussi un attentat à l’éclat de la représentation publique à l’opéra nationale de Paris de mon rayonnante associée Elïna Garanča.
Voilà donc à présent lancé dans le complot, l’avocat félon Me William Bourdon, en se parant des magnifiques plumes académiques du paon qu’il a grillé, passe à l’attaque du président du Conseil Constitutionnel en récupérant mes constructions juridiques pour les subrepticement galvauder. Depuis des années, ma science occultée par les médias français, me vaut des témoignages de sympathie de personnalités cultivées jusqu’aux membres des gouvernements, hauts gradés de la police et de l’armée des Etats, des universitaires du Proche Orient, notamment de la Syrie. Avec maître fripon William Bourdon, les mafieux coalisés ont lancé une opération judiciaire, journalistique et parlementaire combinatoire par laquelle des sociétés aux criminelles actions occultes s’efforcent d’éclipser dans les médias l’importance de mes actions soutenues par la divine cantatrice Elïna Garança. En 2016, elle a été miraculée d’un massacre historique. Avec son divin soutien, mes actions ridiculisent jusqu’à la fin de l’histoire et dans le monde entier tous les délicates créatures la classe politique, judiciaire et universitaire avec toute leur quincaillerie honorifique.
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Blog page 13. L’attentat contre le président du Conseil constitutionnel, ce n’est rien d’autre que la répétions du trucage de l’affaire du Sang Contaminé montée naguère contre le gouvernement du Premier Ministre Laurent Fabius par ces associations instrumentalisées par des mafias et sectes. Pour ne me discréditer par personne interposée en monstre a été montée contre l’adjudant-chef Pierre Chanal une des plus odieuses affaires de tueur sadique en série aux alentours de la garnison de Mourmelon. Seulement, ceux qui m’ont psychiatrisé sans absolument rien connaitre sur ma vie et de ma compétence militaire très spéciale « du dynamiteur », ignoraient mon passage à Mourmelon où je me suis amouraché avec la belle brune « Karin » (Carole). Elle connaissait aussi bien l’adjudant-chef Pierre Chanal estimé innocent. Avec les déclarations faites à la presse de mon ancien amour Karin, je me suis fait mobiliser, par services secrets de la Grande Muette contre les imputations fallacieuses à l’adjudant-chef Pierre Chanal. Leurs agents connaissent les vrais tueurs sadiques, comme ils connaissaient ceux par lesquels l’ancien ministre de la Défense François Léotard a fait assassiner la députée Yann Piat et encore bien d’autres personnalités dangereuses pour leurs criminelles machinations secrètes.
Lorsque je suis intervenu dans la procédure par la gendarmerie nationale avec l’exigence de l’information équitable « à charge et à décharge », l’adjudant-chef Chanal, innocent, a été assassiné en cellule de haute sécurité de l’hôpital, son assassinat grossièrement maquillé en suicide. Les astuces du procédé ont été juste montré aux grands écrans du cinéma : le savant suicide assisté par le procureur d’un médecin en cellule de haute sécurité sous l’inquisition : une méthode totalement inconnue par un militaire, en dehors des rares membres du service médical ou vétérinaire. Et, sur les réseaux sociaux, l’affaire Chanal est toujours montée contre ma réputation irréprochable par le procédé psychologique de « l’association des idées » : de l’accouplement, juxtaposition ou superposition tendancieux des informations frelatées dans les médias. D’autres affaires semblants de la superproduction médiatique du matraquage de l’opinion de la désinformation sont en parallèle montées ou en cours de montage grâce au maintien en vigueur des décisions judiciaires truquées par des crimes de forfaitures, procédures frauduleuses que le Conseil Constitutionnel a le devoir d’annuler d’office dans l’intérêt de la nation depuis des lustres.
Avec ses protections au plus haut niveau des intuitions frelatées de la République par des forfaitures d’escroqueries judiciaires, l’instrumentalisation du terrorisme est fiancée à un million dollars/jours par des holdings prospérant dans le luxe de tours au Grand Arche de la Défense à Paris. Alors pourquoi les avocats, leurs loufiats de la subversion judiciaire devraient se gêner. Des hauts magistrats actionnaires (Magendie), ne siègent-ils pas jusqu’à dans les conseils d’administration des fraudeurs ? Et qu’en est-il leurs épouses, de leurs rejetons…, des pots-de-vin sur comptes secrets en Suisse dénoncés par l’ancien ministre de Finance Couve de Murville ? Mystère !
Quant au regretté président faussaire de la Chambre criminelle de la Cour de cassation, ce Commandeur de la Légion d’honneur parjure il a été un fier ami personnel de Jean-Marie Le Pen du Front national, avec maint magistrat militant qui s’en targuent sans retenus devant la presse, « pour faire trembler les juges », comme la célèbre terreur « Sadon, le Juge et Partie », ou l’avocat général de la Cour de cassation Alain Terrail, avec ses juges nazis militants de Bobigny, préconisant d’envoyer à la four crématoire le substitut du procureur de la République de Toulon Albert Lévy en raison de ses dénonciation des crimes de suppression d’actes de procédure dans des poursuites truquées des assassins de la députée Yann Piat. Y a été immanquable la collaboration de la turpide félonie de l’avocat spécialiste, le feu Me Jacques Vergès crevé d’une congestion cérébrale. Tout se ramène à l’antre de brigands judiciaire au restaurant Le Piccadilly à Aubervilliers, et aussi à l’avocat William Bourdon, à l’ancien ministre de la Justice Jacques Toubon, réputé escroc de haute volée de la Mafia grenobloise, ses intangibles comptes en Suisse des détournements des fonds et pot-de-vin, superviseur effréné des sabotages du fonctionnement de la Justice, intronisé actuellement en Défenseur des Droits. Dans ce bordel institutionnel, « On n’est jamais mieux servi que par soi-même » !
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[L’autre des tags massivement diffusés sur Web sur les escroqueries astronomiques internationales en bande organisée Supprime et Hedge fonds, des emprunts toxiques ayant sinistrées des entreprises publiques et privés la France avec la complaisance du ministre des finances Sarkozy et son ministre du Budget Woerth, les exposés savants faites aux juridictions nationales et internationales se trouvent sur la page 2 de mon blog. Des montagnes de dollars et euros escroqués sont en jeu, comme les élections des Présidents de la République Giscard d’Estaing, Chirac, Sarkozy, Macron, leurs gouvernements et parlementaires fantoches.]
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Il ne s’agit dans cette dissertation juridique que des répétions longuement exposées, preuves à l’appui, aux juridictions nationales et internationales. Des copies enregistrées au bureau des référés du Président du Tribunal de Grande instance de Bobigny sont disponible à tout requérant, même aux particuliers. Les journaleux appointés, avant de se livrer à l’injurieuse désinformation à mon détriment, en ont même l’obligation professionnelle selon la jurisprudence rendue au profit de parties adverses bousculées.
Le ministère public est unique et indivisible en France. Mes actes de procédures produits aux procureurs généraux de Bourges et Versailles sont censé être produits aux procureurs de toutes les juridictions de la France, produit, sous peine de forfaiture criminelle de partialité, dans toutes les procédures connexes et indivisibles de la qualification pénale « complot contre la sûreté de l’État ».
Répétons-le, si je recevrais une Croix de Valeur militaire en compensation des hautes décorations de la Légion d’honneur attribuées aux magistrats prévaricateurs en récompense du trucage par des escroqueries judiciaires et faux en écriture, je serais le soldat le plus décoré de la France. Et ça continu ! La loi est morte. Vive les juges parjures vendus à la criée aux plus offrants !
Publication du vendredi 13 octobre 2017. D’abord j’ai demandé à des membres de la Nobelprize.org de proposer mon associée salvatrice, la merveilleuse cantatrice lettonne Elïna Garanča, pour le Prix Nobel de la Paix. Réflexions faites, je pense qu’il sera bien plus judicieux de la proposer pour le Prix Nobel du Chant et de la Musique et proposer pour le Prix Nobel de la Paix l’ancien président de la République François Hollande pour avoir organisé dans l’état d’urgence son sauvetage de l’assassinat dans la tentative du massacre au superlatif à l’opéra nationale de Paris au début 2016. Dans la guerre judiciaire et psychologique se déroulant sur la plan mondial, la merveilleuse cantatrice Elïna Garanča, par notre association, pèse plus lourd dans la balance que toute l’armée française.
Peter DIETRICH
[1] Terme du Nouveau Testament de Satan du chanoine jésuite Adam Weisshaupt, professeur allemand en droit. Plus de détails sur la page 1 des blogs.
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