Légitime défense politique.

« Concert criminel contre les lois et contre l’exécution des lois des fonctionnaires » de la justice, comploteurs contre la sûreté de l’État de la France fomentant des crimes contre l’humanité en concert avec des puissances étrangères.

Posted in Uncategorized by Dietrich13 on 1 octobre 2018

24/09/2018. À Monsieur le Président, en juge de référé-provision, du Tribunal de Grande Instance de Bobigny et aux juridictions nationales et internationales légalement compétents.

OBJET. Demande amplifiant du référé-provision de 2014 contre Maître Frank Sezenik, Huissier de Justice, Syndic de la Chambre départemental des huissiers de justice, contre X dirigeant la Chambre nationale et la Caisse nationale CNHS des Huissiers de Justice, et, la Caisse nationale des Huissiers de Justice.

De M. Peter DIETRICH. Diplôme des Études approfondies de Droit privé de l’Université Sorbonne-Panthéon de Paris. Certificat des Études universitaires des Sciences pénales et de Criminologie. Adjudant honoraire du Service de Santé des Armées. I.D.E. Médaille militaire, Croix de Valeur militaire, Croix de combattant. Demeurant au 80 rue Voltaire, 93120 La Courneuve.

Dénonciation publiée sur http://dietrich13.com, et, https://www.facebook.com/dietrich13peter. (Attend pour le déblocage l’envoi par le président de la République Emmanuel Macron à mon domicile mon divine associée Elina Garanča).

« Caractérise tous les éléments constitutifs du crime de complicité d’assassinat par instruction donnée l’arrêt d’une chambre d’accusation qui, renvoyant l’accusé devant la cour d’assise, relève que cet accusé aurait été l’instigateur du crime et que les renseignements, conseils ou directives données par lui auraient été  de nature  à faciliter la commission de l’infraction, alors même que le crime aurait été perpétré suivant un mode d’exécution différent de celui qui avait été prévu et au moment où cet accusé était détenu pour autre cause ». Crim. 31 janvier 1974, B. 50 etc. etc. in Encyclopédie Dalloz, Complicité – 27, n° 93 et suite.

À plus forte raison et par l’interprétation « a simili » de la logique juridique, doit être retenu la complicité des huissiers de justice, des officiers ministériels assermentés et autres,  qui par des actes criminels de suppression et détournement des actes de procédure ayant paralysé le cours de justice pour permettre des crimes d’une envergure imprévisible, en l’espèce des meurtres en série des ministres, députés, policiers au parfum (tuerie d’Auriol…), généraux (Albagli, Favreau) et particuliers hautement impliqués: (frères Saincencé…), jusqu’aux crimes et tentatives des crimes contre humanité ouvrant doucettement à la Troisième Guerre mondiale prophétisée avant même de la Première par des visionnaires nazis de l’obnubilation « extralucide », la conflagration terminale de purification de race germanique, mis en musique par les opéras du compositeur nazi Richard Wagner.

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Quel scandale national ! Dans un résumé de la situation en terme modérés par le pouvoir hiérarchique, l’adjoint du procureur de la République de Toulouse M. Rabastens confirme  en audience publique la justesse des moyens de défense de l’étudiant en maîtrise de droit Peter Dietrich, en passe de s’inscrire comme avocat stagiaire au barreau : l’impuissance de la justice devant la grande criminalité notoire relevant depuis des décennies de la compétence exclusive de la Haute Cour de Justice, aussi bien en ce qui concerne les membres du gouvernement que les criminels du droit commun, ainsi que leurs petits complices de la huisserie de Justice, des pitres envieux d’un décoration honorifique en récompense.

« Car, si la justice française est équipée pour lutter contre la petite délinquance, elle est moins armée en ce qui concerne les grandes affaires dans laquelle Dietrich est victime […] Il faut le dire tant que le ministère public peut parles librement… »[1] Mois de l’octobre 1982, il a répété son réquisitoire au Syndicat de la magistrature à la journée sur la justice, lorsqu’en réduit en paria, des tueurs me traquaient ouvertement.[2]

S’établit enfin les compromissions de l’ensemble de de la corporation des huissiers de justice dans le grande banditisme d’envergure internationale d’importance historique des comploteurs contre l’humanité. Chez les huissiers de justice, par mon exploit armé, je suis devenu une inoubliable célébrité nationale.

Par des Illuminati, s’est organisé dans les coulisses avec les initiés des clubs mondains, des sociétés secrets et sectes qui se sont passé le mot pour neutraliser ce dangereux individu, ce commando d’actions spéciale, l’adjudant Dietrich marqué au fer rouge de l’astrologie du mysticisme des sciences occultes et du Nouveau Testament de Satan : « Il faut combattre les fortes personnalités qui sont le plus grand danger. Si elles font preuve d’un esprit créatif, elles ont plus d’impact que des milliers d’hommes laissés dans l’ignorance. » (Chanoine Jésuite Adam Weisshaupt).

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Sans doute, si le blocage de la justice persiste par des initiés de l’illumination perverse, on n’aura pas fini avec les massacres tels que celui du vendredi 13 novembre 2015, suscités par mon exposé amplificatif au président du Tribunal de Grande Instance de Bobigny, au juge de référés d’une juridiction infestée des militants paranoïaques hallucinés nazis de l’Association professionnelle des Magistrats, et des corrompus mafieux de père en fils tels que le juge d’exécution Ancel le jeune.

Enchanté de mon arrivé, le juge Ancel, en frère quêteur d’un avancement et d’une décoration de la Légion d’honneur, a déjà fait barrage de la saisine de la Haute Cour de justice contre les comploteurs contre la sûreté de l’État en supprimant le 30 septembre 1999 au TGI de Bobigny au profit de la petite tapette Bidalou d’une conjuration journalistique et littéraire. Pour rabattre les victimes déboussolées de l’intox des médias vers des avocats félons, le « juge rouge » Jacques Bidalou, le tailleur des pipes, est encensé par la conjuration journalistique en un des plus héroïque justiciers. Dans l’affaire de ses « rebelles éclusiers des bières » du restaurant Le Piccadilly d’Aubervilliers, le juge d’exécution Ancel, méprisant mes constructions juridiques incontestables sur le complot contre la sûreté de l’État, relevant en exclusivité de la compétence de la Haute Cour de Justice, m’infligea une amende civile salée dans le but évident de me ruiner avec mes faibles revenus avec la connivence du Procureur de la République. (Heureusement, le payement ne m’a pas été réclamé par le Fisc).

Est connexe avec les turpitudes des huissiers SCP Lasserre et autres d’Aubervilliers, l’affaire du restaurant Le Piccadilly, murée par les Compagnies de Sécurité Républicaine pour y chasser ce « juge rouge », ses lieutenants du journalisme ordurier de la subversion de leur « capitaine » millionnaire Jean-Erdern Hallier. De leur bureau au première étage, les huissiers me jetaient à la tête le volumineux dossier que je leur ai remis pour la signification aux intéressés en pleine action criminelle du complot contre la sûreté de l’État, visant d’empêcher d’apparaître devant la justice les noms des auteurs de la Haute trahison de la France avant la Deuxième Guerre mondiale, crime contre l’humanité prémédité à la purification raciale, après les Juifs les français pour repeupler la France par des « surhommes » Teuton. (Himmler cité). Dès le rétablissement de la situation légale, j’exercerai les voies de recours contre les auteurs prévaricateurs et ces procédures paralysées par la concertation des traitements dégradants à mon encontre, des tortures, empoisonnements, exactions fiscales combinées avec des harcèlements jour et nuit organisés avec des crétins et abrutis instrumentalisés, harcèlements par les selectes salonards, commanditaires et jouisseurs des charmes de leur suceur des bites, du « juge rouge » Jacques Bidalou.

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Avec mon branchement sur internet, avec les publications sur huit bJuge exécution, réceptionlogs des fournisseurs différents, ces sales d’affaires d’État sont sorties de l’ombre, on fait le tour du monde. Mes savantes constructions juridiques ont fait école. De jour en jour mon prestige s’agrandissait. Alors pour me livrer à la hargne des juges militants de l’extrême-droits du Tribunal de Grande Instance de Bobigny, en 2014 un ingénieur provoquait par un artifice technique dans la copropriété un nouvel attentat dégradant contre Tampon Cour Adm d'appel 13 sept 2000ma personne. Le montage des excréments de la copropriété du sous-sol dans mon appartement au premier étage à travers du tuyau d’évacuation de l’eau de la douche. L’attitude insolente des copropriétaires, m’obligeait à des importantes dépenses par l’intervention d’une entreprise de désengorgement le dimanche. Devant le refus insolent des copropriétaires du remboursement des frais avancés pour l’entretien des parties communes, il ne me restait plus de saisir le Président du Tribunal de Grande instance de Bobigny par la procédure de référé prévu à cet effet. Pour me régler le compte en organisant l’expropriation de mon appartement, ce juge prévaricateur initié m’attendait déjà à pieds ferme, car un des copropriétaires est avocat inscrit au barreau de son tribunal.

Mais, sous-estimant mes capacités académiques, l’attentat dégradant tournait court. Devant le blocage criminel de la procédure sous l’égide du procureur de la République, j’ai tout simplement transformé le référé simple en référé-provision de l’avancement du payement des énormes dommages et intérêts qui me sont dû. Jamais cette revendication a suscité la moindre contestation, ni de son bien-fondé, ni son équitable taux impressionnant. Devant l’obstruction criminelle de la justice par les huissier de justice, le président du tribunal d’instance, même ses greffiers, avaient été obligés, sous peine de sanctions pénales, de transmettre ce dossier au procureur de la République pour qu’il soit mis immédiatement fin aux crimes en cours relevant de la sûreté de l’État.

L’huissier de justice, le procureur, le président, tout ce beau monde distingué se moquait de ce savant juriste Dietrich combattu avec succès devant l’ONU paralysé par une meute de super-avocats se targuant publiquement de leurs faramineuses rémunérations d’un million dollars heures, de la facturation à au moins quatorze heures/jours. Mais devant le développement spectaculaire de la situation, plus tellement rassuré de l’impunité coutumière, le preux président du Tribunal de Grande instance de Bobigny, au lieu de dénoncer l’activité criminelle des huissiers de justice au procureur de la République, ce prévaricateur défendait à sa greffière en chef de recevoir dorénavant mes nouveaux actes de procédures, toujours plus compromettants.

Pour la gente judiciaire, j’étais un moins que rien avec ma science édifiante dans mon isolation du combattant spartiate. Tenu à l’abstinence par mes commanditaires, il me manquait cruellement la présence d’une alliance féminine. Dans le beau monde, personne ne s’est attendu que je finissais en « poète » de draguer la célèbre diva Elina Garança dans la lointaine Lettonie, séduire la plus merveilleuse cantatrice parmi les étoiles d’opéra ; de l’en convaincre de venir à mon secours par une des plus périlleuses associations dans la lutte pour la conservation de l’intégralité de l’humanité menacée par des funestes menées secrètes des paranoïaques hallucinés des sectes, des Illuminatis pervers des sociétés secrets instrumentalisés par les spéculateurs de la grande finance internationale syndiquée pour en tirer des bénéfices astronomique, comme par le montage de la Deuxième Guerre mondiale..

Avec le rayonnement de son sublime aura féminin captivant, associée à ma science du juriste top niveau devant l’ONU, la procédure de référé-provision tournait au cauchemar international pour la coalition criminelle des fonctionnaires jugeurs français, avec leurs intouchables comptes secrets en Suisse, Luxemburg, Monaco…, « concertant contre la loi et contre l’exécution des lois », au profit de toutes la mafias qui les en récompensent. La grande finance internationale, en versant aux terroristes exaltés plus d’un millions de dollars par jour, suscite l’attentat meurtrier du vendredi 13 novembre 2015, sans qu’ils soient poursuivis par la justice de la complicité pour « aide et assistance, instigation et fourniture des moyens », selon les termes précis de la loi pénale en France. Loi appliquée sans ménagement aux petits délinquants du droit commun pour retenir l’emprunt de la criminalité des auteurs principales, en l’espèce réalisé des compagnies pétroliers, banques, industriels…leur achetant pétrole, ciment, antiquités hors-prix, leurs fournissant le soutien des médias par la diffusion ses fausses nouvelles et de l’intox, manipulatrice de l’opinion, la logistique aux brigandages, assassinats de masse, vole et pillage des biens publiques et privés, tortures, rapt, viols et proxénétisme esclavagiste des enfants, chantage, extorsions, trafics en tout genre etc. etc.

Pourquoi se gêner avec cette justice complaisante des vendus corrompus jusqu’à la moelle ? Début 2016, le président de la République François Holland, par la prolongation de l’État d’urgence, a empêché par ses service secrets au parfum, ‑ avec mon rapt « médicalisé » ‑, le massacre en plus grand de la gracieuse Elina Garança avec toute sa compagnie d’artistes à l’Opéra nationale de Paris. Les services secrets se sont débrouillés de faire intercepter le chargement armes et explosifs par la police de Muniche en Allemagne. Ainsi, le service secret a soustrait l’affaire des corrompus de la magistrature française vermoulue, avec leurs distinctions de la Légion d’honneur, leurs comptes secrets à l’étranger, approvisionné par des pots-de-vin des gangsters, mis à l’abri des poursuites judiciaires par leurs forfaitures intéressées, par des anéantissements sadiques des plaignants par des crimes d’escroqueries judiciaires à l’aide des falsifications de toute nature. Par la force incantatoire de la magie du lyrisme de la captivante voix de la merveilleuse diva Elina Garança, le secret bancaire risque bien de sauter avec les qualifications judiciaires congrues de complicité aux tueries en séries des instruits gênants, assassinats de masses allant jusqu’aux crimes contre l’humanité…

En 2014, avec cette association audacieuse, au risque et péril de son existence et celle de sa famille, de la sublime cantatrice d’opéra de renommée internationale, la magnifique diva lettonne Elina Garança, m’a remis sur les rails judiciaires par le rétablissement de mon crédit et de mon honneur. L’association judiciairement déclarée Dietrich&Granca13, une association crée de faite, est une personne morale légale du droit privée dont je suis le gérant. En attendant que Elina Garança, mon providentielle associée intervient personnellement par ses avocats après le déverrouillage de la Justice, je représente ses intérêts à travers cette association dans ces procédures judiciaires.

À son tour, depuis cette salvatrice association, en star de la renommée internationale, la rayonnante diva Elina Garança défend avec constance, par ses prestigieuses représentation dans le monde entier, mes intérêts, ‑ à savoir ceux de la France ‑, dans ma lutte contre le crime internationalement organisée. Ma défense mondiale de la féérique manière de l’élégante noblesse de la gracieuse cantatrice Elina Garance est certainement bien plus respectable par la justice que les procédés de fripouilles de la défense rouée de ces criminels de haute volée « syndiqués » ; de la pernicieuse défense souterraine et dans les coulisses de leurs intérêts criminels par le trafic d’influence suborneur et corrupteur d’une meute de ces légendaires super-avocats rémunérés à un million de dollars heures, facturant au moins quatorze heures/jour, se déplaçant en luxueux jets privés valant au moins cinquante millions dollars.

À partir mes revendications incontestées, imposées par le droit fondamental de l’équité judiciaire, de l’indemnisation au double des fraudeurs et saboteurs, à savoir deux millions dollars heures, se doublent au profit de mon providentielle associée salvatrice Elina Garança. La coupure de l’électricité d’extorsion et rétorsion m’a interdit la publication sur son site Web Instagram mes commentaires qui font l’admiration dans le monde entier et qui lui procureront sans doute le Prix Noble du Chant de de la Musique. (Dès que l’électricité sera rétablie, je proposerai à ma merveilleuse Fée salvatrice, à mon Ange protecteur Elina Garança, un contrat d’association d’artistes pour l’enregistrer à la préfecture et le publier dans un journal d’annonces légales).

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Les obstructions criminelle depuis 2014 de la procédure judiciaire du référé-provision par les crimes du grand banditisme en bande organisée d’une « coalition des « fonctionnaires », (au sens large de la loi pénale du terme), « concertant contre les lois et contre l’exécution des lois », je les ai signalées périodiquement par courrier électroniques et sur les sites internet (Facebook, Twitter, YouTube…) aussi à la Chambre nationale et la Caisse de Garantie des Huissier de Justice. Ces petits malins initiés me connaissent comme le loup blanc lancé contre leur truanderie des cours des Miracles par les services spéciaux de l’armée ; me redoutent déjà depuis mon expédition armée contre l’huissier prévaricateur à Toulouse en 1981. Complaisamment par l’esprit de solidarité entre malfaiteurs initiés, ces autorités disciplinaires, tous, ont délibérément manqué à leurs obligations légales de prêter assistance à des personnes en danger, de dénoncer des crimes et délits enfin de limiter leurs effets dommageables à l’ordre public et à des victimes par le crime de « la participation aux crimes et délits qu’ils étaient chargés de surveiller ou de réprimer ».

 Répétons-le, selon la jurisprudence de principe citée de la Cour de cassation, il ne s’agit pas d’une abstention, mais d’une action pénale consistant dans le refus de ce qui leur est ordonné par la loi, par une belle série articles répressifs du code pénal. Dès 2014, lorsque ces autorités, (des particuliers ou sociétés), de surveillance de la corporation des huissiers de justice de la légalité des activités, sont totalement et sans restriction responsables des dommages suscités à la collectivité et aux particuliers lésés ;  dommages qui se sont produit depuis, même si l’envergure colossale dépassait leur imagination des esprits rabougris par la méchante routine des prétentieux lâches incultes, des minables pourris parjures, souvent hautement décoré de leurs forfaitures.

Par ces motifs, explicitement et implicitement exposés au Président du Tribunal de Grande instance de Bobigny en sa fonction de juge de référé-provision depuis 2014, j’amplifie mes précédents revendications aux imputations aux maître Frank Sezenik, Huissier de Justice, Syndic de la Chambre départemental des huissiers de justice, contre X de la Chambre nationale avec la Caisse nationale CNHS des Huissier de Justice et la Caisse nationale des Huissiers de Justice comme suite :

–          Un deux fois un million d’euros par heure en indemnisation des coupures de l’électricité de l’extorsion et rétorsion depuis vingt heures du 13 septembre 2018 au profit de moi et de notre association crée de fait Dietrich&Garanca13, domicilié à 80 rue Voltaire, 93120 La Courneuve.

En présence de la continuation de l’obstruction criminelle de la justice persistantes par les huissiers de justice hors-la-loi, sous l’égide du procureur de la République intéressé, statuer par simple ordonnance sur requête en convoquant à l’audience les intéressés par le greffe avec des notifications postales, comme il en avait l’obligation légale déjà en 2014, sous peine des sanctions pénales : de la « dégradation civique », pénalité vite abrogée dans le Code pénal par les parlementaires effrayés depuis que j’ai revendiqué l’application au prévaricateurs, conformément à l’article 7 de la Déclaration des Droits de l’homme de du Citoyen de 1789, Préambule de la Constitution.

Le professeur de l’École de l’Haute Étude et professeur de l’université de Vincennes Serge Fuster, président de chambre d’une cour d’appel, sous son pseudonyme « Casamayor » résume ce complot contre la sûreté de l’État avec la participation déterminante de la gent judiciaire: « Faire de la lèche au dernier Attaché de Cabinet d’un ministre, calomnier un collègue pour prendre sa place, mendier une distinction, une promotion, une affectation, soutenir le contraire de ce qu’on pense, tourner autour du pot, pratiquer l’abstention chaque fois qu’elle est possible et l’action chaque fois qu’elle est conforme aux désirs des chefs, c’est se conduire en digne et loyal magistrat ».[3]

Peter Dietrich

[1] BERTRAND Jacques, « Képi blanc contre col blancs. Vers un jugement exemplaire ?» La Dépêche du Midi du 16 janvier 1981.

[2]Le Meilleur du 29 octobre 1982 : « Dietrich est une victime. Le procureur Rabastens l’a répété ».

[3] Casamayor.  « La mystification ». Ed. Gallimard, 1977, p. 30.

Elina Garanca 00 One word from you cold ease all my pain

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