Illuminatis comploteurs contre la sûreté de l’État en guerre psychologique pour les « gangsters d’État », usurpateurs du gouvernement.
Quand vous aurez enfin cessé de me faire chier avec vos gros navets laxatifs, glanés au Disneyland !
Nietzsche par Zarathoustra : « La vérité qui ne s’insinue qu’en des fines oreilles, (les mouches de la place publique, la populace), il la nomme mensonge et néant. En vérité, qu’il n’a foi qu’en des dieux qui dans le monde mènent grand tapage. […] À l’écart de la place publique et de la renommée se fait tout grand œuvre ; à l’écart de la place publique toujours vécurent ceux qui inventent des nouvelles valeurs. […] Oh mon ami, fuis dans ta solitude ; des mouches venimeuses je te vois assaillie. […] Que rien en conte, ne rien vous endoctrine. […] Vous les hommes supérieurs, voici ma leçon : sur la place publique personne n’accorde créance aux hommes supérieurs. […] Vous les hommes supérieurs, fuyez la place publique !».

22/08/2019. Prologue diffusé à toutes les autorités judiciaires et politiques.
Avec en Préambule de la Constitution de la Déclaration des droits de l’homme et du Citoyen de 1789, la situation légale n’existait plus en France, comme le témoignaient tous les révoltants scandales étouffés.
En 1981, par la ratification du Pacte international de droits civils et politiques, Mitterrand a cherché de faire rétablir la situation légale en déverrouillant la Haute Cour de Justice 1958. « Tous sont égaux devant les tribunaux et cours de justice ».[1]
Avec la soustraction de la Haute Cour de Justice de ma justification par la légitime défense, par l’arrestation illégale en 1981, selon l’article 55 de la Constitution, ‑ plaçant l’article 14 du Pacte au-dessus de la loi ‑, la totalité des institutions judiciaires fonctionnaient en totale illégalité constitutionnelle pour soustraire les plus dangereux criminels à la justice, pour les faire prospérer même. Voilà comment on a progressé jusqu’au génocide au Rwanda.
[1] La ratification du Pacte a rendu caduque l’ordonnance de 1959 sur la saisine et le fonctionnent de la Haute Cour de Justice, selon l’article 55 de la Constitution. L’autorité supérieure du Pacte à celles des lois faisait fonctionner le Haute Cour de Justice, et aussi la Cour de Justice de la République, en totale illégalité constitutionnelle. Or, seule la Haute Cour de Justice a été légalement compétente en 1981 de juger ma légitime défense contre des membres du gouvernement et leurs complices complotant ouvertement contre la sûreté de l’Etat. Le Pacte imposait mon passage devant la Haute Cour de Justice selon la procédure pénale du droit commun. Pour obtenir réparation de mes préjudices, il ne me restait que de forcer l’ouverture de la Haute Cour de justice là où les comploteurs contre la sûreté se manifestaient.
DIETRICH : jusqu’au bout de ses idées… Avec la merveilleuse chanteuse Elïna Garanča.
Les universités françaises ont refusé à Peter Dietrich de présenter une thèse de doctorat. À présent, Elïna Garanča obtiendra une thèse de doctorat honoris cause d’une des plus prestigieuses universités… le Prix Nobel… la Médaille militaire, car à la demande de son amoureux Peter, elle refusera de se faire décorer Chevalier de la Légion d’honneur.

Président Serge Fuster, (Casamayor), Magistrat, professeur de l’École des Hautes études, professeur de l’Université de droit de Vincennes. « Faire de la lèche au dernier Attaché de Cabinet d’un ministre, calomnier un collègue pour prendre sa place, mendier une distinction, une promotion, une affectation, soutenir le contraire de ce qu’on pense, tourner autour du pot, pratiquer l’abstention chaque fois qu’elle est possible et l’action chaque fois qu’elle est conforme aux désirs des chefs, c’est se conduire en digne et loyal magistrat » Casamayor. « La mystification ». Ed. Gallimard, 1977, p. 30
Article 183 du Code pénal 1810, abrogé par ces coupables après l’exigence d’application à eux par le juriste d’attaque Peter Dietrich : « Tout juge ou administrateur qui se sera décidé par faveur pour une partie, ou par inimitié contre elle, sera coupable de forfaiture et puni de la dégradation civique ».
Répétons-le aux sourdes oreilles, je refuse de me plier aux pressions des Illuminés superstitieux. Ces hallucinés voient dans le thème astrologique de ma date de naissance, marqué du chiffre magique 12, et de ma ravissante Muse inspiratrice et mon Ange sauveteur Elïna Garanča, marquée au fer rouge du chiffre 13, la force surnaturelle pouvant produire par mes exposés explosifs le prochain vendredi 13 septembre, ou un miracle bienfaisant, ou une catastrophe humanitaire. J’ai suffisamment mis en danger de mort ma divine associée, et toute sa famille, par mes exposés judiciaires de cette veine, instituant au surplus ma sublime Fée salvatrice Elïna Garanča en mon héritier testamentaire universel.
Pour organiser la prophétie du tournant de l’histoire, il doit bien encore trouver quelques magistrats intègres parmi la bande des malfrats parjures, malfaiteurs associés, placés à tous les leviers de commande de l’institution pourrie de haute en bas d’étage par le trafic d’influence corruptrice des légendaires « gangsters d’État » du régime. Pourrie jusqu’au Conseil constitutionnel, du Conseil supérieur de ma magistrature, comme le démontrent sans équivoque mes actions judiciaires sabotées depuis bientôt cinquante ans ; sabordées par des prévaricateurs décorés pour leurs forfaitures des plus hautes décorations de la Légion d’honneur, escrocs soudoyés par des pots-de-vin versés en douce sur les comptes secrets dans des discrètes banques étrangères.
Les hallucinés de la numérologie des sciences occultes, attachent aussi une vertu magique au chiffre 22, attesté par le célèbre dicton suggestif VINGT DEUX LES FLICS ! Allez ! Allez ! les vaillants gardiens de l’État de droit, des droits fondamentaux, des droits de l’homme. Diplômés de l’École nationale de la magistrature, ou d’École nationale de l’Administration, si vous avez besoin d’un soutien scolaire, faites comme moi en infirmier-major en Afrique : suivez un cours de droit par correspondance de la Revue Militaire.
20/08/2019. Quand vous aurez enfin cessé de me faire chier avec vos gros navets laxatifs, glanés au Disneyland !
Nouvel éclairage sur votre carnaval judiciaire dénoncé en 1981 par le Magistrat, professeur de droit de l’université de Vincennes et de l’École des Hautes études de Paris, Serge Fuster, sous le pseudonyme « Casamayor », dans le trucage de la totalité des grandes affaires de coloration publique.
« Aucun des magistrats qui ont défrayé la chronique des scandales parisiens n’est passé devant le Conseil supérieur de la magistrature. Le corps tout entier se sent trop atteint par les grands manquements pour en donner acte. […] Et dans lesquelles l’avocat ne sert à rien. […] La cour de cassation a jugé tout récemment que la faute professionnelle commise par le procureur qui avait laissé poursuive une procédure viciée ne comptait pas. On ne l’a pas puni, on lui a donné un avancement. […]La partie civile disposait, en débit de l’inaction du ministère public, des voies de droit lui permettant de faire obstacle à l’accomplissement de la prescription. […] Protester contre des jugements dont l’iniquité saut aux yeux de tous, ce n’est pas porter atteinte à la justice, c’est ceux qui rendent ces jugements qui lui portent atteint ! »
20/08/2019. Dans mon appartement transformé en chaudron électronique par des sociétés secrètes, mes écritures sont surveillées et espionnées au fur et à mesure de leurs évolutions. La motivation de mon référé-provision, enregistré le vendredi 13 novembre 2015 au TGI de Bobigny et communiqué à l’ONU, aurait dû déclencher un super-scandale médiatique international. Les puissantes sociétés secrètes se sont ménagé un écran de fumée médiatique par l’attentat meurtrier de 131 morts à la salle de concert Bataclan à Paris. Symbolique, en signe d’avertissement, Mademoiselle Sylvie Dietrich y a été massacrée.
Lorsque j’ai continué à disserter aux juridictions sur les détails du complot dénoncé, le début janvier 2016, les comploteurs cherchaient de remettre ce massacre Bataclan au plus impressionnant à l’Opéra national de Paris pour massacrer Elïna Garanča et toute sa compagnie d’artistes. Les services secrets du président de la République l’ont déjoué, ont fait intercepter la cargaison d’armes et d’explosifs par la police de Munich en Allemagne pour soustraire l’affaire aux juges françaises et pour aménager à Elïna Garanča une magnifique représentation devant la Cour d’assises de ce lieu.
Il ne faut pas compter sur moi que je continue de jouer les jeux de la fantasmagorie morbide de l’astrologique et de l’ésotérisme des sciences occultes des sorciers et mages fanatiques pour mettre en danger, avec mes exposés judiciaires ultra-explosifs, ma divine associée et héritière testamentaire Elïna Garanča, et avec elle toute sa famille. Ces sociétés secrètes sont assez puissantes pour les atteindre et éliminer à n’importe quel lieu dans le monde.
Nouveau Testament de Satan des Illuminatis pervers attribué au Chanoine jésuite Adam Weisshaupt, professeur en droit :
– Il est une espèce de bonnes gens qu’on appellerait bêtes, mais à qui il ne faut pas le dire, parce qu’on peut tirer quelque avantage de leur sottise. (Valorisez les crétins pour écraser les élites).
– Il faut combattre les fortes personnalités qui sont le plus grand danger. Si elles font preuve d’un esprit créatif, elles ont plus d’impact que des milliers d’hommes laissés dans l’ignorance.
– Le premier secret pour diriger les hommes et d’être maître de l’opinion publique est de semer la discorde, le doute et créer des points de vue opposés, le temps nécessaire pour que les hommes, perdus dans cette confusion, ne s’y retrouveront plus et soient persuadés qu’il est préférable de ne pas avoir d’opinion personnelle quand il s’agit des affaires de l’État ». (Adaptation de la vieille maxime des empires romains : ″ Diviser pour régner″.
– Le deuxième secret consiste à exacerber les faiblesses humaines, toutes les mauvaises habitudes, les passions et les défauts jusqu’à ce que règne une totale incompréhension entre les hommes. […] Il faudra déshabituer les hommes à penser par eux-mêmes : […] on occupera leur esprit à des joutes oratoires qui ne sont que des simulacres […] jusqu’au moment où les hommes en seront tellement lassés qu’ils perdront en dégoût tous les orateurs, de quelque bord qu’ils soient ».
– Il faudra choisir les futurs chefs d’État parmi ceux qui sont serviles et soumis inconditionnellement aux Illuminés et aussi parmi ceux dont le passé est entaché d’un coin de secret. […] Ainsi, il sera possible aux Illuminés de contourner les lois et de modifier les constitutions ». Cela a été réalisé par les montages des affaires commentées par mes e-mails aux autorités judiciaires et politiques.
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23/08/2019. Illuminatis comploteurs, Bidalou, Hallier, Pasqua et Co en guerre psychologique pour les « gangsters d’État », usurpateurs du gouvernement.
Ce n’est que par les révélations en 2015-2016, lors de mes études de belligérants politiques, en matérialiste, je suis devenu enfin conscient de ce que signifie le thème astrologique de ma malheureuse date de naissance, associée aux constats psychologique experts dans mon enfance de mon intelligence supérieure.
À partir de ces révélations scientifiques nouvellement acquises, toutes mes mésaventures dans la vie ont acquis leur véritable signification, car j’étais à mon insu réduit qu’a un jouet des sociétés occultes qui se disputaient ma domination. Cela essentiellement après que les services secrets de l’armée m’ont lancé contre le complot international contre la sûreté de l’État de la France. Tantôt manœuvré, tantôt manipulé en figurine impuissante, tiraillé à gauche à droite, je finissais de voir enfin un peu plus clair dans ce subtil jeu infernal sur l’Échiquier du Diable. Le pires des invraisemblances s’imposaient à l’esprit comme l’évidence.
C’est la merveilleuse cantatrice Elïna Garanča, par son irrésistible charme, a réussi de me délivrer du sortilège de la magie noire qui me tourmentait. À la lumière actuelle, mon arrestation illégale manigancée par les sociétés secrètes à Castres en 1981, la paralysie de mes actions télécommandées, peut, sans exagération, être légalement qualifié « crime contre l’humanité ».
1° – Sur la question préjudicielle préalable des poursuites des informations sur le complot international contre la sûreté de l’État de France :
La continuation de la procédure à Castres en ma présence, et, éventuellement, avec « défenseur de choix » (PIRDVP de l’ONU), mon ange sauveteur, la merveilleuse cantatrice Elïna Garanča.
Art. 14-3° du Pacte international relatif aux droits civils et politiques de l’ONU : « Toute personne accusée d’une infraction pénale a droit, en pleine égalité, au moins aux garanties suivantes : b À disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense… d À être présente au procès et à se défendre elle-même…» En pleine égalité même avec les représentants du ministère publique, des procureurs, des avocats de l’État !
Après avoir dénoncé publique, en candidat forcé aux élections législatives en 1981, les forfaitures dirigées par le Procureur général de Toulouse Henri Jeantin, son larbin Jean-Louis Villemain mis en cause pour forfaitures criminelles, Vuillemin m’a cité directement au tribunal correctionnel de Castres pour outrage à magistrat. J’expliquerai ci-dessous en détail les rouages scénarisés de la machination avec le « juge rouge » Jacques Bidalou et ses associations de simulateurs.
Malgré les conjurations des policiers de Toulouse, – si vous vous rendez dans le traquenard à Castres, vous ne revenez plus jamais, ensorcelé par les promesses de l’héroïque magistrat Bidalou et son preux capitaine parachutiste du 1er choc, l’expert-comptable Jacques Belhomme, de me défendre à la une grande conférence à Toulouse qui devant se tenir quelques jours après je me suis plié à cette citation directe manifestement illégale. J’ai préparé un dossier pour soutenir à l’audience publique devant l’amical journaliste Yves Monié les détails irréfutables de la compétence territoriale doublement violée par des ostensoirs forfaitures provocatrices.
Paradant devant les gendarmes gardant le palais de justice de Castres, visiblement armé de mon pétard gros calibre, j’aurais dû être arrêté avant de franchir la porte du tribunal. Ils ont eu la consigne de me laisser passer, car, pour les journalistes, un autre scénario été organisé dans la salle d’audience par le procureur de la République Jean-Louis Villemin. Avec mon gros pistolet de guerre P 38 9 mm parabellum, j’ai été seulement arrêté à l’audience par de rudes policiers en civile, y embusqués, sans pouvoir présenter oralement ma défense exposée par écrit pour le président de l’audience M. Larnant* et le substitut du procureur de la République Philippe Laflaquière. « Pas d’avocat pour Peter Dietrich qui entend se défendre tout seul », rapporte le journaliste. (Inexacte. C’était d’abord une dame enceinte). « Excusé valablement, on le récitera », c’est réjoui le président devant le journaliste. « Valablement ? Vous avez de ces mots… », s’en est gaussé de mon arrestation le substitut.
Le dossier présenté avec mes moyens justificatifs tirés de la violation de la compétence légale depuis des années pour couvrir des combinards : leurs escroqueries immobilières et des travaux publics ayant défrayé la chronique judiciaire et journalistique, cité par aussi par les dénonciations de « Casamayor » contre lesquels l’armée m’a manœuvrée. Ma neutralisation a permis aux escrocs de haute volée de continuer leurs juteuses combines, a ruiné encore des milliers de familles, par la désintégration psychologique calculée, a poussé les plaignants au suicide ou à la folie meurtrière. Je retrouvais des années plus tard les combinards avec l’ancien ministre de la Défense dans le scandale mafieux de la construction du Port de Fréjus. Au Mans, l’Église scientologique m’a subtilisé les dossiers mettant en cause le regretté député de Toulouse Dominique Baudis en combine avec l’ancien ministre de la justice Pierre Méhaignerie.
Le dossier justificatif de ma légitime défense contre des actions criminelles d’une authentique association de malfaiteurs, conjurés comploteurs englobant des magistrats de l’ordre judiciaire, passe au juge d’instruction François Duguet. In ne voulait absolument rien en savoir. Le premier acte d’instruction aurait dû se fixer sur la provenance de l’arme et de la munition. Or, à l’université de Toulouse, et à mes déplacements à Castres, au vu et au su de tout le monde pour la dissuasion, je portais cette arme dans un étui au dégainement rapide au gros ceinturon des parachutistes.
À l’arrestation après ma fusillade chez les huissiers à Toulouse, la police judiciaire du commissariat Rémusat de Toulouse, inspectait mon appartement. Bien que mon pistolet ait été étalé devant eux, ils ne m’ont pas confisqué. Ils savaient au premier regard que la munition réglementaire provenait du dépôt du 8° Régiment parachutiste de l’infanterie marine stationné à Castres. Et si le juge d’instruction Duguet, c’était un tout petit peu intéressé à la provenance de mon pistolet, ses investigations auraient conduit tout droit à un officier supérieur de ce régiment des durs.
Mais ce traquenard a été organisé de longue haleine à Montpellier avec la cuisinage judiciaire et journalistique du « médecin colonel », professeur agrégé du prestigieux hôpital Val de Grâce de Paris. Couteau à la gorge, il ne lui restait plus de m’assassiner par une expertise psychiatrique ou de se faire assassiner judiciairement par la magistrature aux abois et son délicat collègue, professeur de psychiatrie à l’université de médecine et membre du Rotary club, excitant tous les étudiants à la révolte contre Savelli accusé d’avoir couvert l’assassinat sadique d’une jeune fille mongolienne par un ancien aumônier notoirement irresponsable. À cette psychotique atteinte de longue date de la paranoïa galopante a été confié un établissement hébergeant des jeunes filles atteintes de la trisomie. Mais étant un ancien héros de la Deuxième Guerre mondiale, le pauvre Dr Savelli a été totalement désarmé devant les extravagances de ce saint consacré, ce détraqué fou à lier.
Évidemment, la poursuite de la procédure de ma citation directe ne pourra pas se poursuivre avant qu’il soit fait droit à demande devant la Commission d’indemnisation des arrestations illégale à Paris. La procédure exige que me soit communiquée la copie de la totalité de l’intéressante procédure d’instruction du juge François Duguet. Contrairement ce qui écrit le journaliste Yves Monié, les traitreux pleutres de l’association de défense ont été attendus, cuisinés. À ces pitres, cherchant à se mettre en scène en les plus importants à l’audience en m’éclipsant devant le journaliste, a été extorqué des faux témoignages, des désaveux, des dénigrements, des diffamations, sous la menace de se faire arrêter avec moi en complices des tentatives de meurtres des magistrats. Ensuite, à la conférence clownesque de Toulouse, leurs promesses données à la veille de mon départ à Castres ont trahi, seule le « juge rouge », pour rendre courage à l’association perturbée par les menaces d’arrestation, a eu un petit mot pour moi : l’arrestation de Dietrich est illégale.
2° Les manipulations subversives du cercle des Illuminatis pervers sous « capitaine » Jean Edern Hallier, journaliste ordurier et écrivain désaxé, devenus à Castres fatal au juriste calé Peter Dietrich.
Jean-Edern Hallier, bisexuel se définissant lui-même en « petit pédé », est le fils d’un colonel nazi, membre du corps diplomatique du régime ultra-collaborateur du Premier ministre du gouvernement de Vichy Pierre Laval, trop hâtivement fusillé à la Libération. Il se pose toute naturellement la question de la provenance des millions de son riche fils Jean Edern dégénéré. Invalidé pour servir dans l’armée par la perte d’un œil, myope de l’autre, en face de son père, Jean-Edern Hallier est pris du complexe de minorité qui comptait de compenser par sa cooptation par l’Académie française. C’est dans le domaine politique, les médiocres peuvent réussir. Hallier s’est spécialisé dans la littérature pamphlétaire et du journalisme ordurier, en reporter du journal communiste HUMANITÉ. Il a repris l’hebdomadaire L’IDIOT INTERNATIONAL du réputé écrivain gauchiste Jean-Paul Sartre, pour s’approprier insidieusement de l’éclat de son prestige. Hallier finissait sa vie en propagandiste nazi, expiant d’une crise cardiaque sur son vélo entre les poubelles d’une rue de Paris.
Le général Charles de Gaulle échappait à l’emprise du grand capital selon la littérature spécialisée. Au surplus, le traître lors de la Deuxième Guerre mondiale manquait à ses engagements à l’égard des nazis qui ont financé son ascension politique, de restaurer la monarchie avec son ministre Valérie Giscard d’Estaing. Pour comble d’horreur, ce vieux général en perdant la raison, cherchait de supprimer dans la constitution le Sénat conservateur, par lequel le général traître Bonaparte de la Premier République française, s’est fait légaliser en Empereur Napoléon I.
Le cercle des Illuminatis sous le commandement de leur « capitaine » Jean-Edern Hallier, comme il se définissait s’est mis à la tâche de déstabilisation par la subversion. Excitant à la révolte les jeunes étudiants universitaires, sous sa fausse couleur de journaliste communiste, à la révolte du mai 1968. Le général Charles de Gaule déboulonné, céda sa place au grand banquier Georges Pompidou. Le Sénat était sauf.
Aux élections présidentielles de 1981, Hallier a misé sur François Mitterrand, espérant par sa campagne journalistique de dénigrement de ses adversaires d’obtenir la direction d’une chaîne de télévision. Comme tous les écrivains, le sournois savait qu’on ne peut percer dans la littérature jetable sans la télévision. Pour accréditer ses calomnies, pour s’entourer d’une cour de justiciables enragés, il s’est servi du titre de magistrat de sa petite tapette Jacques Bidalou. Insignifiant juge d’instance, par une forfaiture Bidalou s’est immiscé dans une grande affaire médiatique, s’est fait suspendre de la magistrature par le ministre de la justice Alain Peyrefitte, du Rotary club.
En dehors de quelques Illuminatis initiés, personne ne comprenait rien. Un collectif de la cour de cassation le taxait de magistrat mentalement perturbé. Mais par cette suspension de la fonction de juge, Bidalou est présenté par les médias en héroïque résistant contre la justice corrompue, a réussi, avec son avocat félon, le médiatique maître Verges, de me capturer à Toulouse avec mes affaires et mon redoutable pouvoir de la fantasmagorie de l’astrologie et des sciences occultes ignorés par moi, la puissance occulte de pouvoir changer le cours de l’histoire de mon malheur date de naissance et de mon intelligence supérieure.
Mais Mitterrand, sachant à quels pervers coquins qu’il avait affaire, lui refusait de ce cadeau. Fous de rage, le « petit pédé » se concentra dans une campagne de diffamation injurieuse contre le « traître » Mitterrand, publia le cinglant pamphlet « Mitterrand, ou l’honneur perdu ». Ce sournois Hallier s’est alors mis à flatter l’ancien ministre de la justice Alain Peyrefitte pour se faire coopter, grâce à son influence par les nazis et fascistes, à l’Académie française.
Dans ce jeu, Hallier tenait une puissante carte dans la manche : le juriste d’attaque Peter Dietrich qui le tenait en esclavage avec l’avocat Verges et son acolyte Bidalou. Après m’avoir manipulé dans l’abattoir psychiatrique pour servir la coterie politique de Peyrefitte, un de ses compères du journalisme, me conjurait sans vergogne dans la misère de ma niche à chiens dans la région parisienne : « Peyrefitte est maintenant un des nôtres. Si vous voulez refaire les manchettes de la presse, attaquez-vous à Mitterrand ».
T.F I, la télévision de l’escroc de haute volée Francis Bouygues, épargné des poursuites par la Haute de Justice avec son associé Albain Chalandon, ministre de la justice, a offert à Jean-Edern Hallier et à ses conjurés de la littérature, d’animer un feuilleton. Les plaintes pour diffamation et injures s’accumulaient contre Hallier. Lorsque le tribunal de grande instance de Paris s’apprêtait faire saisir l’appartement luxueux du millionnaire Hallier, situé dans un secteur select de Paris, son conseilleur Jacques Bidalou mobilisait toutes ses associations de défense des victimes de la justice. L’émeute dans le palais de justice des pauvres gens exploités sans vergogne par le journalisme pervers, a empêché la cour de statuer.
***
À Toulouse, totalement absorbé par mes études universitaires, comme s’est dans mes habitudes, je me suis isolé en solitaire pour ne pas être dérangé par des idées parasitaires. Lorsque les choses se sont commencées à gâter pour mon existence, l’inspecteur principal du commissariat de police Rémusat Bernard Biro, spécialiste dès la criminalité économique et financière, me dirigeait vers le journaliste Yves Monié du bihebdomadaire LE MEILLEUR. Monié a été un ancien du SAC et en a fa de la taule il connaissait les chansons par cœur.
Dans le compte rendu sur ma fusillade chez les huissiers du Rotary club, le journaliste a publié mon adresse près de l’université de droit de Toulouse. De fantasmes puérils de Belhomme, appart des parents des trois jeunes filles tuées par son fils qui le maudissaient, tout le monde se gaussait. J’ai analysé son affaire d’une banalité déconcertante. Raisonnablement traité, Belhomme aurait pu s’en tirer gagnant contre son adversaire du Rotary club, le président irresponsable d’un club de rugby, incitant les jeunes éméchés au bar à une course de voitures à travers de la ville de Toulouse pour gagner une bouteille de Whisky. Son fils, avec son petit Mini-Cooper, bidouillé, surchargé de trois nanas, s’est planté à fond de train dans un arbre. Quatre morts.
Mais le pauvre Belhomme est tombé dans les mains de la coterie du « juge rouge » Jacques Bidalou et de sa conjuration subversive. Il a monté la tête de cet ancien capitaine, comptable dans un régiment des commandos parachutistes, cherchant de le pousser à fabriquer avec des pires navettes , donner à son affaire l’éclat d’un scandale national : « L’affaire Belhomme, comparable à l’affaire Dreyfuss », lui a été suggéré malicieusement le slogan. Le capitaine Dreyfuss a été condamné pour trahison sur la base d’une expertise douteuse présente par un expert acharné nommé… Belhomme. Sans s’en rende compte, Bidalou et Verges l’ont rendu à la risée de tout Toulouse
Ainsi, dès que je mis mes pieds dans son cabinet de commissaire aux comptes et expert-comptable, attiré par son slogan, « L’unité fait la force », on commençait à le redouter. Nous nous sommes convenu qu’en échange de la clarification de l’embrouillamini du dossier sur l’accident de son fils, lui, l’expert-comptable, m’apportera ses lumières sur mon contentieux avec des réseaux de sociétés dont les combines défrayent la chronique judiciaire.
Belhomme, par la littérature spécialisée, a été informé en expert sur les méfaits des réseaux de sociétés immobilières ayant ruiné des milliers de familles. En expert, il connaissait la valeur marchand du dossier lui remis, l’énorme chiffre d’affaires réalisé par ces combinards mafieux. Mainte de ses confrères ils se sont compromis par des falsifications des documents et des bilans. À Castres, ces falsifications lui sont attestées par une expresse judiciaire de son confrère…. Mais au lieu de me fournir les formations nécessaires la mise un terme de ces sinistres, risquant de ruiner encore des milliers des gens, Belhomme flattaient bassement ses confères de l’ordre des commissaires aux comptes, mendiaient bassement des distinctions et décorations. Selon mon informateur, le pauvre homme aurait obtenu deux décorations. Belhomme, devenu de jour en jour plus fou, selon son épouse exaspérée, finit de crever sous l’effet du stress. Mais ceux qui l’ont fait décorer pour sa trahison, j’espère qu’ils attendent encore en vie ma note salé pour l’indemnisation des préjudice de leur trafic d’influence.
Les escrocs et imposteurs ont toujours une longueur d’avance sur leurs victimes. Ce bavard stupide, en contact téléphonique permanent avec Bidalou, se senti enfin devenu une personnalité importante avec l’association de ce juriste retaillé, se réjouissait des visites périodiques des policiers des renseignement généraux, venant aux informations. En se réjouissant de son cabinet truffé de microphones, il y réunissait le petit comité de son association pour me proposer de remettre au plus grand à Castres mon coup d’éclat chez les huissiers de justice à Toulouse.
À la veille de mon départ pour l’exception à Castres, nous nous sommes réunis dans son cabinet pour mettre au point la mise en scène devant le tribunal correctionnel de Castres. Je leur refaisais le cour de droit pénal : si vous diffusez vous tracts à cette audience dans laquelle je me présenterai armée, en coauteur ou complices, vous vous ferez coffrer avec moi. Nous risquons de disparaître ensemble de la scène. Fini votre grande conférence après le coup à Toulouse avec Bidalou . Pour ne pas faire changer l’idée, ils me juraient la main sur le cœur qu’aucun tract se sera apporté à Castres.
À peine rentré dans la salle d’audience du tribunal correctionnel, j’ai été solidement encadré par des solides gaillards en civile, s’asseyant à côté et derrière moi. Absolument impossible de faire la moindre geste pour toucher mon arme. Se ramenaient alors tout faraud, Belhomme, son lieutenant Germes et quelques-uns de leurs fidèles associés, diffusaient à pleines mains leur tract à la gloire de Bidalou et de Belhomme. Pas la moindre référence à ce Dietrich qui se sacrifiait à présent pour ces pitres, avec leurs dossiers pourris, cherchant l’éclipser devant les journalistes. Plus moyen de faire marche arrière. Menacé d’être arrêté avec moi « de la tentative d’assassinat des magistrats » le procureur de la République Villemin leur extorquait mon dénigrement, la désolidarisation et le désavoue de mes actions. En venant me visiter dans le maison d’arrêt d’Albi, Françis Germes répondait avec hauteur à mes reproches : L’adjudant, c’est fini maintenant. Je n’avais pas envie de retourner en taule avec vous. Lorsque j’ai dénoncé sa lâche turpitude dans mes blogs, il répondait sous l’acronyme de son association :
– Entrefilet de Françis Germes, sous couvert de l’acronyme de l’association de défense des victimes non consentantes l’ADEVI, envoyé le 18/09/2011 à 08:49 à Dietrich13.wordpress.com.
– « Internet -signalement est saisi pour relever la diffamation d’un Malade, interné à CADILLAC …incapable de comprendre le DROIT comme en démontre ses écrits. Aller au Tribunal avec un PISTOLET n’est pas acceptable et totalement contraire à la raison ».
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J’ai fait former pour Belhomme en président fondateur la CONFÉDÉRATION NATIONALE DES ASSOCIATIONS DES JUSTICIABLES. Lorsqu’il s’est rendu à Paris à la réunion des associations qu’il comptait de fédérer, le « pauvre homme » s’est fait mordre à la main par un jaloux furieux qui lui contestait la place du président. Bidalou, en fin psychologue, a repris et exploité l’idée génial du juriste Dietrich, laissant aux ambitieux la gloire de la présidence pour les manipuler selon la méthode du Nouvel Testament de Satan : Valoriser les imbéciles prétentieux pour écraser les élites en les manipulant par la basse flatterie de leurs ambitions démesuré. Il y est parvenu avec maestria par la création du Syndicat des justiciables. De ce syndicat, Jean-Edern Hallier se servait pour diffuser des infamies calomnieuses, accréditées par le titre de magistrat de son petit tapette Bidalou. Ce faux magistrat itinérant du noyautage ne savait pas écrire, n’en trouvait même pas le temps. Tous ses perfides insinuations prosaïques publiées ont été écrits par des professionnels de la littérature.
Lorsque j’ai été bien coincé dans cette association regroupant mainte créature louche doté d’une carte d’adhésion aux couleurs « victime de la justice », Belhomme, son lieutenant Francis Germes et d’autres associés influentes, me forçaient pour ainsi dire de me présenter en 1981 aux élections législatives dans la circonscription de Castres. Je me suis prêté à leur jeu sous conditions que je n’y verse pas un sou, je n’y consacre pas une minute et que l’association se charge de l’inscription et de la campagne électorale. Belhomme s’est chargé de rédiger le tract avec la profession de foi, conclu en salopard « Dietrich n’a pas d’amis ».
Mes deux seuls amis, dans la campagne électorale, les agriculteurs de Lavours, Louis et Odette Baylé, victimes d’une tentative d’assassinat par empoisonnement, se sont fait chasser par des militants du débuté-maire Jacques Limouzy du Rotary club. Mon propagandiste Louis Baylé s’est fait plus tard assassiner par une voiture, fonçant d’une chemin vicinal sur la route nationale, visant de lui rentrer dedans en plein fouet. Son épouse et la passagère s’en sont sorti vivantes. Mes avocats félons de Castres ont réussi d’étouffer l’affaire en le travestissant en simple accident de circulation.
J’ai tout de même profité du carnaval électoral pour diffuser en tract, ma plainte nominative contre les escrocs de haute volée qui m’ont ruiné encore dans une escroquerie judiciaire dans la procédure civile tournée au cauchemar. Le député-maire Jacques Limouzy, un grand amour passionnel de la tante milliardaire Fabre du puissant holding pharmaceutique, a perdu les élections. (Selon la commune renommée, le milliardaire Fabre aurait fait de son amant Limouzy, fils d’une humble femme de ménage, multimillionnaire).
Les jeux sur l’échiquier du diable se sont faits comme prévu. Le procureur, se servant de mon tract qui traitait lui et ses magistrats, connus comme tels par la commune renommée bien établie à Castres : d’une bande d’ordure. Mais ce qui n’a pas été prévu, c’est qu’une commerçante de Toulouse, Madame Hélène Panayotou, m’aida d’évader de la forteresse psychiatrique de Cadillac, me cachait pour que je lui arrange ses affaires judiciaires. Ils lui ont fait payer par l’assassinat de sa fille unique Carole, une jeune actrice du théâtre de Toulouse.
Hélène, victime d’une escroquerie, résistant vigoureusement au viol dans le cabinet de son avocat, ce maître félon dédaigné s’est arrangé d’envoyer sa cliente en prison avec ceux qu’ils l’ont escroqué, fit bloquer ses comptes en banque et mettre sous séquestre judiciaire son commerce pour le faire liquider ensuite par la justice. Et comme dans le droit fondamental de la France, la justice doit être égale pour tous, je réclame un traitement de pareille rigueur à celui qui a été appliqué à l’innocente commerçante Hélène Panayotou, traitement indispensable à la préservation des droits à l’indemnisation des victimes, pour commencer en exemple, à Valéry Giscard d’Estaing, à Jacques Chirac, à au clan Sarkozy, à Bernard Tapie….
Lors de mon épopée judiciaire dans la criminalité judiciaire, au temps où je me débattais contre les escroqueries judiciaires dans l’affaire Papon, l’ancien ministre des Finance Couve de Murville dénonçait la tenue de nombreux comptes secrets suspects par des détenteurs des pouvoirs publics. Cette année, le ministre des Finances a incité les détenteurs des comptes secrets tenus sur les banquets étrangers de régulariser leur situation fiscale par déclarations des magots camouflée. Toutes les opérations secrètes de la corruption se pratiquent à l’abri de la curiosité de la police, par des virements entre ses comptes secrets souvent remplis de l’argent sale.
L’inspecteur de police de Marseille Jacques Massié, franc-maçon, a réussi de pénétrer ces comptes secrets débordants de l’argent sale de tous les trafics, compta par les informations apporter de l’eau au moulin politique de la Haute Cour de justice de son frère franc-maçon, le grand maître François Mitterrand. Par l’instigation notoire des plus hautes personnalités placées dans le régime des « gangsters d’État, L’inspecteur Massié a été massacré avec toute sa famille, femmes et enfants, dans la tuerie d’Auriol. La boucherie sadique a été commandée par un ex-caporal, commando viré de la Légion étrangère, un individu maladivement sadique, rentré de l’Afrique en France. (Qui a été l’employer de ce spécialiste prisé en Afrique ? En France, il a été employé par une grande entreprise dirigée par distingué directeur du Rotary club. L’affaire a été soustraite de la compétence de la Haute Cour de justice par les bons offices imparables l’avocat félon Gilbert Collard. À l’aide de ses attraits médiatiques, il réussit à disputer la défense de la victime, une familière de l’inspecteur Massié, aux autres avocats. Un peu comme à Bourges par mon élimination dans l’affaire Aucouturier.
Un des plus grands magots découverts a été celui de l’ancien Premier ministre Raymond Barre, justiciable par la Haute Cour de justice en raison, dans une certaine période avoir supervisé toutes les crimes dont j’ai été victime. Je suis en droit de réclamer que les noms de ces détenteurs des comptes secrets me soient communiqués pour constater, ce qui me semble à l’état actuel, les noms des magistrats et ministres, suspects d’arrosage des pots-de-vin. Nous voilà aux sales draps de l’ancien ministre Éric Woerth blanchi de ses une vingtaines de comptes secrets sur les banques suisses ; le désistement injurieux de la juge d’instruction irréprochable Madame Isabelle Prévost-Desprez, par des magistrats complaisants de la Cour de cassation. Leurs escroqueries judiciaires, un sujet inépuisable.
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À présent, même si je n’ai même pas vraiment commencé de disserter, je dois m’arrêter en raison de ma sécurité et de la sécurité publique. Pour continuer, de sortir le plus étonnantes révélations, il faut que qu’avec l’indemnisation je sois en mesure, avec la restitution de mon permis de conduire, de me retirer dans l’isolation protectrice des justiciers exaltés des médias, et des armes électroniques d’une cave d’une maison individuelle en province.




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