L’extraordinaire diva Elina Garanča chante majestueusement LA REINE DU CIEL.
Avec une rare sublimité vocale, l’extraordinaire diva Elina Garanča chante majestueusement le cantique “Regina caeli, laetare, alléluia”, de l’Opéra Cavalleria Rusticana de Pietro Mascagni.
Ma douce Fée Elina Garanča, tu as ici un échantillon de ce que je compte d’exposer aux juridictions nationales et internationales dès que je serais en mesure de quitter mon appartement ici pour l’installer dans une maison individuelle en campagne. Pour dissimuler ce que je viens d’aborder ici, l’Église durant des siècles, exterminait des millions des hommes jusqu’à la Deuxième Guerre mondiale. Les fanatiques sectaires recourront à tous les moyens pour m’en empêcher la continuation de la divulgation des vicieuses falsifications de l’histoire et de la jurisprudence sous l’égide des mystères te ton rayonnant charme féminin.
Elina mon Ange sauveur, comme tu le sais, je suis marqué au fer rouge de l’astrologie ésotérique par le magique chiffre 12, marquant un tournant de l’histoire. L’apocalypse du Nouveau Testament selon Jean, se réfère à la magie du chiffre 12, symbole de la perfection de l’ange avec les 12 apôtres, dans la création d’un nouveau royaume, d’une nouvelle terre, d’une nouvelle réalité. Et, sous-entendu, si on y ajoute l’épouse chérie de Jésus, Marie Madeleine, cela devient le 13 maléfique qui fait tourner toute cette conjuration féminicide au vinaigre.
Les doctes pères d’Église ne se sont-ils pas enorgueillis d’avoir comptabilisé la purification par les tortures et le feu l’âme des cinq millions sages-femmes, n’ayant rien compris à l’écriture sainte exigeant que les femmes doivent accoucher dans la douleur. Sainte Thérèse, à cette époque, n’aurait pas eu le prix Nobel de la Paix. Avant de l’envoyer au bûcher, des pieux moines Dominicaines se seront occupés de la laver par leurs savantes tortures de sa vilaine apostasie de la providence divine.
Sans doute à des funestes vendredis 13 septembre ou vendredi 13 décembre, c’est à moi qu’ils vont se prendre à présent, avec des plus grands moyens, comme des légionnaires en uniforme du service de sécurité publique viennent amicalement me signaler devant ma porte dans leurs voitures officielles « Vigipirate ». Si je disparais, en ma seule héritière testamentaire, tu seras la propriétaire de mon appartement. J’espère que tu auras encore le courage d’y venir pour de te faire prendre en photo au milieu de mes sacs de frappe, de mes trophées, de mes livres, de mes ordinateurs.
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Par quels mystères des chants sacrés, divine Elina Garanča, dans l’Église des Femmes à Dresde en Allemagne, as-tu réussi de me délivrer du sortilège maléfique de ma date de naissance le 12 août 1938 ? Cette remarquable église des Femmes « Frauenkirche » n’est pas construite en forme de croix comme les Églises traditionnels, mais en forme circulaire, à l’instar les temples du culte du soleil, dont l’empereur romain Constantin I a été le grand prêtre jusqu’aux dernières heures de sa mort. Au fameux concile de Nicée, d’en grande prêtre du culte païen, l’empereur Constantin I débordé a unifié les cultes chrétiens, égyptien culte d’Isis et romains du culte Mithra en 325 en Rome sous la bannière d’une seule et unique religion : le christianisme frelaté de A à Z, des mises en scènes jupitérienne et pharaonienne avec l’assimilation des rites du paganisme. (L’empereur Constantin I n’a été converti au christianisme que dans ses derniers souffles, lorsque sa lucidité a été abolie par la sénilité. La maladie d’Alzheimer n’a pas encore été connue à cette époque).
Alors que les premiers chrétiens honoraient le sabbat juif le samedi, l’empereur païen pour concilier les religions a déplacé ce jour au dimanche, le jour du soleil, si bien que les chrétiens fourvoyés honorent sans le savoir la fête du Soleil du Dieu Mithra, avec Noël du 25 décembre.
Et plantée au plein milieu des secrets des mystiques, en déesse Elina Garanča, chante à la gloire à « La Reine du Ciel », Marie Madeleine, selon le culte chrétien secret, dans une Église des Femmes ; des Femmes, selon l’interprétation avilissante de la Bible, affligées du péché originel de la fantasmagorie puérile de la genèse antédiluvienne d’Adam et Ève, si bien qu’à ces merveilleuses créatures a été interdit naguère de chanter des cantiques dans les Églises.

Dans cette église des Femmes à Dresde, vénère-t-on symboliquement Marie Madeleine sur laquelle Jésus comptait de bâtir une religion vénérant la femme, femme sacrée, donneuse de vie ? L’épouse de sang royal de Jésus Christ, Marie Magdalena, est calomniée et vilipendée en prostituée par un clergé masculin des dégénérés, fabricant cent ans après la mort du Christ, avec une sélection partisane dans les textes sacrés, un évangile qu’on appelle en criminologie contemporaine : des artifices coupables et mises en scènes par « faux par omission à l’aide des destructions et suppressions des vérités », somme tout, des escroqueries. (Michel Benoît. (Ex-moine savant). (Jésus). DIEU MALGRÉ LUI. Éditions Robert Laffon 2001).
En son successeur, Jésus a désigné son épouse adorée et vénérée pour perpétuer sa religion, malgré les pressions jalouses de son ambitieux apôtre Pierre. Par d’autres impostures de l’archéologie, en combinaison avec les autorités païennes de Rome, les adeptes du clergé catholiques ont fondé sur Saint Pierre leur église apocryphe, misogyne et homosexuelle des dégénérés.
Pour imposer l’écriture sacrée falsifiée à des prétendus chrétiens mécréants, avec des armées païennes, le clergé hérétique assoiffé de pouvoir, a fait massacrer durant des siècles des millions de érudits dissidents éclairés, détruit leur savante culture préscientifique. L’Église, ‑ le Pape Pie XII et son cardinal doctrinaire Aloïs Hudal ‑, voyait en Hitler personne d’autre que le nouveau Clovis I, pour faire réaliser par des païens cannibales « son sale rêve » de la radicalisation spirituelle sur des ruines et charniers, comme le dénonce Friedrich Nietzsche, notamment dans son œuvre LA GÉNÉALOGIE DE LA MORALE. Et de nouveau des faussaires de l’histoire sont mobilisés pour implanter leurs impostures dans la jurisprudence, dans les manuels scolaires, dans les traités universitaires, dans les dictionnaires et encyclopédies, dans l’opinion publique.
J’ai déjà commencé à exposer ce sujet, qui a déclenché l’attentat meurtrier du vendredi 13 novembre 2015 à Paris, à la communauté internationale à travers de l’ONU, en relatant la découverte en Israël du caveau de la famille Christ en présence des représentants du Vatican, la naissance de Jesus par l’épouse Marie, trouvant son plaisir dans la fécondation « par le péché originel » avec son mari Joseph de plusieurs enfants, sans intervention du Saint-Esprit ; le mariage du charpentier Jésus Christ avec Marie Magdalena, avec laquelle, dans la joie des accouplements naturels « du péché originel », il avait eu un garçon dénommé Judas.
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Adventskonzert aus Dresden 29.11.2014 Kammerchor der Frauenkirche – Sächsischer Staatsopernchor. Dirigent Pablo Heras-Casado.
La monumentale Église de Femmes de Dresde, reconstruite par une architecture d’une fabuleuse beauté du style gothique, réalise un univers sonore inouï aux chants sacrés de la liturgie en latin. Aussi dans cette grandiose représentation de l’oratorio de Pâques « Regina caeli, laetare, alléluia », (Reine du Ciel, réjouis-toi, alléluia), sur la joie de la résurrection du Christ, (arrangé par compositeur Pietro Mascagni), le remarquable ensemble de l’orchestre, chœur et solistes est dirigé avec la finesse extraordinaire du brio magistral du talentueux chef d’orchestre Pablo Haras-Casado. Analyse complète de l’opéra : http://www.asopera.fr.
Le prélude des sonorités éthérées de l’orgue suivi de la réponse chorale raffinée alterne des voix graves des hommes avec les voix hautes des femmes. L’ensemble choisi de toutes les beautés sonores des tessitures et colorations s’estompe et remonte en éblouissant graduel. Ces accords vocaux chargés de force dramatique de la prière créent un fond sonore ondoyant de spiritualité avec l’harmonie des bois, des cuivres joints des cordes de l’orchestre en formation circulaire dans le transept d’une magnificence architecturale et somptuosité de l’art décorative. Le roulement appuyé des timbales avec des passages fortissimos des violons accroît l’harmonie de la dramatique par l’extraordinaire effet de l’émotionnel. De cet admirable fond orchestral de l’hymne de Pâques du XIIe siècle de la piété mélodieusement polyphonique, se détachent avec une poignante virtuosité en solo les sublimités vocales mezzo-sopranos de la ravissante cantatrice Elina Garanča. L’imploration la grâce salvatrice de la puissance céleste par ses hauts vocaux est d’une pureté digne d’une soprano colorature.
Son chant émerveillant se répand, se réverbère dans la magnifique structure des colonnes, monte vibrante aux galeries circulaires jusqu’aux voûtes et arcades, fait naître dans l’auditoire des irrésistibles émotions attendrissantes. De sa voix parfaitement flexible, la mesure paraît couler comme un fleuve enchanteur de sa gorge déployée, sans effort visible et sans limite possible, modulée avec une exquise sensibilité dans les cavités sonores de sa bouche, synchronisé à ravir du jeu des muscles du buste, du cou et de la face, de la mimique et geste expressives de toute beauté en harmonie de l’exquise mélodie des mystères de l’incantation du spirituel. D’un port de tête de charme altier de la prodigieuse reine du lyrisme colorature que Elina incarne, le paroxysme de l’émotion spirituelle de l’oratorio de Pâques est produit par un majestueux crescendo du motif de prière à la Saint Marie par l’élévation vocale en finale de l’alléluia de la supplication, « Sois dans la joie et l’allégresse », pour parvenir aux félicités de la vie éternelle… son regard d’extase fixé vers le ciel.
Affectueusement, Peter, le « Cavalier de Prose » enchanté Elina, de sa sublime Reine blanche sur l’Échiquier du Diable.
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Comme m’est signalé de source fiable le risque d’un nouvel attentat meurtrier à Paris au fatidique vendredi 13 septembre, ma tendre Fée Elina, j’anticipe avec l’apport de mes meilleurs vœux pour ton anniversaire le 16 septembre 2019. Le 16, je serai peut-être plus en mesure de faire avec ces écrites toujours plus explosives qui se trouvent en évolution sur mon ordinateur.
Avec mes plus chaleureux vœux pour ton anniversaire, ma sublime Diva Elina Garanča, ma fascinante enchanteresse du bel canto. Comment de te remercier de mon miraculeux sauvetage, de ma délivrance des maléfices du sortilège par les exquises douceurs de ta féerique voix, si captivante ? Un miracle d’harmonisation de la main de maître de ton génial époux, le sympathique maestro Karel Marc Chichon, ton lyrisme a pu atteindre le point culminant de l’incantation transfiguratrice de mon existence d’esclave des pervers forces occultes menaçant l’humanité.
En me cajolant par ton merveilleux souffle des douceurs de tes fines coloratures et subtiles variations si émouvantes de ton incomparable expressionnisme vocal, ma ravissante Fée Elina, tu as fait de moi ton adulateur émerveillé. Dans la tristesse de ma solitude du combattant savant, Elina mon cher amour, tes saisissantes mélodies sont des intarissables consolations. Ta présence spirituelle ne s’évade pas un instant dans ma pensée.
Après avoir été miraculée, avec ton époux, de l’assassinat vindicatif à l’opéra national à Paris, Elina ma douce Reine blanche sur l’Échiquier du Diable, par la magie blanche de tes inoubliables représentations, du sublime de ta grâce et le raffinement de tout ton être, tu peux être certaine, faire date dans l’histoire de l’humanité.
Ton anniversaire est aujourd’hui un jubilé éclatant pour les plus hauts arts du chant et de la musique, du lyrisme et du dramatisme, dont tu es un des plus admirables étoiles, brillant d’un éclat proche du surnaturel, haut au Zénith des opéras les plus prestigieux du Monde.
Affectueusement, Peter, ton amoureux « Cavalier de Prose » enchanté.
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Elina Garanča13, ma sublime déesse enchanteresse du bel canto.
Partout l’incantation vibrante de ta douce voix, la grâce émouvante de tes gestes, de l’exquise séduction amène de ton visage si rayonnant, conserveront ton charme céleste de la féerique splendeur, Elina Garanča, ma sublime déesse enchanteresse du bel canto.
Ô magie, ma douce et tendre Rossignol nimbée de ta corolle des fines pailles d’or. Ô magie, de ton regard captivant de la pureté du saphir d’un bleu céleste, du sommet radieux de la sphère du génie de l’auguste art musical.
Ma douce et tendre Rossignol, Elina, ma sublime déesse enchanteresse, pénètre mon âme meurtrie du rayonnement de ta sublime magie vocale, réchauffe mon âme meurtrie immergée dans un vil abîme de dissonance hypocrite.
Trille tendre Rossignol! Trille tendre Rossignol en crescendo du sommet radieux de la sphère du génie de l’art musical. Laisse résonner la magnificence des doux timbres de l’incomparable magie de ta vocalisation du ravissement musical. Du lutteur solitaire, remue en vibrato son cœur meurtri dans sa gangue d’acier, Elina, ma sublime déesse enchanteresse.
Brille tendre Rossignol nimbée de ta corolle des fines pailles d’or ! Brille à l’Opéra tendre Rossignol, oh ! oh ! surprise, ravie en sublime Compagne virtuelle de charme dans le cheminement de mon escapade dans l’Histoire de l’Humanité à la recherche éperdue de Grands Hommes.
Laisse briller le suprême l’éclat du Bel Canto, sur ce solitaire finaud de Voleur aux anges, quelques rayons de ton céleste halo. Brille tendre Rossignol nimbée de ta corolle des fines pailles d’or ! Brille, Elïna, ma sublime déesse enchanteresse, cède de bon cœur au lutteur solitaire de toutes les audaces un peu d’éclats de ta brillance céleste dans les ténèbres de son vil abîme de dissonance hypocrite.
Affectueusement Peter Dietrich.
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DIETRICH : jusqu’au bout de ses idées… Avec la merveilleuse chanteuse Elina Garanča.

Les universités françaises ont refusé à Peter Dietrich de présenter une thèse de doctorat. À présent, Elina Garanča obtiendra un titre de doctorat honoris causa d’une des plus prestigieuses universités… le Prix Nobel… la Médaille militaire, car à la demande de son amoureux Peter, elle refusera de se faire décorer Chevalier de la Légion d’honneur.

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