Légitime défense politique.

Irrésistible ! Elina Garanča dans son chant des Lieder de Brahms et Schumann.

Posted in Uncategorized by Dietrich13 on 2 octobre 2020

Fabuleuse Diva de grande classe internationale, admirablement belle avec sa chevelure dorée ondoyante librement sur ses épaules, son exquise silhouette modelée sur les attraits d’une Grâce mythique de la Grèce antique, la prodigieuse cantatrice Elina Garanča impressionne surtout par l’intensité enchantante du magnifique ton de sa voix veloutée, du jeu aux plus sélects raffinements de ses délicieuses couleurs caressantes.

Par la magie évocatrice de sa vocalisation d’un raffinement extrême du tragique ou de la dramatique, par le jeu expressif du timbre captieux de sa voix ample, son chant, tantôt enjôleur d’une Sirène rusée, tantôt cajoleur d’une Sylphide aimante, l’admirable star Elina Garanča parvient d’emblée à mettre dans le ravissement son auditoire frappé par l’admiration de la succession des vagues mélodiques, qui par la modulation subtile de son ravissant timbre, aboutissant à une magnificence lyrique suprême. Peter, son « Cavalier de Prose » amoureux.

L’absolument irrésistible Fée Elina avec sa douce voix agile, flexible et souple dans ses beaux phrasés musicaux d’une extrême intensité dramatique. Le concours international de chant Miriam Hein en Finlande 1999, c’est de Elina Garanča « la grande messe de divinisation » en cantatrice d’envergure internationale. Au jury des grands professionnels chevronnés du chant et de la musique, doués d’une ouïe de finesse extraordinaire, du plus raffinée qu’on puisse trouver, pas la moindre dissonance, pas le moindre contretemps ou d’hésitation d’expression, pas la moindre arythmie ne leur échappe. Sans effets spéciaux de sonorisation, dans ce récital de chant accompagné de piano des ambitieuses cantatrices du monde entier en concours, seule la qualité de vocalisation lyrique et de la virtuosité est magistralement appréciée. S’y présentant en tenue presque monacale, pour remporter le premier prix tant convoité, Elina fit jouer avec une grande maîtrise ses brillantes qualités de modulation vocale par le seul jeu des sonorités expirées de sa gorge dans les cavités de résonance buccales et nasales, modulant avec le sublime jeu des muscles faciaux, de sa langue et de ses lèvres des plus fines sonorités expressives du lyrisme, toutes les subtiles nuances et colorations d’émotion du timbre de la voix douce et d’une caressante féminité qu’exige ce Lied du plus important compositeur du romantisme allemand Johannes Brahms « Von ewiger Liebe »  (De l’amour éternel).

Peter, son « Cavalier de Prose » enchanté.

Produite par la télé ARTE LONGUE, dans ce récitatif télévisé, accompagné au piano par le pianiste Victor Herbert dans l’ambiance jeune et bon enfant d’un café-concert Elina, ma sublime déesse du bel canto s’est muée en reine des chansons classiques avec une étonnante souplesse vocale en harmonie de la mimétique en tous genres des caractères et tempéraments : une magistrale démonstration de son étonnant talent de polyglotte autodidacte dans des chansons françaises, des lieder allemands et des songes anglais.

Dans son interprétation de « Les feuilles mortes » de Jacques Prévert, un grand classique pathétique de la chanson française, l’irrésistible Elina Garança n’a rien à envier aux meilleurs chansonniers et chansonnière francophone natives de naguère avec son brio lyrique d’une grande aisance : les basses et les médianes feutrées des couleurs d’une délicate douceur féminine de sa voix, son élocution française impeccable, surprennent et émerveillent les jeunes du public décontracté.

Affectueusement Peter, son « Cavalier de Prose » enchanté.

Produite par la télé ARTE LONGUE, dans l’aria « Ah quel dîner ! » de l’opérette « La Perichole » de Jacques Offenbach, accompagné de son jeune et jovial pianiste Victor Herbert à la touche pittoresque digne de l’ambiance enjouée, Elina galvanise son jeune public décontracté jusqu’à l’extase par le passage du lyrisme pathétique au lyrisme comique avec une parfaite mimique du chant bachique d’une joyeuse fêtarde saoulée. Si ce n’était pas de l’exquise comédienne la maîtrise parfaite de ses gestes évocatrices et l’euphonie des lallations volubiles finement articulées d’ivrogne en goguette de sa voix adaptée aux plus incroyables variations du genre vocale, un spectateur superficiel aurait pu croire se trouver en présence de cette drôlesse de Elina, chantante devant le piano avec un grand coup de champagne dans le nez pour de vrai.

Affectueusement Peter, le « Cavalier de Prose » enchanté de son Ange consolateur Elina.

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