Sous la direction du maestro Karel Mark Chichon, Le ténor Charles Castronovo et la mezzo-soprano Elina Garanča me séduisent par le duo Zarzuela « El duo de la Africana ».

Le ténor Charles Castronovo et la mezzo-soprano Elina Garanča me séduisent par le duo Zarzuela « El duo de la Africana » (Le Duo de l’Africaine) de M.F. Caballero au concert à Göttweig, Autriche 2009. Sous la direction du maestro Karel Mark Chichon, ici le chiffre 13 a produit peut-être un changement de l’histoire, car par l’ordre terminal du ténor Caballero donné à Elina, c’est par ce duo, que Elïna Garanča ma ravie et séduite à l’association historique : « Elina, komm mit mir ! » (Elina, viens avec moi !)
Pour le concert de plein air près du monastère de Göttweig en Bas Autriche en 2009, le chef d’orchestre Karl Mark Chichon a adapté avec son génie ibérique de Gibraltar, magnifiquement dirigé et exécutée par l’orchestre, un extrait de l’opérette espagnol burlesque « Le Duo de l’Africaine » à l’ambiance autrichienne en exploitant l’extraordinaire virtuosité vocale de mezzo-soprano de sa sublime Dulcinée enchanteresse blonde du bel canto, son épouse Elina Garanča aux grands yeux d’un bleu fascinants, dans un extrait à la musicalité bien choisie pour la représentation dans ce cadre rustique. (En 2005 ce duo fut chanté avec une autre séduisante mise en scène de Elina Garanča avec le ténor Marcelo Álvarez dans les splendeurs sélectes du Gala concert de l’Opéra de Wien). Le « Zarzuela duet El duo de la Africana » de M.F Caballero, publié le 13 mai 1893, à l’Apollo Théâtre à Madrid, est une opérette théâtrale de grand succès populaire d’une durée d’une heure. D’un milieu affairiste, l’amusant mélodrame met en scène les intrigues amoureuses, passionnelles et conflictuelles d’un jeune homme (ténor) de bonne famille, follement amoureux d’une innocente jeune femme riche et gracieuse de l’Andalousie (mezzo-soprano).

Dans le merveilleux arrangement en Autriche, l’héroïne folklorisée est scénarisée en modeste, innocente villageoise autrichienne nommée pour l’ambiance « Elina », cette cantatrice mezzo-soprano d’une poignante grâce incantatoire. Costumée, en vertueuse villageoise autrichienne, elle chantante en espagnol son candide dédain des avances audacieuses de l’élégant soupirant, mimant l’émotion des gestes avec son exquise perfection, en harmonie avec l’expressivité des couleurs modulées de sa voix exercée à la perfection.
La partition du fringant soupirant est chantée par le ténor Charles Castronovo, déployant tout le talent de séduction virile avec son art vocal, des impressionnantes tonalités expressives de sa voix virile d’un typique macho espagnol : – « Je vais dire à mon charme, Je vais vous dire mon amour, Je vais dire à ma gloire, Je vais dire à mon ciel… », pour lui ordonner en allemand d’un enthousiasme exubérant : « Elina, viens avec moi ! ». Elina, si ardemment convoitée dans ce duo d’amours et querelles aux sonorités de belles harmonies, après avoir chanté sa partition en espagnol, se détourne outrée de cette audace, lance au ténor en allemand haute et claire à la tête : « Jamais ! » Mais, la flamme de mon cœur est venue avec moi dans l’Histoire, avec Peter, son « Cavalier de Prose » inspiré et enchanté.


Vendredi 13 octobre 2017. D’abord j’ai demandé à des membres de la Nobelprize.org de proposer mon associée salvatrice, la merveilleuse cantatrice lettonne Elina Garanča, pour le Prix Nobel de la Paix. Réflexion faite, je pense qu’il sera bien plus judicieux de la proposer pour le Prix Nobel du Chant et de la Musique et proposer pour le Prix Nobel de la Paix l’ancien président de la République François Hollande pour avoir organisé dans l’état d’urgence son sauvetage de l’assassinat dans la tentative du massacre au superlatif à l’opéra national de Paris au début 2016. Dans la guerre judiciaire et psychologique se déroulant sur le plan mondial, la merveilleuse cantatrice Elina Garanča, par notre association, pèse plus lourd dans la balance que toute l’armée française.
Peter, son ‘Cavalier de Prose’, ébloui de toutes les magnifiques figures et mouvements de l’extraordinaire lyrisme de son adorable Fée salvatrice Elina Garanča avec la compagnie des plus fameux participants.
« En France tout fini par des chansons ».
(Beaumarchais).
Rwanda, depuis 1981. Génocide et Crimes contre l’humanité des surhommes nietzschéen fomentés et exécutés sous la protection des faussaires et escrocs, ‑ récompensés des plus hautes distinctions de la Légion d’honneur-, du Conseil constitutionnel, du Conseil supérieur de la magistrature, de la Cour de cassation, du Conseil d’État, toutes les manigances couvertes à coups de millions et millions de Dollars et Euros chez la Cour européenne des droits de l’Homme et le Haut-Commissariat des Nations Unis aux droits de l’homme. Preuves : https://dietrich13.wordpress.com.

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